Selon des sources proches du commandement militaire algérien, la dernière visite en Chine du général d’armée Saïd Chengriha, chef d’état-major de l’armée algérienne, a révélé une profonde animosité entre le général-major Ali Yahia Oulhadj, commandant en chef de la gendarmerie nationale et le général-major Abdelaziz Houam, Commandant des Forces aériennes du territoire. « Une querelle qui couve depuis plusieurs mois » dit-on
Entre les deux hommes, le courant ne passe plus. Ils se livrent à distance une guéguerre qui risque de se terminer à l’avantage du dernier nommé, considéré comme l’un des larbins les plus obéissants et le plus proche de l’homme fort du régime algérien.
Chacun tente de faire sortir le linge sale de son antagoniste pour le pousser à la sortie et pourquoi pas aux portes de la prison de Blida. Dans cette querelle, le commandant de la défense du territoire n’y va pas de main morte. Il tire avec du lourd. Il sort « le passé sinistre du chef de la gendarmerie à Sougueur, Tissemsilt, et Tiaret, dans l’ouest algérien où il aurait perpétré de graves crimes contre des citoyens paisibles durant la guerre civile. A ces crimes s’ajoutent les trafics en tous genres source d’enrichissement illicite » selon des officiers qui ont exercé sous ses ordres avant qu’il ne prenne les commandes de la gendarmerie.
Entre les deux hommes, le courant ne passe plus. Ils se livrent à distance une guéguerre qui risque de se terminer à l’avantage du dernier nommé, considéré comme l’un des larbins les plus obéissants et le plus proche de l’homme fort du régime algérien.
Chacun tente de faire sortir le linge sale de son antagoniste pour le pousser à la sortie et pourquoi pas aux portes de la prison de Blida. Dans cette querelle, le commandant de la défense du territoire n’y va pas de main morte. Il tire avec du lourd. Il sort « le passé sinistre du chef de la gendarmerie à Sougueur, Tissemsilt, et Tiaret, dans l’ouest algérien où il aurait perpétré de graves crimes contre des citoyens paisibles durant la guerre civile. A ces crimes s’ajoutent les trafics en tous genres source d’enrichissement illicite » selon des officiers qui ont exercé sous ses ordres avant qu’il ne prenne les commandes de la gendarmerie.
Pour mieux enfoncer Ali Yahia Oulhadj, l’e général-major Houam et ses proches rappellent que le gendarme était un fidèle du général-major Hamel, aujourd’hui en prison. Il lui doit, en grande partie, son ascension. Après la chute de son protecteur en 2018 il se met sous l’aile du nouveau patron de la gendarmerie nationale, le général-major Ghali Belksir, aujourd’hui en fuite et condamné par contumace à une lourde peine de prison. C’est dire que les anciens mentors de l’actuel patron de la gendarmerie sont soit en prison soit en fuite.
Ses détracteurs disent s’étonner de sa capacité à rebondir à chaque fois qu’on le donnait pour mort. « Il fait preuve d’un opportunisme sans pareil » dit-on. A la nomination d’un nouveau chef, il fait preuve de promptitude pour exprimer son allégeance et sa soumission. Et lorsque les choses s’étaient corsées pour lui, il est allé se faire oublier en prenant sa retraite juste après le limogeage de son nouveau parrain Ghali Belksir.
Une retraite qui ne dura pas longtemps. Il a su établir le contact avec le nouveau patron de l’armée, le général Chengriha qui était à la recherche d’hommes au profil obéissant, fidèle et manipulable. Il le place, d’abord au poste de chef d’état-major de la gendarmerie pour quelques mois tout en bénéficiant d’une promotion qui l’éleva au grade de général en 2020, avant de le propulser à la tête du même corps au mois d’août 2021 en remplacement du général Gouasmia. Deux ans plus tard, il bénéficie d’une nouvelle promotion et il est élevé au grade de général-major. C’est dire que les démons d’un passé aussi sinistre n’ont pas eu raison d’un homme qui sait louvoyer pour atteindre les cimes. Le général Abdelaziz Houam parviendra-t-il à le dénuder et à le faire tomber ?
En privé, le patron de la gendarmerie dit avec assurance qu’il n’a rien à craindre de celui qu’il qualifie de « soldat poltron ». Ce qui est vrai selon ses proches. « Il n’y a pas plus peureux que Abdelaziz Houam dans l’armée algérienne » témoigne un officier à la retraite issu de sa région natale.
En effet, le général-major Abdelaziz Houam (69 ans) natif de la ville de Ouenza, dans la wilaya de Tébessa à la frontière algéro-tunisienne a fait l’essentiel de sa carrière dans les unités opérationnelles depuis sa sortie de l’académie interarmes Houari Boumediene de Cherchell. Il gravit les promotions à la régulière. En 2010, il passe au grade de général et 6 ans plus tard en 2016, il est promu au grade de général-major.
On ne lui connaît aucune implication dans une quelconque affaire scabreuse ou de corruption contrairement à, beaucoup de ses pairs. « Il n’intervient même pas pour rendre service aux membres de sa famille » témoigne une de ses connaissances en ajoutant « ce n’est pas par conviction mais tout simplement la peur le tient à l’écart des affaires ». Ses adversaires de l’entourage du patron de la gendarmerie estiment « qu’il n’est pas un homme sur qui on peut compter dans les coups durs, tellement il est mou et peureux ».
Si cette querelle inattendue entre deux chefs militaires que tout sépare et rien ne rapproche venait à gagner en intensité, le général Chengriha aura à choisir entre un général roublard et un général couard. Quel dilemme !
