Le président algérien Abdelmadjid Tebboune s’est une nouvelle fois aventuré sur le terrain sensible du Sahara marocain lors de son entretien périodique avec les médias, samedi soir. Fidèle à sa rhétorique habituelle, il a tenté de remettre en cause la légitimité des visites de responsables français dans les provinces sahariennes du Royaume, tout en avançant des arguments aussi contradictoires qu’infondés. Une sortie médiatique qui, une fois de plus, démontre l’isolement diplomatique croissant d’Alger sur cette question cruciale.
Une posture confuse et contradictoire
Le président Tebboune a affirmé que les visites de responsables français au Sahara marocain ne constituent pas une provocation, tout en insinuant qu’elles dérangeraient les Nations Unies et la légalité internationale. Cette déclaration contradictoire illustre une confusion manifeste. Si ces visites ne sont pas provocatrices, pourquoi alors les considérer comme un trouble pour la communauté internationale ?
Plus encore, le chef de l’État algérien est allé jusqu’à prétendre que l’idée d’autonomie proposée pour le Sahara est d’origine française, adoptée par la suite par le Maroc. Cet argument n’est pas seulement erroné, il révèle également une méconnaissance flagrante de l’historique du dossier. En réalité, l’initiative marocaine d’autonomie est le fruit d’une vision souveraine et stratégique, formulée en 2007 dans le cadre d’un processus de règlement politique sous l’égide des Nations Unies.
La diplomatie marocaine, un succès incontestable
Cette tentative maladroite de discréditer la proposition marocaine intervient alors que le Royaume continue de consolider un soutien international solide et constant autour de sa position. Les États-Unis, première puissance mondiale, ont reconnu la souveraineté du Maroc sur son Sahara, une décision historique prise en 2020 et maintenue depuis lors. En Europe, plusieurs pays, dont l’Espagne, l’Allemagne et les Pays-Bas, ont exprimé un appui sans équivoque à l’initiative d’autonomie, la qualifiant de solution « sérieuse, crédible et réaliste ».
La France, pour sa part, s’inscrit dans cette dynamique, considérant l’autonomie sous souveraineté marocaine comme l’issue la plus pragmatique et durable pour clore ce conflit artificiel. Les visites de responsables français dans les provinces du Sud ne sont que la traduction naturelle d’un partenariat bilatéral fort et stratégique, dans le respect de la souveraineté du Royaume.
Alger à contre-courant de l’histoire
Face à cette réalité géopolitique incontestable, l’Algérie continue de s’accrocher à des postures rigides et obsolètes, refusant d’accepter l’évidence : la communauté internationale, dans sa grande majorité, soutient la proposition marocaine et considère l’autonomie comme l’unique voie vers la stabilité régionale.
Au lieu de reconnaître l’évolution des positions mondiales et d’adopter une démarche constructive, Alger persiste à alimenter une hostilité stérile et coûteuse. Cette stratégie d’enlisement diplomatique se traduit non seulement par un isolement grandissant, mais également par une déconnexion avec les réalités contemporaines.
Le pragmatisme marocain, moteur de stabilité
Pendant que l’Algérie s’empêtre dans une rhétorique dépassée, le Maroc continue de s’affirmer comme un acteur régional responsable et visionnaire. En investissant massivement dans le développement de ses provinces sahariennes et en renforçant leur intégration économique au reste du pays, le Royaume démontre concrètement que la paix et la prospérité ne se construisent pas sur des slogans belliqueux, mais sur des projets concrets et ambitieux.
La stratégie proactive de Rabat est aujourd’hui largement reconnue, et l’adhésion de nombreux pays à la position marocaine témoigne de la justesse de cette vision. Plus qu’un simple conflit régional, la question du Sahara est devenue un symbole de stabilité et de modernité dans une région souvent marquée par l’incertitude et les tensions.
Un avenir scellé par le réalisme diplomatique
En fin de compte, la communauté internationale ne s’y trompe pas : la proposition marocaine d’autonomie est non seulement conforme à la légalité internationale, mais elle est aussi la seule à garantir une paix durable. Face aux déclamations désuètes et aux postures figées d’Alger, le Royaume du Maroc continue de tracer sa voie avec pragmatisme et sérénité.
