Enâam Mayara, secrétaire général de l'Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM)
Dans un appel lancé à l'occasion du 1er mai, la centrale syndicale a souligné la nécessité de respecter les libertés syndicales dans la législation et la réalité, en adhérant à la Convention internationale du travail n° 87 et en harmonisant les lois nationales pour les rendre conformes aux normes internationales en la matière.
Le syndicat a également appelé à mettre en œuvre les mécanismes du dialogue social national, à retirer le projet de loi sur la grève et à le remettre sur la table du dialogue social, tout en exprimant son rejet de tous les modes du travail fragiles dans les secteurs public et privé.
L'Union générale a, en outre, mis l'accent sur la mise en œuvre de tous les accords du dialogue sectoriel, la publication des décrets d'accord et le déblocage des redevances financières pour les promotions effectuées, relevant que la commémoration du 1er mai de cette année dans un contexte de crise sanitaire intervient dans une conjoncture particulière marquée par le lancement de l'organisation de l'élection des délégués des salariés dans les secteurs public et privé.
Par ailleurs, l'Union générale des travailleurs du Maroc a estimé que la pandémie a dévoilé des inégalités sociales vécues par la classe ouvrière, et sa souffrance avec les contraintes de la protection sociale dans toutes ses dimensions.
Le syndicat a également appelé à mettre en œuvre les mécanismes du dialogue social national, à retirer le projet de loi sur la grève et à le remettre sur la table du dialogue social, tout en exprimant son rejet de tous les modes du travail fragiles dans les secteurs public et privé.
L'Union générale a, en outre, mis l'accent sur la mise en œuvre de tous les accords du dialogue sectoriel, la publication des décrets d'accord et le déblocage des redevances financières pour les promotions effectuées, relevant que la commémoration du 1er mai de cette année dans un contexte de crise sanitaire intervient dans une conjoncture particulière marquée par le lancement de l'organisation de l'élection des délégués des salariés dans les secteurs public et privé.
Par ailleurs, l'Union générale des travailleurs du Maroc a estimé que la pandémie a dévoilé des inégalités sociales vécues par la classe ouvrière, et sa souffrance avec les contraintes de la protection sociale dans toutes ses dimensions.