Sur leurs pages dans les réseaux sociaux, les internautes pro-polisario partagent nombre de vidéos, d’images et de fausses informations relatant les prétendus « exploits » des milices armées du groupe séparatiste, pendant des affrontements qui n’ont, cependant, jamais eu lieu.
L’exemple de Mohamed Radi Ellili, porte-parole du polisario, qui s’est acharné à truffer sa page Facebook de publications mensongères, dont un post accompagné d’une vidéo où il suggère une bataille de nuit qui aurait eu lieu à Mahbes, est, on ne peut plus, illustratif. En réalité, la vidéo en question, publiée cette année sur YouTube, relate des images d’affrontements qui se sont déroulés à Bassorah en Irak, entre des clans tribaux de la région.
En outre, deux communiqués militaires mensongers du polisario « attestent » d’attaques nées de l’imaginaire, le long du dispositif de sécurité du Sahara marocain, causant des pertes humaines et matérielles. Une information appuyée par des images anciennes relayant des tirs au mortier réalisés dans la région de Tindouf. Les Forces Armées Royales (FAR) ont, toutefois,clairement précisé que les échanges de tirs d’El Guergarate n’ont eu pour conséquence aucune perte humaine ou matérielle. L’Agence marocaine de presse,à son tour, a confirmé qu’aucune attaque n’a eu lieu sur les positions des FAR au mur de défense.
En effet, la situation était très calme samedi à El Guergarate au lendemain de l’opération salvatrice menée par les éléments des FAR et qui a permis de déloger les milices du « Polisario » du point de passage entre le Maroc et la Mauritanie. Les FAR mettaient, samedi après-midi, la dernière touche aux préparatifs pour la réouverture de cet axe routier.
Les acteurs de la propagande pro-polisario ont également « fait part » d’un ensemble de scènes de guerre au Yemen, au Pakistan et à Gaza, prétendant que des unités du Polisario auraient lancé des roquettes sur les positions des FAR.
Une autre photographie activement partagée et exploitée, par les séparatistes pro-polisario sur les réseaux sociaux, montre un hélicoptère, prétendument de la Gendarmerie Royale,évacuant des militaires marocains blessés. Or, la même photographie apparait dans un article de l’AFP daté du 5 avril 2015. Il s’agit d’une opération d’évacuation de deux spéléologues espagnols morts dans le Haut Atlas.
De plus, selon une information erronée de la RASD, les troupes du polisario seraient arrivées à abattre un drone de reconnaissance marocain, exploitant l’image d’un drone turc qui s’est craché à la frontière syrienne.
Comble de l’audace de la propagande des séparatistes, le polisario suggère que le Maroc aurait violé l’accord du cessez-le-feu, en attaquant des civils qui menaient des protestations pacifiques. Or, sur Très Hautes Instructions de SM le Roi, l’opération des FAR s'est déroulée de manière pacifique, sans accrochage ni menace pour la sécurité des civils.
Il va sans dire que les événements des semaines précédentes attestent du mal fondé des propos du polisario. En effet, le Maroc a su garder son sang froid face aux agissements nuisibles des groupes armés du polisario, en violation de l’accord du cessez-le-feu et des résolutions du Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unis.
L’exemple de Mohamed Radi Ellili, porte-parole du polisario, qui s’est acharné à truffer sa page Facebook de publications mensongères, dont un post accompagné d’une vidéo où il suggère une bataille de nuit qui aurait eu lieu à Mahbes, est, on ne peut plus, illustratif. En réalité, la vidéo en question, publiée cette année sur YouTube, relate des images d’affrontements qui se sont déroulés à Bassorah en Irak, entre des clans tribaux de la région.
En outre, deux communiqués militaires mensongers du polisario « attestent » d’attaques nées de l’imaginaire, le long du dispositif de sécurité du Sahara marocain, causant des pertes humaines et matérielles. Une information appuyée par des images anciennes relayant des tirs au mortier réalisés dans la région de Tindouf. Les Forces Armées Royales (FAR) ont, toutefois,clairement précisé que les échanges de tirs d’El Guergarate n’ont eu pour conséquence aucune perte humaine ou matérielle. L’Agence marocaine de presse,à son tour, a confirmé qu’aucune attaque n’a eu lieu sur les positions des FAR au mur de défense.
En effet, la situation était très calme samedi à El Guergarate au lendemain de l’opération salvatrice menée par les éléments des FAR et qui a permis de déloger les milices du « Polisario » du point de passage entre le Maroc et la Mauritanie. Les FAR mettaient, samedi après-midi, la dernière touche aux préparatifs pour la réouverture de cet axe routier.
Les acteurs de la propagande pro-polisario ont également « fait part » d’un ensemble de scènes de guerre au Yemen, au Pakistan et à Gaza, prétendant que des unités du Polisario auraient lancé des roquettes sur les positions des FAR.
Une autre photographie activement partagée et exploitée, par les séparatistes pro-polisario sur les réseaux sociaux, montre un hélicoptère, prétendument de la Gendarmerie Royale,évacuant des militaires marocains blessés. Or, la même photographie apparait dans un article de l’AFP daté du 5 avril 2015. Il s’agit d’une opération d’évacuation de deux spéléologues espagnols morts dans le Haut Atlas.
De plus, selon une information erronée de la RASD, les troupes du polisario seraient arrivées à abattre un drone de reconnaissance marocain, exploitant l’image d’un drone turc qui s’est craché à la frontière syrienne.
Comble de l’audace de la propagande des séparatistes, le polisario suggère que le Maroc aurait violé l’accord du cessez-le-feu, en attaquant des civils qui menaient des protestations pacifiques. Or, sur Très Hautes Instructions de SM le Roi, l’opération des FAR s'est déroulée de manière pacifique, sans accrochage ni menace pour la sécurité des civils.
Il va sans dire que les événements des semaines précédentes attestent du mal fondé des propos du polisario. En effet, le Maroc a su garder son sang froid face aux agissements nuisibles des groupes armés du polisario, en violation de l’accord du cessez-le-feu et des résolutions du Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unis.