Le Royaume est passé d’un taux de croissance du PIB de 2,3% en 2019, à un taux de croissance négatif de l’ordre de (-4%) en 2020. Il n’est pas exclu que la courbe remonte et frôle une croissance de 3,4% en 2021, mais, ces prévisions demeurent au risque d’une détérioration, si la crise sanitaire se prolonge et qu’elle impacte tout naturellement l’économie.
Les autres pays de la région ont également enregistré un taux de croissance négatif. L’Algérie avec un taux négatif de (-6,4%), le Bahrein avec (-4,5%), l’Iran avec (-5,3%), l’Iraq (-9,7%) et le Liban avec (-10,9%).
Pour la région MENA, particulièrement sous l’effet non seulement de la pandémie, mais, également du marché du pétrole, l’activité économique risque de contracter de 4,2%. Ce chiffre s’éloigne de celui de janvier dernier, qui prévoyait une croissance de 2,4%.
A l’échelle mondiale, la Banque mondiale annonce une contraction du PIB allant jusqu’à 5,2% cette année. L’impact de la pandémie a eu un effet économique «rapide et massif» sur plusieurs pays, chose qui n’a jamais été vécu depuis 150 ans.
Selon les nouvelles prévisions de l’institution, il est estimé qu’entre 70 et 100 millions de personnes risquent de basculer vers l’extrême pauvreté. Ceci pourrait porter atteint à tous progrès, mis en place ces trois dernières années, pour lutter contre le phénomène de la pauvreté.
Les autres pays de la région ont également enregistré un taux de croissance négatif. L’Algérie avec un taux négatif de (-6,4%), le Bahrein avec (-4,5%), l’Iran avec (-5,3%), l’Iraq (-9,7%) et le Liban avec (-10,9%).
Pour la région MENA, particulièrement sous l’effet non seulement de la pandémie, mais, également du marché du pétrole, l’activité économique risque de contracter de 4,2%. Ce chiffre s’éloigne de celui de janvier dernier, qui prévoyait une croissance de 2,4%.
A l’échelle mondiale, la Banque mondiale annonce une contraction du PIB allant jusqu’à 5,2% cette année. L’impact de la pandémie a eu un effet économique «rapide et massif» sur plusieurs pays, chose qui n’a jamais été vécu depuis 150 ans.
Selon les nouvelles prévisions de l’institution, il est estimé qu’entre 70 et 100 millions de personnes risquent de basculer vers l’extrême pauvreté. Ceci pourrait porter atteint à tous progrès, mis en place ces trois dernières années, pour lutter contre le phénomène de la pauvreté.