"Des centaines de migrants illégaux ont été arrêtés et des outils tranchants et des matériaux solides (dont la nature n'a pas été spécifiée) ont été saisis en leur possession, et dont l'intention était d'attaquer le personnel de sécurité", a déclaré Houssemeddine Jebabli, porte-parole de la direction générale de la Garde nationale (Gendarmerie) affiliée au ministère de l'Intérieur, lors d'une conférence de presse tenue samedi à son siège dans la capitale, Tunis, et à laquelle l'Agence Anadolu a assisté.
Il a souligné que "la situation dans la région d'el-Amra du gouvernorat de Sfax est sous le contrôle des forces de sécurité, et il n'y a pas de place pour un retour au chaos et à la construction de camps anarchiques".
Jebabli a souligné que les différents camps qui ont été démantelés, qui abritaient plus de 7000 migrants irréguliers d'Afrique subsaharienne, sont désormais sous contrôle.
Il a ajouté que le démantèlement de ces camps se poursuivait toujours avec la participation de diverses unités de sécurité du ministère de l'Intérieur.
Jebabli a affirmé que "plusieurs services du ministère de l'Intérieur, dont la Garde nationale, la police et la Protection civile, ont stérilisé les camps, avec le soutien des agents de santé publique et du Croissant-Rouge tunisien, après que la situation environnementale est devenue une menace pour la population et que la situation sanitaire est devenue alarmante".
Il a souligné que "la situation dans la région d'el-Amra du gouvernorat de Sfax est sous le contrôle des forces de sécurité, et il n'y a pas de place pour un retour au chaos et à la construction de camps anarchiques".
Jebabli a souligné que les différents camps qui ont été démantelés, qui abritaient plus de 7000 migrants irréguliers d'Afrique subsaharienne, sont désormais sous contrôle.
Il a ajouté que le démantèlement de ces camps se poursuivait toujours avec la participation de diverses unités de sécurité du ministère de l'Intérieur.
Jebabli a affirmé que "plusieurs services du ministère de l'Intérieur, dont la Garde nationale, la police et la Protection civile, ont stérilisé les camps, avec le soutien des agents de santé publique et du Croissant-Rouge tunisien, après que la situation environnementale est devenue une menace pour la population et que la situation sanitaire est devenue alarmante".