Amnesty International a condamné ce qu'elle a qualifié de « traitement raciste et oppressif » des manifestations en faveur des droits des Palestiniens dans les universités américaines, soulignant que protester contre ce qui se passe à Gaza est devenu « une question de grande importance ».
Elle a déclaré dans un communiqué mercredi soir que les manifestations dénonçant la guerre israélienne dans la bande de Gaza et soutenant les droits des Palestiniens en général sur les campus de certaines universités « ont été contrecarrées par des pratiques racistes et oppressives de la part des administrations universitaires ».
Elle a expliqué que ces pratiques s'opposent à la nécessité pour les universités de « faciliter et protéger le droit de protestation de leurs étudiants ».
"Les administrations universitaires ont déployé de grands efforts pour réprimer les manifestations, en impliquant même les autorités locales et en exigeant des arrestations, tout en punissant les étudiants qui participent à des manifestations pacifiques".
Le communiqué de l'organisation de défense des droits humains (basée à Londres) condamne la position des administrations de certaines universités de premier plan aux États-Unis, notamment de Colombie et du Texas, et leur recours à la police pour disperser les manifestants soutenant les Palestiniens et l'arrestation d'un certain nombre d'étudiants qui participaient à ces rassemblements.
Amnesty International a exhorté les administrations universitaires aux États-Unis à « protéger et faciliter le droit de tous les étudiants à manifester pacifiquement et en toute sécurité, ainsi qu'à organiser des contre-manifestations sur leurs campus ».
Elle a déclaré dans un communiqué mercredi soir que les manifestations dénonçant la guerre israélienne dans la bande de Gaza et soutenant les droits des Palestiniens en général sur les campus de certaines universités « ont été contrecarrées par des pratiques racistes et oppressives de la part des administrations universitaires ».
Elle a expliqué que ces pratiques s'opposent à la nécessité pour les universités de « faciliter et protéger le droit de protestation de leurs étudiants ».
"Les administrations universitaires ont déployé de grands efforts pour réprimer les manifestations, en impliquant même les autorités locales et en exigeant des arrestations, tout en punissant les étudiants qui participent à des manifestations pacifiques".
Le communiqué de l'organisation de défense des droits humains (basée à Londres) condamne la position des administrations de certaines universités de premier plan aux États-Unis, notamment de Colombie et du Texas, et leur recours à la police pour disperser les manifestants soutenant les Palestiniens et l'arrestation d'un certain nombre d'étudiants qui participaient à ces rassemblements.
Amnesty International a exhorté les administrations universitaires aux États-Unis à « protéger et faciliter le droit de tous les étudiants à manifester pacifiquement et en toute sécurité, ainsi qu'à organiser des contre-manifestations sur leurs campus ».