C’est une autre correspondance que Noureddine Benabdenbi, exprésident de la Fédération Royale Marocaine de Basket-ball (FRMBB), ex-Secrétaire Général-Trésorier du CNOM (Comité Olympique National Marocain) a envoyée au ministre de la Jeunesse et des Sports, Otmane El Firdaous, et président de la Commission Provisoire, Kamal Hajhouj. Il en a, déjà, envoyée trois.
La sauvegarde de ce qui reste
Dans une première missive, l’ex-président de la Fédération Royale Marocaine de Basket-ball, il invite le MJS pour prendre part à la sauvegarde de ce qui reste d’une discipline qui a, longtemps, souffert de mille maux dont les querelles intestines, l’entêtement, l’attitude récalcitrante à vouloir rester aux commandes, le rejet d’une certaine forme de gestion, des décisions qui ne semblent avoir aucun lien avec la réalité, l’oubli du passé d’un sport qui a émerveillé les foules, séduit les fans et enfin les initiatives que ne servaient que des desseins perso.
Dans sa lettre au président de la Commission provisoire Benabdenbi souligne : « En dépit de ma longue expérience associative et, particulièrement, sportive de plus de 50 ans, m’impose de procéder à un déballage et m’interdit de m’inscrire dans la dégradation de la nouvelle stratégie promise en vue du sauvetage du basket-ball national en proie, depuis trois saisons, à une crise managériale sans précédent orchestrée par des interventions de tout bord, qui disent heureusement leurs noms ». Et de Benabdenbi d’ajouter :« Je m’étonne, du nombre de ceux qui en font une affaire de courage et d’héroïsme sportifs, caché derrière des desseins hautement opportunistes et égoïstes qui sont malheureusement, encouragés par votre objectif maquillé de mettre en confrontations directes tous ces prétendants, appelés, par une malicieuse mise en scène organisée par vos soins, à s’extirper jusqu’au dernier, de l’arène fédérale que vous souhaitez bâtir, sur un socle trébuchant et vacillant construit par l’irrégularité juridique et administrative flagrante, de la majorité de sa base naturelle que constituent les clubs », termine-t-il. Clair et net.
Et pourtant, l’ex-Secrétaire Général-trésorier du CNOM, comme il va l’écrire par la suite, en compagnie des observateurs, sympathisants et fans de ce sport, va entretenir l’espoir d’une sortie imminente de cette longue et pénible crise que traverse présentement la grosse balle orange marocaine. Mais illusion ! La balle au panier continuer de végéter en attendant des jours meilleurs.
La toute dernière correspondance, la 3ème de Noureddine Benabdeni au ministre de la Jeunesse et des Sports, toute aussi claire, toute aussi édifiante, toute aussi courtoise semble, également, tomber dans l’oreille d’un sourd. Comme les précédentes.
Cette dernière missive à l’attention du MJS, l’ex-président de la FRMBB l’entame ainsi : « Dans un réel souci et désolation quant à la situation inextricable actuelle à laquelle est arrivé le basket-ball national et qui, en raison de l’entêtement purement opportuniste de certaines partie, défie toutes les normes de règlement et d’assainissement de cette discipline sportive, je me permets de m’adresser à vous, Monsieur le ministre, pour la troisième fois, faisant appel à votre autorité à et votre expérience pour sortir de cette impasse.
Entamer une compétition officielle
En effet, les forces résistantes au changement, poursuit-il, avaient, grâce à la stratégie et le savoir-négociateur de Mme la Secrétaire générale, trouvé un compromis basé sur deux objectifs imminents : entamer une compétition officielle et organiser l’Assemblée Générale Elective sous l’égide du MJS, par le biais de la Commission provisoire mis en place par vos soins », conlut-il.
Et puis de poursuivre : « Mais depuis, Madame la SG appelée à d’autres fonctions et la Commission ministérielle aux abonnés absents, les espoirs d’une résurrection du basket nourris par l’ensemble des amateurs de la grosse balle orange se sont évaporés », termine-t-il avant de se tourner vers la Commission Provisoire sur laquelle il tire sans sommation : « Plus qu’avant la Commission est tombée dans une léthargie et un immobilisme sans précédent ; pas de réunions, aucune communication et un coriace entêtement de son président à agir conformément à ses propres préceptes, ignorant toutes les recommandations instructives et aggravant tous les maux dont souffre notre basket et tels qu’ils ont été relatés dans mes courriers du 20 août et 30 septembre 2020 ».
