La Défense civile de Gaza a révélé de nouveau chiffres effroyables sur les victimes de la guerre israélienne contre la bande de Gaza et la situation dans l’enclave depuis le 7 octobre.
En plus des plus de 40 mille tués, et des 10 mille autres personnes qui sont portées disparues ou sont restées sous les décombres des maisons et bâtiments détruits, elle a ajouté que 8.240 autres Palestiniens ont été enlevés par les forces israéliennes et personne ne connait leur sort. Auxquels s’ajoutent 2.210 dépouilles qui ont été enlevées des cimetières où elles ont été enterrées.
La Défense civile de Gaza a en outre révélé que l’armée d’occupation israélienne a bombardé l’enclave à l’aide de 85 tonnes d’explosifs, comme ont notifié des rapports onusiens et d’organisations des droits de l’Homme. Elle assure aussi qu’elle a utilisé des armes prohibées et que les cadavres de 1.760 martyrs sont disparus.
Aussi, la quantité d’explosifs utilisés a provoqué la destruction de 80% des structures résidentielles et 90% des infrastructures de l’enclave.
La Défense civile de Gaza a révélé avoir perdu 82 de ses employés officiers, et que 270 autres ont été blessés et tous ses sièges ont été soit détruits entièrement, saccagés ou endommagés partiellement. Ce qui ne l’a pas empêchée, pendant les 317 jours de guerre génocidaire, d’accueillir 87.000 appels de détresse, et de répondre à 72.000 d’entre eux. Dans les 15.000 qui ont été négligés, les causes sont le manque de carburant, les attaques contre les équipements de l’organisation et la fermeture par les forces d’occupation des zones où ses employés devaient se rendre.
En tout, l’organisation a réalisé 255.000 missions pour éteindre les incendies, dégager les dépouilles des victimes et évacuer les rescapés.
Selon les chiffres les plus récents diffusés par le ministère de la Santé de Gaza, celui des martyrs a atteint les 40.099 et celui des blessés les 92.609.
Pour ces dernières 24 heures, il est question de 25 martyrs et de 72 blessés qui ont été emmenés vers les hôpitaux. Certaines victimes sont encore sous les décombres, précise le ministère.
Le samedi, une famille de Sami al-Ajalat a été éliminée du registre civil après la mort de 15 de ses membres dont les lambeaux ont été acheminés à l’hôpital martyrs d’al-Aqsa après un raid perpétré sur un dépôt auquel cette famille s’est réfugiée dans la région al-Zouwayda, au centre de l’enclave.
En plus des plus de 40 mille tués, et des 10 mille autres personnes qui sont portées disparues ou sont restées sous les décombres des maisons et bâtiments détruits, elle a ajouté que 8.240 autres Palestiniens ont été enlevés par les forces israéliennes et personne ne connait leur sort. Auxquels s’ajoutent 2.210 dépouilles qui ont été enlevées des cimetières où elles ont été enterrées.
La Défense civile de Gaza a en outre révélé que l’armée d’occupation israélienne a bombardé l’enclave à l’aide de 85 tonnes d’explosifs, comme ont notifié des rapports onusiens et d’organisations des droits de l’Homme. Elle assure aussi qu’elle a utilisé des armes prohibées et que les cadavres de 1.760 martyrs sont disparus.
Aussi, la quantité d’explosifs utilisés a provoqué la destruction de 80% des structures résidentielles et 90% des infrastructures de l’enclave.
La Défense civile de Gaza a révélé avoir perdu 82 de ses employés officiers, et que 270 autres ont été blessés et tous ses sièges ont été soit détruits entièrement, saccagés ou endommagés partiellement. Ce qui ne l’a pas empêchée, pendant les 317 jours de guerre génocidaire, d’accueillir 87.000 appels de détresse, et de répondre à 72.000 d’entre eux. Dans les 15.000 qui ont été négligés, les causes sont le manque de carburant, les attaques contre les équipements de l’organisation et la fermeture par les forces d’occupation des zones où ses employés devaient se rendre.
En tout, l’organisation a réalisé 255.000 missions pour éteindre les incendies, dégager les dépouilles des victimes et évacuer les rescapés.
Selon les chiffres les plus récents diffusés par le ministère de la Santé de Gaza, celui des martyrs a atteint les 40.099 et celui des blessés les 92.609.
Pour ces dernières 24 heures, il est question de 25 martyrs et de 72 blessés qui ont été emmenés vers les hôpitaux. Certaines victimes sont encore sous les décombres, précise le ministère.
Le samedi, une famille de Sami al-Ajalat a été éliminée du registre civil après la mort de 15 de ses membres dont les lambeaux ont été acheminés à l’hôpital martyrs d’al-Aqsa après un raid perpétré sur un dépôt auquel cette famille s’est réfugiée dans la région al-Zouwayda, au centre de l’enclave.
Une enclave réduites à « 42 millions de tonnes de gravats »
Au centre de la bande de Gaza, où l’armée d’occupation israélienne a largué des tracts demandant aux habitants de les évacuer, il est question d’une mère et de ses 6 enfants qui ont péri dans un raid israélien sur leur maison à Haqer al-Jamea, dans la ville de Deir al-Balah.
4 personnes sont tombées en martyrs et 3 autres ont été blessées dans le pilonnage de la rue al-Ichrine dans le camp de Nusseirat.
4 palestiniens ont été tués dans un raid aérien sur deux appartements à Jabaliya.
Selon l’Unrwa, l’entité sioniste a réduit la zone sure dans la bande de Gaza à 11% de superficie seulement.
L’armée d’occupation étend sa pénétration dans la ville de Khan Younes, jusqu’à la ville de Hamad à l’ouest de la ville, ont rapporté des correspondants sur place. Ses forces se trouvent à quelques centaines de mètres d’une zone qu’elle avait classée comme une zone sure et dans laquelle sont entassés quelque 1.7 million de Palestiniens. L’assaut contre Khan Younes avait été annoncé le 9 août dernier sous prétexte de la présence de structures terroristes dans cette région.
L’ONU a, pour sa part, indiqué que les raids israéliens ont laissé derrière eux « 42 millions de tonnes de gravats ce qui remplirait une file de camions poubelles s’étendant de New York à Singapour », selon l’agence américaine Bloomberg. Pour les dégager, il faudra des années pour le coût de 700 millions de dollars, estime l’organisation onusienne selon laquelle cette tâche est rendue plus difficile par la présence de bombes non explosées, de polluants dangereux et des restes humains sous les décombres.