Animée par le Président du CESE, Ahmed Réda Chami, cette rencontre qui s’inscrit dans le cadre du Roadshow du Conseil qui sillonne les universités marocaines à travers les régions, a mis l’accent sur le réel potentiel dont dispose le Maroc en matière d’économie bleue.
En effet, les deux façades maritimes s’étendant sur 3.500 km de littoral, ainsi que 1.2 millions de km² de zone économique maritime exclusive, avec un patrimoine halieutique et des ressources renouvelables considérables, confèrent au Royaume un important capital maritime.
Dans une déclaration à la MAP, M.Chami a indiqué que cette conférence qui s’inscrit dans le cadre de la politique d’ouverture du CESE sur le milieu universitaire, souligne l’importance capitale de l’économie bleue à l’ère notamment des phénomènes du changement climatique et de la pollution des océans.
Et d’ajouter que cette rencontre met les projecteurs sur l’énorme potentiel du Royaume en matière d’économie bleue, tout en accordant un intérêt particulier aux atouts dont regorge la région de Souss-Massa dans ce domaine.
Dans ce sens, M.Chami a souligné l’importance d'une valorisation optimale des potentialités offertes par l’économie bleue, mettant l’accent sur l’impératif d’impliquer selon une approche participative, l’ensemble des acteurs concernés par cette question.
Le CESE avait publié un rapport dans l’objectif d’identifier les voies et moyens à même de faire de l’économie bleue l’un des piliers du nouveau modèle de développement du Royaume.
Ce document a souligné l’importance d’assurer une planification spatiale maritime au niveau territorial basée sur une approche écosystémique et de renforcer le rôle central des territoires dans le développement des secteurs de l’économie bleue dans le cadre de la régionalisation avancée.
Il a également, mis l’accent sur une meilleure valorisation et une exploitation durable des produits et services de la mer couplée à une accélération du développement d’une aquaculture écoresponsable et de services portuaires innovants.
De même, le rapport a recommandé la promotion du développement des nouvelles filières de l’économie bleue, notamment les biotechnologies marines, les énergies renouvelables, le dessalement écologiquement responsable et les activités d’exploration et d’exploitation minières et fossiles.
Il est question aussi du développement de l’offre de croisière, de plaisance et des sports nautiques et le lancement d’initiatives culturelles autour de la mer et de ses activités en mettant en valeur les traditions culturelles des populations du littoral (événements maritimes, concours et compétitions, etc.).
Le CESE a insisté sur l’investissement dans la recherche et l’innovation autour des différents secteurs de l’économie bleue et l’introduction des métiers de l’économie bleue dans le système d’éducation et de formation professionnelle, en créant davantage de cursus universitaires spécialisés dans les domaines maritimes, pour l’émergence d’une main d’œuvre bleue qualifiée et compétente.
A rappeler que le roadshow régional du CESE se veut une occasion pour rencontrer les étudiantes et les étudiants des universités, leur présenter les missions et travaux du Conseil et les inviter à partager leurs avis et contributions sur la plateforme digitale participative du CESE "ouchariko.ma".
En effet, les deux façades maritimes s’étendant sur 3.500 km de littoral, ainsi que 1.2 millions de km² de zone économique maritime exclusive, avec un patrimoine halieutique et des ressources renouvelables considérables, confèrent au Royaume un important capital maritime.
Dans une déclaration à la MAP, M.Chami a indiqué que cette conférence qui s’inscrit dans le cadre de la politique d’ouverture du CESE sur le milieu universitaire, souligne l’importance capitale de l’économie bleue à l’ère notamment des phénomènes du changement climatique et de la pollution des océans.
Et d’ajouter que cette rencontre met les projecteurs sur l’énorme potentiel du Royaume en matière d’économie bleue, tout en accordant un intérêt particulier aux atouts dont regorge la région de Souss-Massa dans ce domaine.
Dans ce sens, M.Chami a souligné l’importance d'une valorisation optimale des potentialités offertes par l’économie bleue, mettant l’accent sur l’impératif d’impliquer selon une approche participative, l’ensemble des acteurs concernés par cette question.
Le CESE avait publié un rapport dans l’objectif d’identifier les voies et moyens à même de faire de l’économie bleue l’un des piliers du nouveau modèle de développement du Royaume.
Ce document a souligné l’importance d’assurer une planification spatiale maritime au niveau territorial basée sur une approche écosystémique et de renforcer le rôle central des territoires dans le développement des secteurs de l’économie bleue dans le cadre de la régionalisation avancée.
Il a également, mis l’accent sur une meilleure valorisation et une exploitation durable des produits et services de la mer couplée à une accélération du développement d’une aquaculture écoresponsable et de services portuaires innovants.
De même, le rapport a recommandé la promotion du développement des nouvelles filières de l’économie bleue, notamment les biotechnologies marines, les énergies renouvelables, le dessalement écologiquement responsable et les activités d’exploration et d’exploitation minières et fossiles.
Il est question aussi du développement de l’offre de croisière, de plaisance et des sports nautiques et le lancement d’initiatives culturelles autour de la mer et de ses activités en mettant en valeur les traditions culturelles des populations du littoral (événements maritimes, concours et compétitions, etc.).
Le CESE a insisté sur l’investissement dans la recherche et l’innovation autour des différents secteurs de l’économie bleue et l’introduction des métiers de l’économie bleue dans le système d’éducation et de formation professionnelle, en créant davantage de cursus universitaires spécialisés dans les domaines maritimes, pour l’émergence d’une main d’œuvre bleue qualifiée et compétente.
A rappeler que le roadshow régional du CESE se veut une occasion pour rencontrer les étudiantes et les étudiants des universités, leur présenter les missions et travaux du Conseil et les inviter à partager leurs avis et contributions sur la plateforme digitale participative du CESE "ouchariko.ma".