Le président de la Fédération Algérienne de Football a pris les devants. Sachant qu'il est devenu persona non grata dans le paysage footballistique de son pays, il a préféré annoncer très tôt qu'il ne se représenterait pas à sa propre succession à la tête de la FAF. En fait, il n'a plus le choix.
Déjà en difficulté, la dernière Assemblée Ordinaire et Élective de la CAF l'a totalement discrédité, pas seulement dans le milieu mais surtout auprès l'appareil militaire dirigeant le pays après le vote positif de l'amendement 4 des statuts de la CAF présenté par le Maroc, lequel amendement stipule que seuls les représentants des pays indépendants et membres de l'ONU sont admis au sein de la CAF.
Auparavant, cet article 4 des statuts de la CAF prévoyait l'ouverture de la Confédération à toutes candidatures d'Associations nationales africaines comme représentants officiels gérant le football dans leurs pays respectifs. Mais depuis le 12 mars ce n'est plus possible grâce à l'introduction de l'amendement marocain. Ce qui blackliste le président actuel de la FAF est le fait d'avoir voté au nom de l'Algérie en faveur de l'amendement !
Déjà en difficulté, la dernière Assemblée Ordinaire et Élective de la CAF l'a totalement discrédité, pas seulement dans le milieu mais surtout auprès l'appareil militaire dirigeant le pays après le vote positif de l'amendement 4 des statuts de la CAF présenté par le Maroc, lequel amendement stipule que seuls les représentants des pays indépendants et membres de l'ONU sont admis au sein de la CAF.
Auparavant, cet article 4 des statuts de la CAF prévoyait l'ouverture de la Confédération à toutes candidatures d'Associations nationales africaines comme représentants officiels gérant le football dans leurs pays respectifs. Mais depuis le 12 mars ce n'est plus possible grâce à l'introduction de l'amendement marocain. Ce qui blackliste le président actuel de la FAF est le fait d'avoir voté au nom de l'Algérie en faveur de l'amendement !