Cette rencontre, initiée pour échanger autour des mesures prévues par le projet de loi de finances 2020, a mobilisé du beau monde. La salle était comble et le débat était franc, constructif et de qualité.
A cette occasion, le président de l'ASMEX, Hassan Sentissi El Idrissi, a annoncé la création d’un Comité d’action pour l’Export au service de la compétitivité des entreprises exportatrices dans un esprit de partenariat Public-Privé. Etant convaincu de la place centrale qu’occupe la fiscalité dans toute politique de relance économique et de l’investissement, Hassan Sentissi El Idrissi a annoncé que « le Comité de crise, constitué par l’ASMEX le 30 octobre dernier, se transforme à l’issue de cette importante rencontre d’aujourd’hui en Comité d’action pour l’Export ». Objectif : ériger l’export comme priorité nationale à même d’augmenter la valeur ajoutée et de réduire le déficit de la balance commerciale du pays.
Pour sa part, le ministre de l’Industrie était catégorique. Il a annoncé qu’il «n’y aura pas de retour sur les mesures prises dans le cadre du PLF 2020 concernant les zones franches». Toutefois, il s’est dit ouvert à accompagner les exportateurs lors de la négociation d’amendement de la mesure portant sur le relèvement du taux de l’IS de 17,5% à 20%. Pour sa part, Mohamed Benchaâboune s’est également montré ouvert au dialogue. A suivre.
Nadia DREF
A cette occasion, le président de l'ASMEX, Hassan Sentissi El Idrissi, a annoncé la création d’un Comité d’action pour l’Export au service de la compétitivité des entreprises exportatrices dans un esprit de partenariat Public-Privé. Etant convaincu de la place centrale qu’occupe la fiscalité dans toute politique de relance économique et de l’investissement, Hassan Sentissi El Idrissi a annoncé que « le Comité de crise, constitué par l’ASMEX le 30 octobre dernier, se transforme à l’issue de cette importante rencontre d’aujourd’hui en Comité d’action pour l’Export ». Objectif : ériger l’export comme priorité nationale à même d’augmenter la valeur ajoutée et de réduire le déficit de la balance commerciale du pays.
Pour sa part, le ministre de l’Industrie était catégorique. Il a annoncé qu’il «n’y aura pas de retour sur les mesures prises dans le cadre du PLF 2020 concernant les zones franches». Toutefois, il s’est dit ouvert à accompagner les exportateurs lors de la négociation d’amendement de la mesure portant sur le relèvement du taux de l’IS de 17,5% à 20%. Pour sa part, Mohamed Benchaâboune s’est également montré ouvert au dialogue. A suivre.
Nadia DREF