Des sculptures, des peintures avec des mécanismes d’horloge qui tournent dans le sens inverse, des tissages et des installations interactives et récemment l’introduction du numérique en peinture. Des œuvres qui suggèrent le son du temps. Des œuvres intrigantes qui soulèvent une réflexion à propos du « Temps ». Ilham Laraki Omari combine ces particules et bribes, tels des fragments d’atomes qu’elle mêle et démêle avec une empreinte qui lui reste unique, le tout dominé par une lumière caractérisant la touche de l’artiste depuis ses débuts il y a plus de 20 ans.
L’ensemble des éléments (siècles, mois…) est fait avec des cubes qui rappellent les constructions, la luxuriance et le matériel. Contrairement au côté opposé qui reflète la simplicité, l’essentiel, l’immatériel et le spirituel. L’œuvre d’Ilham exprime définitivement le temps organique dans ses manifestations fluctuantes et ses métamorphoses évolutives. La mémoire du futur, perçue dans sa plénitude subjective, fusionne le passé, le présent et l’avenir. Jusqu’au 14 juillet à la galerie Mohamed Drissi à Tanger.
L’ensemble des éléments (siècles, mois…) est fait avec des cubes qui rappellent les constructions, la luxuriance et le matériel. Contrairement au côté opposé qui reflète la simplicité, l’essentiel, l’immatériel et le spirituel. L’œuvre d’Ilham exprime définitivement le temps organique dans ses manifestations fluctuantes et ses métamorphoses évolutives. La mémoire du futur, perçue dans sa plénitude subjective, fusionne le passé, le présent et l’avenir. Jusqu’au 14 juillet à la galerie Mohamed Drissi à Tanger.