L’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (Unesco) et la Banque mondiale viennent d’annoncer leur engagement dans une initiative pour la relance et le développement post-Covid-19 des industries urbaines culturelles et créatives.
Intitulée «Villes, Culture et Créativité», la mise en synergie des actions de l’Unesco, bras culturel de l’ONU, et de la Banque mondiale, bras financier de la communauté internationale, entend ainsi stimuler « la créativité des villes par l’élaboration d’écosystèmes durables, dans lesquels les industries culturelles et créatives peuvent atteindre leur plein potentiel et contribuer ainsi à la croissance économique, au dynamisme urbain, à l’inclusion sociale et à l’innovation ».
L’initiative «Villes, Culture et Créativité» prend appui sur des études mondiales et sur des enseignements d’expériences menées dans quelques villes ayant collaboré avec la Banque mondiale et l’Unesco et qui, en exploitant le potentiel créatif, sont parvenues à obtenir des résultats socio-économiques suffisamment importants pour servir de modèles à une approche plus globale et intégrée.
Le Réseau des villes créatives a été mis en place par l’Unesco (RVCU) dès 2004 en vue de promouvoir la coopération avec et entre les villes ayant identifié la créativité comme un facteur stratégique du développement urbain durable. Ce réseau compte pas moins de 246 villes qui oeuvrent à placer la créativité et les industries culturelles au coeur de leur plan de développement, d’une part, au niveau local et coopérer activement, d’autre part, au niveau international, selon la feuille de route de l’Unesco.
L’intérêt de la Banque mondiale pour ce secteur n’est pas fortuit. Le poids de l’économie créative s’apprécie en dizaines de milliards de dollars en termes de revenus, de recettes d’exportation et de l’emploi. Deux chiffres pour juger de l’importance économique des industries culturelles et créatives : 2 250 milliards de dollars est le chiffre d’affaires généré par celles-ci dans le monde, pour des exportations qui franchissent la barre des 250 milliards de dollars et 30 millions d’emplois qui se caractérisent par la jeunesse de la population active dans le secteur, une population qui se recrute principalement dans la tranche d’âge des 15 à 29 ans.
Intitulée «Villes, Culture et Créativité», la mise en synergie des actions de l’Unesco, bras culturel de l’ONU, et de la Banque mondiale, bras financier de la communauté internationale, entend ainsi stimuler « la créativité des villes par l’élaboration d’écosystèmes durables, dans lesquels les industries culturelles et créatives peuvent atteindre leur plein potentiel et contribuer ainsi à la croissance économique, au dynamisme urbain, à l’inclusion sociale et à l’innovation ».
L’initiative «Villes, Culture et Créativité» prend appui sur des études mondiales et sur des enseignements d’expériences menées dans quelques villes ayant collaboré avec la Banque mondiale et l’Unesco et qui, en exploitant le potentiel créatif, sont parvenues à obtenir des résultats socio-économiques suffisamment importants pour servir de modèles à une approche plus globale et intégrée.
Le Réseau des villes créatives a été mis en place par l’Unesco (RVCU) dès 2004 en vue de promouvoir la coopération avec et entre les villes ayant identifié la créativité comme un facteur stratégique du développement urbain durable. Ce réseau compte pas moins de 246 villes qui oeuvrent à placer la créativité et les industries culturelles au coeur de leur plan de développement, d’une part, au niveau local et coopérer activement, d’autre part, au niveau international, selon la feuille de route de l’Unesco.
L’intérêt de la Banque mondiale pour ce secteur n’est pas fortuit. Le poids de l’économie créative s’apprécie en dizaines de milliards de dollars en termes de revenus, de recettes d’exportation et de l’emploi. Deux chiffres pour juger de l’importance économique des industries culturelles et créatives : 2 250 milliards de dollars est le chiffre d’affaires généré par celles-ci dans le monde, pour des exportations qui franchissent la barre des 250 milliards de dollars et 30 millions d’emplois qui se caractérisent par la jeunesse de la population active dans le secteur, une population qui se recrute principalement dans la tranche d’âge des 15 à 29 ans.