Le rappel concerne des véhicules du groupe équipés d’airbags de la marque japonaise “Takata”, qui, en cas de défaut pourraient provoquer des blessures, parfois mortelles, aux utilisateurs, d’après Catherine Bieth, responsable du SSMVM, citée par les médias locaux.
Stellantis, fondé en 2021 après la fusion de Groupe PSA et Fiat Chrysler Automobiles, avait indiqué quelques jours auparavant, par le biais d’un communiqué, que la campagne de rappel en cours "stop drive" (qui demande aux conducteurs d’arrêter immédiatement d’utiliser les véhicules concernés) ne concernait que 530 000 véhicules DS 3 et C3 fabriqués entre 2009 et 2019 et équipés d'une référence spécifique d'airbags “Takata” pour lesquels un “risque a été identifié”.
Aucun risque n'a été identifié pour d'autres modèles équipés d'autres composants, précise le constructeur automobile, ajoutant que «les risques associés aux coussins gonflables Takata sont continuellement surveillés et gérés par des rappels de routine».
Mais d’après la cheffe du SSMVM, près de 6 millions de véhicules de la marque Opel, et un peu plus de 2,3 millions des marques Citroën et DS Automobiles, sont concernés (1,4 million de véhicules au total pour ces trois marques en France).
Les dates de construction des véhicules concernés par cette campagne de rappel peuvent remonter jusqu’à 2008 pour Citroën et 2005 pour Opel, précisent les médias.
Peu de temps avant le lancement de la procédure de rappel en France métropolitaine, un homme a été tué au volant de sa voiture «équipée d'un airbag Takata qui est en lien avec l'accident» dans les Hautes-Pyrénées, selon la procureure de la République de Tarbes, qui envisage «d'ouvrir une information judiciaire compte tenu des potentielles multiples responsabilités», rapporte de son côté "Le Figaro".
Il s'agit du premier accident recensé en métropole, alors que dans les territoires d'Outre-Mer - première zone à risque en raison de son climat - les exemples tragiques s'accumulent depuis 2020, précise le journal.
Cette situation a amené des automobilistes à intenter une action en justice collective contre la marque, via un cabinet d’avocats, qui devait mettre en ligne à partir de jeudi dernier le formulaire d’inscription au recours.
Stellantis, fondé en 2021 après la fusion de Groupe PSA et Fiat Chrysler Automobiles, avait indiqué quelques jours auparavant, par le biais d’un communiqué, que la campagne de rappel en cours "stop drive" (qui demande aux conducteurs d’arrêter immédiatement d’utiliser les véhicules concernés) ne concernait que 530 000 véhicules DS 3 et C3 fabriqués entre 2009 et 2019 et équipés d'une référence spécifique d'airbags “Takata” pour lesquels un “risque a été identifié”.
Aucun risque n'a été identifié pour d'autres modèles équipés d'autres composants, précise le constructeur automobile, ajoutant que «les risques associés aux coussins gonflables Takata sont continuellement surveillés et gérés par des rappels de routine».
Mais d’après la cheffe du SSMVM, près de 6 millions de véhicules de la marque Opel, et un peu plus de 2,3 millions des marques Citroën et DS Automobiles, sont concernés (1,4 million de véhicules au total pour ces trois marques en France).
Les dates de construction des véhicules concernés par cette campagne de rappel peuvent remonter jusqu’à 2008 pour Citroën et 2005 pour Opel, précisent les médias.
Peu de temps avant le lancement de la procédure de rappel en France métropolitaine, un homme a été tué au volant de sa voiture «équipée d'un airbag Takata qui est en lien avec l'accident» dans les Hautes-Pyrénées, selon la procureure de la République de Tarbes, qui envisage «d'ouvrir une information judiciaire compte tenu des potentielles multiples responsabilités», rapporte de son côté "Le Figaro".
Il s'agit du premier accident recensé en métropole, alors que dans les territoires d'Outre-Mer - première zone à risque en raison de son climat - les exemples tragiques s'accumulent depuis 2020, précise le journal.
Cette situation a amené des automobilistes à intenter une action en justice collective contre la marque, via un cabinet d’avocats, qui devait mettre en ligne à partir de jeudi dernier le formulaire d’inscription au recours.