Ce dernier courrier de l’ex-président de la FRMBB trouve sa légitimité dans l’urgence que représente, pour notre pays, la constitution, la préparation et la participation de l’équipe nationale aux échéance continentales ».
La sauvegarde de ce qui reste
Dans une première missive, l’ex-président de la Fédération Royale Marocaine de Basket-ball, il invite le MJS pour prendre part à la sauvegarde de ce qui reste d’une discipline qui a, longtemps, souffert de mille maux dont les querelles intestines, l’entêtement, l’attitude récalcitrante à vouloir rester aux commandes, le rejet d’une certaine forme de gestion, des décisions qui ne semblent avoir aucun lien avec la réalité, l’oubli du passé d’un sport qui a émerveillé les foules, séduit les fans et enfin les initiatives que ne servaient que des desseins perso.
Dans sa lettre au président de la Commission provisoire Benabdenbi souligne : « En dépit de ma longue expérience associative et, particulièrement, sportive de plus de 50 ans, m’impose de procéder à un déballage et m’interdit de m’inscrire dans la dégradation de la nouvelle stratégie promise en vue du sauvetage du basket-ball national en proie, depuis trois saisons, à une crise managériale sans précédent orchestrée par des interventions de tout bord, qui disent heureusement leurs noms ». Et de Benabdenbi d’ajouter :« Je m’étonne, du nombre de ceux qui en font une affaire de courage et d’héroïsme sportifs, caché derrière des desseins hautement opportunistes et égoïstes qui sont malheureusement, encouragés par votre objectif maquillé de mettre en confrontations directes tous ces prétendants, appelés, par une malicieuse mise en scène organisée par vos soins, à s’extirper jusqu’au dernier, de l’arène fédérale que vous souhaitez bâtir, sur un socle trébuchant et vacillant construit par l’irrégularité juridique et administrative flagrante, de la majorité de sa base naturelle que constituent les clubs », termine-t-il. Clair et net.
Et pourtant, l’ex-Secrétaire Général-trésorier du CNOM, comme il va l’écrire par la suite, en compagnie des observateurs, sympathisants et fans de ce sport, va entretenir l’espoir d’une sortie imminente de cette longue et pénible crise que traverse présentement la grosse balle orange marocaine. Mais illusion ! La balle au panier continuer de végéter en attendant des jours meilleurs.
La toute dernière correspondance, la 3ème de Noureddine Benabdeni au ministre de la Jeunesse et des Sports, toute aussi claire, toute aussi édifiante, toute aussi courtoise semble, également, tomber dans l’oreille d’un sourd. Comme les précédentes.
Cette dernière missive à l’attention du MJS, l’ex-président de la FRMBB l’entame ainsi : « Dans un réel souci et désolation quant à la situation inextricable actuelle à laquelle est arrivé le basket-ball national et qui, en raison de l’entêtement purement opportuniste de certaines partie, défie toutes les normes de règlement et d’assainissement de cette discipline sportive, je me permets de m’adresser à vous, Monsieur le ministre, pour la troisième fois, faisant appel à votre autorité à et votre expérience pour sortir de cette impasse.
Entamer une compétition officielle
En effet, les forces résistantes au changement, poursuit-il, avaient, grâce à la stratégie et le savoir-négociateur de Mme la Secrétaire générale, trouvé un compromis basé sur deux objectifs imminents : entamer une compétition officielle et organiser l’Assemblée Générale Elective sous l’égide du MJS, par le biais de la Commission provisoire mis en place par vos soins », conlut-il.
Et puis de poursuivre : « Mais depuis, Madame la SG appelée à d’autres fonctions et la Commission ministérielle aux abonnés absents, les espoirs d’une résurrection du basket nourris par l’ensemble des amateurs de la grosse balle orange se sont évaporés », termine-t-il avant de se tourner vers la Commission Provisoire sur laquelle il tire sans sommation : « Plus qu’avant la Commission est tombée dans une léthargie et un immobilisme sans précédent ; pas de réunions, aucune communication et un coriace entêtement de son président à agir conformément à ses propres préceptes, ignorant toutes les recommandations instructives et aggravant tous les maux dont souffre notre basket et tels qu’ils ont été relatés dans mes courriers du 20 août et 30 septembre 2020 ».
Ce dernier courrier de l’ex-président de la FRMBB trouve sa légitimité dans l’urgence que représente, pour notre pays, la constitution, la préparation et la participation de l’équipe nationale aux échéance continentales ».