Ces échanges, organisés en marge de la 4ᵉ Conférence ministérielle mondiale sur la sécurité routière, ont porté sur les moyens de renforcer la coopération et de mobiliser des financements afin d’atteindre les objectifs fixés à l’échelle mondiale.
Kayouh s’est félicité de la qualité des discussions avec ses homologues venus de divers pays pour participer à cet événement. La conférence a également permis des rencontres avec des représentants d’organismes internationaux et des bailleurs de fonds, dont une délégation de hauts responsables de la Banque mondiale, qui ont exprimé leur disposition à coopérer avec le Maroc, reconnu comme un pays pionnier en matière de sécurité routière. Cette reconnaissance est illustrée par le lancement du Prix international Mohammed VI pour la sécurité routière, qui reflète l’engagement du Royaume en faveur de cette cause et appelle les pays à intensifier leurs efforts, partager leurs expériences et mettre en place des plateformes d’échange d’informations afin de réduire de 50 % le nombre d’accidents et de victimes d’ici 2030.
Le Maroc est résolument engagé dans cette dynamique à travers plusieurs mesures, dont l’obligation du port du casque, a rappelé le ministre dans ses déclarations à la presse. Peng Ponea, ministre des Travaux publics et des Transports du Cambodge, a souligné que les échanges ont porté sur le renforcement de la coopération bilatérale en matière de sécurité routière, une priorité pour son pays. Il a insisté sur la nécessité de concentrer les efforts sur la réduction des accidents et s’est dit intéressé par l’expérience marocaine et les pistes de collaboration possibles.
Ajay Tamta, ministre indien de la Route, du Transport et des Autoroutes, a qualifié ces discussions de fructueuses, soulignant qu’elles ont couvert plusieurs domaines de coopération, notamment la sécurité routière, le transport, l’éducation, la technologie et l’agriculture. Il a exprimé la volonté de l’Inde de renforcer son partenariat avec le Maroc.
Guangzhe Chen, vice-président de la Banque mondiale chargé des infrastructures, a salué l’organisation de cette conférence par le Maroc, y voyant une preuve de l’engagement des autorités marocaines en faveur de la sécurité routière. Il a souligné l’importance de ces échanges et des initiatives visant à sécuriser les routes, citant notamment le projet marocain d’élargissement du port du casque pour les cyclistes et motocyclistes comme un modèle à suivre pour réduire la mortalité routière. Il a également relevé que le financement de la sécurité routière à l’échelle mondiale reste insuffisant et estimé qu’il faudrait mobiliser 40 milliards de dollars pour répondre aux besoins. Afin de combler cet écart, les banques multilatérales de développement envisagent d’augmenter leurs financements dans ce domaine à hauteur de 10 milliards de dollars sur la prochaine décennie.
Jorge Bengue Calumbo, secrétaire d’État angolais chargé des Transports, a, pour sa part, mis en avant les relations historiques entre le Maroc et l’Angola, insistant sur la nécessité d’étendre cette coopération à d’autres secteurs, notamment la logistique et la mobilité urbaine. Il a évoqué les opportunités d’investissement offertes par son pays aux entrepreneurs marocains et exprimé le souhait de l’Angola de bénéficier de l’expertise marocaine en matière de sécurité routière. La situation y est préoccupante, a-t-il déploré, les décès dus aux accidents de la route étant la deuxième cause de mortalité après les maladies. Il a exprimé l’espoir que le renforcement de la coopération avec le Maroc contribue à réduire ce fléau.
Kayouh s’est félicité de la qualité des discussions avec ses homologues venus de divers pays pour participer à cet événement. La conférence a également permis des rencontres avec des représentants d’organismes internationaux et des bailleurs de fonds, dont une délégation de hauts responsables de la Banque mondiale, qui ont exprimé leur disposition à coopérer avec le Maroc, reconnu comme un pays pionnier en matière de sécurité routière. Cette reconnaissance est illustrée par le lancement du Prix international Mohammed VI pour la sécurité routière, qui reflète l’engagement du Royaume en faveur de cette cause et appelle les pays à intensifier leurs efforts, partager leurs expériences et mettre en place des plateformes d’échange d’informations afin de réduire de 50 % le nombre d’accidents et de victimes d’ici 2030.
Le Maroc est résolument engagé dans cette dynamique à travers plusieurs mesures, dont l’obligation du port du casque, a rappelé le ministre dans ses déclarations à la presse. Peng Ponea, ministre des Travaux publics et des Transports du Cambodge, a souligné que les échanges ont porté sur le renforcement de la coopération bilatérale en matière de sécurité routière, une priorité pour son pays. Il a insisté sur la nécessité de concentrer les efforts sur la réduction des accidents et s’est dit intéressé par l’expérience marocaine et les pistes de collaboration possibles.
Ajay Tamta, ministre indien de la Route, du Transport et des Autoroutes, a qualifié ces discussions de fructueuses, soulignant qu’elles ont couvert plusieurs domaines de coopération, notamment la sécurité routière, le transport, l’éducation, la technologie et l’agriculture. Il a exprimé la volonté de l’Inde de renforcer son partenariat avec le Maroc.
Guangzhe Chen, vice-président de la Banque mondiale chargé des infrastructures, a salué l’organisation de cette conférence par le Maroc, y voyant une preuve de l’engagement des autorités marocaines en faveur de la sécurité routière. Il a souligné l’importance de ces échanges et des initiatives visant à sécuriser les routes, citant notamment le projet marocain d’élargissement du port du casque pour les cyclistes et motocyclistes comme un modèle à suivre pour réduire la mortalité routière. Il a également relevé que le financement de la sécurité routière à l’échelle mondiale reste insuffisant et estimé qu’il faudrait mobiliser 40 milliards de dollars pour répondre aux besoins. Afin de combler cet écart, les banques multilatérales de développement envisagent d’augmenter leurs financements dans ce domaine à hauteur de 10 milliards de dollars sur la prochaine décennie.
Jorge Bengue Calumbo, secrétaire d’État angolais chargé des Transports, a, pour sa part, mis en avant les relations historiques entre le Maroc et l’Angola, insistant sur la nécessité d’étendre cette coopération à d’autres secteurs, notamment la logistique et la mobilité urbaine. Il a évoqué les opportunités d’investissement offertes par son pays aux entrepreneurs marocains et exprimé le souhait de l’Angola de bénéficier de l’expertise marocaine en matière de sécurité routière. La situation y est préoccupante, a-t-il déploré, les décès dus aux accidents de la route étant la deuxième cause de mortalité après les maladies. Il a exprimé l’espoir que le renforcement de la coopération avec le Maroc contribue à réduire ce fléau.