Ses détracteurs disent s’étonner de sa capacité à rebondir à chaque fois qu’on le donnait pour mort. « Il fait preuve d’un opportunisme sans pareil » dit-on. A la nomination d’un nouveau chef, il fait preuve de promptitude pour exprimer son allégeance et sa soumission. Et lorsque les choses s’étaient corsées pour lui, il est allé se faire oublier en prenant sa retraite juste après le limogeage de son nouveau parrain Ghali Belksir.
Une retraite qui ne dura pas longtemps. Il a su établir le contact avec le nouveau patron de l’armée, le général Chengriha qui était à la recherche d’hommes au profil obéissant, fidèle et manipulable. Il le place, d’abord au poste de chef d’état-major de la gendarmerie pour quelques mois tout en bénéficiant d’une promotion qui l’éleva au grade de général en 2020, avant de le propulser à la tête du même corps au mois d’août 2021 en remplacement du général Gouasmia. Deux ans plus tard, il bénéficie d’une nouvelle promotion et il est élevé au grade de général-major. C’est dire que les démons d’un passé aussi sinistre n’ont pas eu raison d’un homme qui sait louvoyer pour atteindre les cimes. Le général Abdelaziz Houam parviendra-t-il à le dénuder et à le faire tomber ?
En privé, le patron de la gendarmerie dit avec assurance qu’il n’a rien à craindre de celui qu’il qualifie de « soldat poltron ». Ce qui est vrai selon ses proches. « Il n’y a pas plus peureux que Abdelaziz Houam dans l’armée algérienne » témoigne un officier à la retraite issu de sa région natale.
En effet, le général-major Abdelaziz Houam (69 ans) natif de la ville de Ouenza, dans la wilaya de Tébessa à la frontière algéro-tunisienne a fait l’essentiel de sa carrière dans les unités opérationnelles depuis sa sortie de l’académie interarmes Houari Boumediene de Cherchell. Il gravit les promotions à la régulière. En 2010, il passe au grade de général et 6 ans plus tard en 2016, il est promu au grade de général-major.
On ne lui connaît aucune implication dans une quelconque affaire scabreuse ou de corruption contrairement à, beaucoup de ses pairs. « Il n’intervient même pas pour rendre service aux membres de sa famille » témoigne une de ses connaissances en ajoutant « ce n’est pas par conviction mais tout simplement la peur le tient à l’écart des affaires ». Ses adversaires de l’entourage du patron de la gendarmerie estiment « qu’il n’est pas un homme sur qui on peut compter dans les coups durs, tellement il est mou et peureux ».
Si cette querelle inattendue entre deux chefs militaires que tout sépare et rien ne rapproche venait à gagner en intensité, le général Chengriha aura à choisir entre un général roublard et un général couard. Quel dilemme !
En privé, le patron de la gendarmerie dit avec assurance qu’il n’a rien à craindre de celui qu’il qualifie de « soldat poltron ». Ce qui est vrai selon ses proches. « Il n’y a pas plus peureux que Abdelaziz Houam dans l’armée algérienne » témoigne un officier à la retraite issu de sa région natale.
En effet, le général-major Abdelaziz Houam (69 ans) natif de la ville de Ouenza, dans la wilaya de Tébessa à la frontière algéro-tunisienne a fait l’essentiel de sa carrière dans les unités opérationnelles depuis sa sortie de l’académie interarmes Houari Boumediene de Cherchell. Il gravit les promotions à la régulière. En 2010, il passe au grade de général et 6 ans plus tard en 2016, il est promu au grade de général-major.
On ne lui connaît aucune implication dans une quelconque affaire scabreuse ou de corruption contrairement à, beaucoup de ses pairs. « Il n’intervient même pas pour rendre service aux membres de sa famille » témoigne une de ses connaissances en ajoutant « ce n’est pas par conviction mais tout simplement la peur le tient à l’écart des affaires ». Ses adversaires de l’entourage du patron de la gendarmerie estiment « qu’il n’est pas un homme sur qui on peut compter dans les coups durs, tellement il est mou et peureux ».
Si cette querelle inattendue entre deux chefs militaires que tout sépare et rien ne rapproche venait à gagner en intensité, le général Chengriha aura à choisir entre un général roublard et un général couard. Quel dilemme !
En effet, le général-major Abdelaziz Houam (69 ans) natif de la ville de Ouenza, dans la wilaya de Tébessa à la frontière algéro-tunisienne a fait l’essentiel de sa carrière dans les unités opérationnelles depuis sa sortie de l’académie interarmes Houari Boumediene de Cherchell. Il gravit les promotions à la régulière. En 2010, il passe au grade de général et 6 ans plus tard en 2016, il est promu au grade de général-major.
On ne lui connaît aucune implication dans une quelconque affaire scabreuse ou de corruption contrairement à, beaucoup de ses pairs. « Il n’intervient même pas pour rendre service aux membres de sa famille » témoigne une de ses connaissances en ajoutant « ce n’est pas par conviction mais tout simplement la peur le tient à l’écart des affaires ». Ses adversaires de l’entourage du patron de la gendarmerie estiment « qu’il n’est pas un homme sur qui on peut compter dans les coups durs, tellement il est mou et peureux ».
Si cette querelle inattendue entre deux chefs militaires que tout sépare et rien ne rapproche venait à gagner en intensité, le général Chengriha aura à choisir entre un général roublard et un général couard. Quel dilemme !