Pour remédier aux lacunes du secteur, le ministre, a indiqué à la Chambre des représentants que son département est sur la voie d'élaboration d'un plan national stratégique multisectoriel pour la santé mentale. De plus, un projet d'évaluation du système de santé mentale est également en cours d’élaboration avec le soutien de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
«Les programmes en cours d’application vise à combler les échecs enregistré dans ce domaine depuis plusieurs années», a souligné le ministre qui insiste sur l’importance d’assurer l'approvisionnement adéquat et continu en médicaments pour les établissements d'urgence. Tout en soulignant le manque de médecins spécialisés en psychiatrie, dont le nombre ne dépasse pas 121, Ait Taleb a exprimé la volonté du gouvernement d'augmenter le nombre de psychiatres formés annuellement, tout en améliorant le cadre légal de la profession de psychologue. Il s’agit également de réaffecter les ressources humaines spécialisées en psychiatrie employées dans les établissements de santé.
«L’arsenal juridique relatif à la santé mentale n'est plus adapté aux évolutions que connait la filière et aux orientations du Programme national de la santé mentale et de l'OMS», a relevé le ministre, affirmant qu’il faut plus d’efforts dans ce cadre.
Côté infrastructures, le ministre a annoncé la poursuite de la mise en place des services psychiatriques intégrés dans les hôpitaux publics, la construction et l'équipement de 3 hôpitaux de santé mentale à Agadir, Kénitra et Beni-Mellal, avec 120 lits chacun, ainsi que la reconstruction de l'hôpital psychiatrique de Berrechid.
«Les programmes en cours d’application vise à combler les échecs enregistré dans ce domaine depuis plusieurs années», a souligné le ministre qui insiste sur l’importance d’assurer l'approvisionnement adéquat et continu en médicaments pour les établissements d'urgence. Tout en soulignant le manque de médecins spécialisés en psychiatrie, dont le nombre ne dépasse pas 121, Ait Taleb a exprimé la volonté du gouvernement d'augmenter le nombre de psychiatres formés annuellement, tout en améliorant le cadre légal de la profession de psychologue. Il s’agit également de réaffecter les ressources humaines spécialisées en psychiatrie employées dans les établissements de santé.
«L’arsenal juridique relatif à la santé mentale n'est plus adapté aux évolutions que connait la filière et aux orientations du Programme national de la santé mentale et de l'OMS», a relevé le ministre, affirmant qu’il faut plus d’efforts dans ce cadre.
Côté infrastructures, le ministre a annoncé la poursuite de la mise en place des services psychiatriques intégrés dans les hôpitaux publics, la construction et l'équipement de 3 hôpitaux de santé mentale à Agadir, Kénitra et Beni-Mellal, avec 120 lits chacun, ainsi que la reconstruction de l'hôpital psychiatrique de Berrechid.