La galerie Amalgame de Casablanca s’est mise depuis le 29 Juillet aux couleurs d’un « murmure d’union », ornée d’une quarantaine de magnifiques toiles représentant le combat de la gent féminine à travers le temps, à l’occasion d’une exposition organisée par le duo Nadia Rhessal et Amal El Fallah. Mieux encore : deux des superbes tableaux exposés sont le fruit d’un travail en commun réalisés à 4 mains.
Il s’agit d’oeuvres parlantes qui soulèvent des questions cruciales sur la contribution des femmes à l’histoire de l’art au Maroc. Une opportunité qualitative de réfléchir sur la créativité artistique, et éliminera, à travers leurs oeuvres, les techniques et les parcours individuels d’un groupe d’artistes femmes, le concept d’art féministe à la lumière du parcours artistique vivant des XXe et XXIe siècles, dans lequel les créations féminines en faisaient, et en sont toujours, partie intégrante, indique Youssef, un critique d’art averti.
Sensualité féminine et sentiments enfouis
Nadia RHESSAL avoue de son côté qu’elle ne produit pas encore autant qu’elle le souhaiterait, mais ses toiles sont imprégnées par son amour pour la peinture. Ses émotions sont représentées, tantôt par le style abstrait tantôt par le figuratif, tout en restant dans l’impressionnisme.
« La femme m’inspire par sa générosité, sa sensualité, sa douceur et sa finesse », nous confie-t-elle. Son thème actuel est le mouvement du corps, en l’occurrence la danse : l’art de faire passer les émotions et les sentiments dans l’âme du spectateur, par l’expression réelle des mouvements et gestes du corps des danseurs à qui elle a choisi de donner vie sur ses toiles.
La force de Nadia Rhessal, explique pour sa part le critique et plasticien Chafik Zougari, réside dans les détails des éléments de la composition de sa production artistique, qui sont considérés comme l’ameublement global de la composition de base de ses scènes esthétiques, et dans ses structures colorées diverses et riches avec ses dégradés et la façon dont elle traite le lien d’un point de vue pigmentaire original où toutes les méthodes de techniques se croisent avec leurs matières, dimensions et formes. Et ce, jusqu’au degré qui reposait dans son intégralité sur l’exagération en dessinant ses icônes avec un sens transcendant qui s’élève à des solutions dans le concept mystique.
Quant à l’artiste Amal El FELLAH, s’explique Zougari, son expérience se caractérise par une sorte de sérieux qui s’affranchit de tous les tabous de la société marocaine et arabe et de leur environnement, avec une méthodologie qui est passée par nature du stade de l’imaginaire populaire à une épistémologie sérieuse qui a acquis des questions existentielles qui impliquent d’autres questions qui ne pensent pas à des réponses toutes faites, pour faire participer le destinataire à ces questions avec inquiétude dans un domaine qui n’est pas seulement soumis aux éléments esthétiques tous faits, mais comprend des sentiments enfouis qui sont étroitement liés à l’expérience de vie.
Il s’agit d’oeuvres parlantes qui soulèvent des questions cruciales sur la contribution des femmes à l’histoire de l’art au Maroc. Une opportunité qualitative de réfléchir sur la créativité artistique, et éliminera, à travers leurs oeuvres, les techniques et les parcours individuels d’un groupe d’artistes femmes, le concept d’art féministe à la lumière du parcours artistique vivant des XXe et XXIe siècles, dans lequel les créations féminines en faisaient, et en sont toujours, partie intégrante, indique Youssef, un critique d’art averti.
Sensualité féminine et sentiments enfouis
Nadia RHESSAL avoue de son côté qu’elle ne produit pas encore autant qu’elle le souhaiterait, mais ses toiles sont imprégnées par son amour pour la peinture. Ses émotions sont représentées, tantôt par le style abstrait tantôt par le figuratif, tout en restant dans l’impressionnisme.
« La femme m’inspire par sa générosité, sa sensualité, sa douceur et sa finesse », nous confie-t-elle. Son thème actuel est le mouvement du corps, en l’occurrence la danse : l’art de faire passer les émotions et les sentiments dans l’âme du spectateur, par l’expression réelle des mouvements et gestes du corps des danseurs à qui elle a choisi de donner vie sur ses toiles.
La force de Nadia Rhessal, explique pour sa part le critique et plasticien Chafik Zougari, réside dans les détails des éléments de la composition de sa production artistique, qui sont considérés comme l’ameublement global de la composition de base de ses scènes esthétiques, et dans ses structures colorées diverses et riches avec ses dégradés et la façon dont elle traite le lien d’un point de vue pigmentaire original où toutes les méthodes de techniques se croisent avec leurs matières, dimensions et formes. Et ce, jusqu’au degré qui reposait dans son intégralité sur l’exagération en dessinant ses icônes avec un sens transcendant qui s’élève à des solutions dans le concept mystique.
Quant à l’artiste Amal El FELLAH, s’explique Zougari, son expérience se caractérise par une sorte de sérieux qui s’affranchit de tous les tabous de la société marocaine et arabe et de leur environnement, avec une méthodologie qui est passée par nature du stade de l’imaginaire populaire à une épistémologie sérieuse qui a acquis des questions existentielles qui impliquent d’autres questions qui ne pensent pas à des réponses toutes faites, pour faire participer le destinataire à ces questions avec inquiétude dans un domaine qui n’est pas seulement soumis aux éléments esthétiques tous faits, mais comprend des sentiments enfouis qui sont étroitement liés à l’expérience de vie.
Mohamed LOKHNATI