Le Royaume du Maroc et son ambassadeur en France, Chakib Benmoussa, ont mandaté Me Olivier Baratelli pour délivrer, dès aujourd'hui, deux citations directes en diffamation contre les deux associations à l'origine de la très polémique affaire Pegasus. Une première audience procédurale est prévue le 8 octobre devant la chambre spécialisée en droit de la presse, mais le procès ne devrait pas avoir lieu avant environ deux ans, indique l’Agence de presse AFP.
«L'Etat marocain entend immédiatement saisir la justice française car il souhaite que toute la lumière soit faite sur les allégations mensongères de ces deux organisations qui avancent des éléments sans la moindre preuve concrète et démontrée», souligne Me Baratelli dans son communiqué.
Le Royaume considère faire face à une nouvelle affaire de liste et que le passé a largement démontré qu'il était aisé de tirer des conclusions mensongères de telles pratiques, ajoute l'avocat, déplorant un «procès d'intention médiatique, infondé et visiblement créé de toute pièce pour déstabiliser la relation diplomatique profonde entre le Maroc et la France».
Le Maroc «entend ne pas laisser impunis les multiples mensonges et les fake news propagés ces derniers jours», précise-t-on.
Il est à noter que le Procureur Général du Roi près la Cour d’appel de Rabat a également donné des instructions à la Brigade Nationale de la Police Judiciaire pour mener une enquête approfondie sur la question, afin de déterminer les circonstances et d’élucider les tenants et aboutissants entourant la publication de ces accusations et allégations et d'établir les responsabilités ainsi que les conséquences juridiques qui en découlent à la lumière des résultats de l'enquête.
«L'Etat marocain entend immédiatement saisir la justice française car il souhaite que toute la lumière soit faite sur les allégations mensongères de ces deux organisations qui avancent des éléments sans la moindre preuve concrète et démontrée», souligne Me Baratelli dans son communiqué.
Le Royaume considère faire face à une nouvelle affaire de liste et que le passé a largement démontré qu'il était aisé de tirer des conclusions mensongères de telles pratiques, ajoute l'avocat, déplorant un «procès d'intention médiatique, infondé et visiblement créé de toute pièce pour déstabiliser la relation diplomatique profonde entre le Maroc et la France».
Le Maroc «entend ne pas laisser impunis les multiples mensonges et les fake news propagés ces derniers jours», précise-t-on.
Il est à noter que le Procureur Général du Roi près la Cour d’appel de Rabat a également donné des instructions à la Brigade Nationale de la Police Judiciaire pour mener une enquête approfondie sur la question, afin de déterminer les circonstances et d’élucider les tenants et aboutissants entourant la publication de ces accusations et allégations et d'établir les responsabilités ainsi que les conséquences juridiques qui en découlent à la lumière des résultats de l'enquête.