Dans le monde entier, une seule question est posée pour redresser le football en particulier celui qui rapporte gros. Elle concernera un avant et un après le coronavirus. Ce sport qui attire la masse, ce sport qui déchaine les passions, ce sport qui déclenche la rivalité entre les nombreuses chaînes de télévision, sera le point de mire de tous les observateurs. Sera-t-il le même avec son succès et ses recettes après la fin de la pandémie.
C’était la gloire
Avant, c’était la gloire, c’était l’apogée du sport sur le plan financier. C’était l’époque des transferts millionnaires : Christiano au Real et à la Juventus, Dembélé et Griezman au FC Barcelone, Neimar au Paris-Saint Germain, Joe à l’Atlético de Madrid. C’était aussi le temps de la grande affluence du public : 85.000 spectateurs de moyenne au Nou Camp, 75.000 au Bernabeu, 45.000 à l’Arena… C’était le « trône » occupé par le Real, Barcelone, Manchester avec les meilleurs chiffres enregistrés dans le monde avec des bénéfices dépassant les 500 millions d’euros.
Seulement avec les entrées aux musées et les visites guidées aux stades, les clubs européens avaient des recettes journalières 7/7 de la semaine dépassant les 10.000 euros. Force est de constater que les avantages financiers doublaient et parfois triplaient avec les panneaux de publicité et surtout avec les retransmissions de la télévision.
Seulement avec les entrées aux musées et les visites guidées aux stades, les clubs européens avaient des recettes journalières 7/7 de la semaine dépassant les 10.000 euros. Force est de constater que les avantages financiers doublaient et parfois triplaient avec les panneaux de publicité et surtout avec les retransmissions de la télévision.
On se frottait les mains
Les dirigeants qui géraient le football en Europe, se frottaient toujours les mains avec une satisfaction qui dépassait l’imagination. Tout marchait à merveille et le football était une « industrie » qui réussissait sur tous les plans et qui faisait vivre presque le quart de la population d’une ville.
Avec l’arrivée du coronavirus, la pandémie touchait profondément l’ossature des grandes équipes. Tout le « grand » football souffrait. Tous les clubs imposaient la réduction des salaires : baisse de 70% chez les Catalans, 60% chez les Madrilènes, 50% chez les Allemands…Tout le monde « chômait ». On ne jouait plus. Les musées et les stades étaient fermés à cause du confinement. Il n’y avait plus de recettes. Après la fin du coronavirus, le football reprendra son cours mais à quelle condition ? Pessimisme et rien que le pessimisme car la crise continuera chez tous les clubs.
Avec l’arrivée du coronavirus, la pandémie touchait profondément l’ossature des grandes équipes. Tout le « grand » football souffrait. Tous les clubs imposaient la réduction des salaires : baisse de 70% chez les Catalans, 60% chez les Madrilènes, 50% chez les Allemands…Tout le monde « chômait ». On ne jouait plus. Les musées et les stades étaient fermés à cause du confinement. Il n’y avait plus de recettes. Après la fin du coronavirus, le football reprendra son cours mais à quelle condition ? Pessimisme et rien que le pessimisme car la crise continuera chez tous les clubs.
Rachid MADANI