La bande dessinée au Maroc peine à s’imposer face à un lectorat restreint et un marché limité, mais elle n’est pas moribonde. Depuis les années 1990, des auteurs marocains ont posé les bases d’un 9ème art local, mêlant patrimoine, politique et engagement social.
Une nouvelle génération, portée par des créateurs comme Yassine Hejjamy, Aniss El Hamouri ou Oumaima El Gamraoui, explore de nouveaux formats et thématiques. Malgré le manque de subventions et la difficulté à vivre de leur art, ces auteurs s’appuient sur le numérique et l’autoédition pour toucher un public plus large. L’avenir de la BD marocaine dépendra du soutien institutionnel et de l’émergence d’un véritable écosystème éditorial.
Une nouvelle génération, portée par des créateurs comme Yassine Hejjamy, Aniss El Hamouri ou Oumaima El Gamraoui, explore de nouveaux formats et thématiques. Malgré le manque de subventions et la difficulté à vivre de leur art, ces auteurs s’appuient sur le numérique et l’autoédition pour toucher un public plus large. L’avenir de la BD marocaine dépendra du soutien institutionnel et de l’émergence d’un véritable écosystème éditorial.
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