Le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch a affirmé, lundi à New York, l’engagement du Maroc en faveur de la mise en œuvre du Pacte pour l’avenir adopté par les Nations Unies, en vue de dynamiser le système multilatéral au service de la paix et d’un développement équitable et inclusif.
“Il est primordial de placer la paix, la stabilité et le développement au cœur de l’action collective, d’où la nécessité d’une approche globale et intégrée, fondée sur la confiance, le dialogue et le respect mutuel”, a indiqué M. Akhannouch lors du Sommet de l’avenir initié par le Secrétaire général de l’ONU.
Dans son intervention en présence notamment du ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, le chef du gouvernement a rappelé que ce Sommet, qui se tient dans un contexte mondial jalonné de défis complexes, offre l’occasion de renouveler l’adhésion de la communauté internationale à la Charte des Nations Unies et de réaffirmer l’engagement collectif pour revigorer le système multilatéral.
“Une action multilatérale renouvelée appelle une réelle volonté politique d’agir collectivement et des solutions inclusives, fondées sur l’équité et la solidarité”, a-t-il soutenu.
Il a rappelé, dans ce sens, l’appel lancé par SM le Roi Mohammed VI à l’occasion des Assemblées annuelles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international à Marrakech, en faveur d’une réforme des institutions et des cadres du système multilatéral de manière à tenir compte de l’évolution de la conjoncture socio-économique et politique.
Dans ce cadre, l’Afrique doit figurer, a ajouté le chef du gouvernement, au cœur des priorités de l’action de l’ONU afin de transformer les défis auxquels le continent fait face en autant d’opportunités de développement et de prospérité.
Evoquant la problématique pressante du changement climatique, M. Akhannouch a indiqué que le Maroc ambitionne de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 45,5% d’ici 2030 et d’augmenter le volume des investissements dans les énergies renouvelables, dont l’hydrogène vert, pour hisser à 52% la part des énergies propres dans le mix électrique d’ici 2030.
Le chef du gouvernement a, en outre, passé en revue les avancées réalisées par le Maroc notamment en matière de protection sociale et de renforcement de la souveraineté alimentaire et sanitaire.
Le Sommet de l’avenir, qui s’inscrit dans le cadre du débat général de la 79è session de l’Assemblée générale de l’ONU, a réuni, au siège de l’ONU à New York, des chefs d’Etat et de gouvernement, outre des représentants d’organisations internationales et de la société civile.
Les Etats membres de l’ONU ont adopté, à cette occasion, un Pacte pour l’avenir qui prévoit notamment un engagement à réduire la fracture numérique et à accélérer la réalisation des objectifs de développement durable.
“Il est primordial de placer la paix, la stabilité et le développement au cœur de l’action collective, d’où la nécessité d’une approche globale et intégrée, fondée sur la confiance, le dialogue et le respect mutuel”, a indiqué M. Akhannouch lors du Sommet de l’avenir initié par le Secrétaire général de l’ONU.
Dans son intervention en présence notamment du ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, le chef du gouvernement a rappelé que ce Sommet, qui se tient dans un contexte mondial jalonné de défis complexes, offre l’occasion de renouveler l’adhésion de la communauté internationale à la Charte des Nations Unies et de réaffirmer l’engagement collectif pour revigorer le système multilatéral.
“Une action multilatérale renouvelée appelle une réelle volonté politique d’agir collectivement et des solutions inclusives, fondées sur l’équité et la solidarité”, a-t-il soutenu.
Il a rappelé, dans ce sens, l’appel lancé par SM le Roi Mohammed VI à l’occasion des Assemblées annuelles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international à Marrakech, en faveur d’une réforme des institutions et des cadres du système multilatéral de manière à tenir compte de l’évolution de la conjoncture socio-économique et politique.
Dans ce cadre, l’Afrique doit figurer, a ajouté le chef du gouvernement, au cœur des priorités de l’action de l’ONU afin de transformer les défis auxquels le continent fait face en autant d’opportunités de développement et de prospérité.
Evoquant la problématique pressante du changement climatique, M. Akhannouch a indiqué que le Maroc ambitionne de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 45,5% d’ici 2030 et d’augmenter le volume des investissements dans les énergies renouvelables, dont l’hydrogène vert, pour hisser à 52% la part des énergies propres dans le mix électrique d’ici 2030.
Le chef du gouvernement a, en outre, passé en revue les avancées réalisées par le Maroc notamment en matière de protection sociale et de renforcement de la souveraineté alimentaire et sanitaire.
Le Sommet de l’avenir, qui s’inscrit dans le cadre du débat général de la 79è session de l’Assemblée générale de l’ONU, a réuni, au siège de l’ONU à New York, des chefs d’Etat et de gouvernement, outre des représentants d’organisations internationales et de la société civile.
Les Etats membres de l’ONU ont adopté, à cette occasion, un Pacte pour l’avenir qui prévoit notamment un engagement à réduire la fracture numérique et à accélérer la réalisation des objectifs de développement durable.