Le bras de fer entre le MCO et Abdeslam Ouaddou se durcit et semble tourner à l'avantage du MCO.
Jeudi, une information annonçait l'hospitalisation de l'actuel coach, du moins sur le papier, du MCO.
Le malaise de Ouaddou est dû à la pression dont il est l'objet de la part du Comité du club pour le pousser à déclarer forfait et démissionner. Le MCO cherche à le pousser vers la porte pour éviter les indemnités consécutives à un licenciement qui pourrait être qualifié d’abusif avec tout ce qui en suit de conséquences juridiques et financières.
Une rixe, les couteaux sous les manteaux !
La chronologie des événements était montée crescendo. Il y a eu les sorties médiatiques Abdeslam Ouaddou critiques envers la gestion du club accusé de ne pas respecter ses obligations envers les joueurs. Le président n'a pas apprécié. La riposte n'a pas tardé. L'affaire de l'entraîneur des gardiens a surgi. Elle a explosé à l'aéroport Mohammed V. Le litige s'était aggravé. Le club ne veut plus de Ouaddou. Mais il a un contrat bien ficelé de 4 ans. Pour s'en débarrasser, on use de la guerre psychologique. Ouaddou résiste mais son mental finit par lâcher. Il craque. Une hospitalisation en est la conséquence. Que va-t-il se passer ?
Qui est le méchant ? Qui est le gentil ?
On a l'impression de suivre une série mélodramatique. Qui est le « méchant » ? Qui est le « gentil » ? Cela dépend du point de vue des uns et des autres. Mais ce dont on est sûr : Abdeslam Ouaddou ne sortira pas indemne de sa première expérience. Elle le marquera pour toujours.
Jeudi, une information annonçait l'hospitalisation de l'actuel coach, du moins sur le papier, du MCO.
Le malaise de Ouaddou est dû à la pression dont il est l'objet de la part du Comité du club pour le pousser à déclarer forfait et démissionner. Le MCO cherche à le pousser vers la porte pour éviter les indemnités consécutives à un licenciement qui pourrait être qualifié d’abusif avec tout ce qui en suit de conséquences juridiques et financières.
Une rixe, les couteaux sous les manteaux !
La chronologie des événements était montée crescendo. Il y a eu les sorties médiatiques Abdeslam Ouaddou critiques envers la gestion du club accusé de ne pas respecter ses obligations envers les joueurs. Le président n'a pas apprécié. La riposte n'a pas tardé. L'affaire de l'entraîneur des gardiens a surgi. Elle a explosé à l'aéroport Mohammed V. Le litige s'était aggravé. Le club ne veut plus de Ouaddou. Mais il a un contrat bien ficelé de 4 ans. Pour s'en débarrasser, on use de la guerre psychologique. Ouaddou résiste mais son mental finit par lâcher. Il craque. Une hospitalisation en est la conséquence. Que va-t-il se passer ?
Qui est le méchant ? Qui est le gentil ?
On a l'impression de suivre une série mélodramatique. Qui est le « méchant » ? Qui est le « gentil » ? Cela dépend du point de vue des uns et des autres. Mais ce dont on est sûr : Abdeslam Ouaddou ne sortira pas indemne de sa première expérience. Elle le marquera pour toujours.