En réponse à une question orale du groupe du Rassemblement national des indépendants à la Chambre des représentants sur l'organisation du transport des voyageurs à l’occasion de l’Aïd Al-Adha, Abdeljalil a passé en revue les mesures prises par le ministère du Transport et de la Logistique visant à garantir les conditions de sécurité et de sûreté des voyageurs, citant la soumission des autocars, censés être agréés pour desservir en renfort les lignes existantes, au contrôle mécanique par les services compétents, outre le renforcement des opérations de contrôle des autocars de transport public des voyageurs reliant les villes par les intervenants concernés sur tous le réseau routier.
Il a précisé, à cet égard, que le ministère a mis en place une procédure simplifiée d'octroi de licences afin de traiter les demandes de voyages exceptionnels pendant les fêtes, relevant que le nombre de licences exceptionnelles accordées lors de l'Aïd Al-Fitr dernier s'élevait à environ 1.400, contre 893 licences attribuées à la même occasion en 2023, soit une augmentation de 56%.
Pour ce qui est des mesures engagées pour éviter les problèmes relatifs à l’augmentation des prix des tickets, le ministre a indiqué que la moyenne des prix relevée pendant l'Aïd ne dépasse pas le prix maximum fixé dans l'arrêté ministériel de 1996, ajoutant que "pour contrer les dépassements exceptionnels liés au non-respect des prix, il a été procédé au renforcement de l’action des commissions de contrôle sous la supervision des autorités locales".
Il a précisé, à cet égard, que le ministère a mis en place une procédure simplifiée d'octroi de licences afin de traiter les demandes de voyages exceptionnels pendant les fêtes, relevant que le nombre de licences exceptionnelles accordées lors de l'Aïd Al-Fitr dernier s'élevait à environ 1.400, contre 893 licences attribuées à la même occasion en 2023, soit une augmentation de 56%.
Pour ce qui est des mesures engagées pour éviter les problèmes relatifs à l’augmentation des prix des tickets, le ministre a indiqué que la moyenne des prix relevée pendant l'Aïd ne dépasse pas le prix maximum fixé dans l'arrêté ministériel de 1996, ajoutant que "pour contrer les dépassements exceptionnels liés au non-respect des prix, il a été procédé au renforcement de l’action des commissions de contrôle sous la supervision des autorités locales".