Le monde évolue, les positions changent, mais il est temps que l’Algérie comprenne que sa vision figée du Sahara appartient au passé. Le Maroc, quant à lui, avance, bâtissant un futur où le développement et la stabilité priment sur les antagonismes du passé.
Une posture confuse et contradictoire
Le président Tebboune a affirmé que les visites de responsables français au Sahara marocain ne constituent pas une provocation, tout en insinuant qu’elles dérangeraient les Nations Unies et la légalité internationale. Cette déclaration contradictoire illustre une confusion manifeste. Si ces visites ne sont pas provocatrices, pourquoi alors les considérer comme un trouble pour la communauté internationale ?
Plus encore, le chef de l’État algérien est allé jusqu’à prétendre que l’idée d’autonomie proposée pour le Sahara est d’origine française, adoptée par la suite par le Maroc. Cet argument n’est pas seulement erroné, il révèle également une méconnaissance flagrante de l’historique du dossier. En réalité, l’initiative marocaine d’autonomie est le fruit d’une vision souveraine et stratégique, formulée en 2007 dans le cadre d’un processus de règlement politique sous l’égide des Nations Unies.
La diplomatie marocaine, un succès incontestable
Cette tentative maladroite de discréditer la proposition marocaine intervient alors que le Royaume continue de consolider un soutien international solide et constant autour de sa position. Les États-Unis, première puissance mondiale, ont reconnu la souveraineté du Maroc sur son Sahara, une décision historique prise en 2020 et maintenue depuis lors. En Europe, plusieurs pays, dont l’Espagne, l’Allemagne et les Pays-Bas, ont exprimé un appui sans équivoque à l’initiative d’autonomie, la qualifiant de solution « sérieuse, crédible et réaliste ».
La France, pour sa part, s’inscrit dans cette dynamique, considérant l’autonomie sous souveraineté marocaine comme l’issue la plus pragmatique et durable pour clore ce conflit artificiel. Les visites de responsables français dans les provinces du Sud ne sont que la traduction naturelle d’un partenariat bilatéral fort et stratégique, dans le respect de la souveraineté du Royaume.
Alger à contre-courant de l’histoire
Face à cette réalité géopolitique incontestable, l’Algérie continue de s’accrocher à des postures rigides et obsolètes, refusant d’accepter l’évidence : la communauté internationale, dans sa grande majorité, soutient la proposition marocaine et considère l’autonomie comme l’unique voie vers la stabilité régionale.
Au lieu de reconnaître l’évolution des positions mondiales et d’adopter une démarche constructive, Alger persiste à alimenter une hostilité stérile et coûteuse. Cette stratégie d’enlisement diplomatique se traduit non seulement par un isolement grandissant, mais également par une déconnexion avec les réalités contemporaines.
Le pragmatisme marocain, moteur de stabilité
Pendant que l’Algérie s’empêtre dans une rhétorique dépassée, le Maroc continue de s’affirmer comme un acteur régional responsable et visionnaire. En investissant massivement dans le développement de ses provinces sahariennes et en renforçant leur intégration économique au reste du pays, le Royaume démontre concrètement que la paix et la prospérité ne se construisent pas sur des slogans belliqueux, mais sur des projets concrets et ambitieux.
La stratégie proactive de Rabat est aujourd’hui largement reconnue, et l’adhésion de nombreux pays à la position marocaine témoigne de la justesse de cette vision. Plus qu’un simple conflit régional, la question du Sahara est devenue un symbole de stabilité et de modernité dans une région souvent marquée par l’incertitude et les tensions.
Un avenir scellé par le réalisme diplomatique
En fin de compte, la communauté internationale ne s’y trompe pas : la proposition marocaine d’autonomie est non seulement conforme à la légalité internationale, mais elle est aussi la seule à garantir une paix durable. Face aux déclamations désuètes et aux postures figées d’Alger, le Royaume du Maroc continue de tracer sa voie avec pragmatisme et sérénité.
Le monde évolue, les positions changent, mais il est temps que l’Algérie comprenne que sa vision figée du Sahara appartient au passé. Le Maroc, quant à lui, avance, bâtissant un futur où le développement et la stabilité priment sur les antagonismes du passé.