Le nombre de ressortissants marocains en situation irrégulière expulsés de Belgique a doublé au cours des cinq premiers mois de l'année, atteignant 119 personnes, selon les données fournies par le cabinet de la secrétaire d’État à l’Asile et à la Migration, Nicole de Moor. Ce chiffre contraste fortement avec les 55 expulsions enregistrées sur la même période l'année précédente, représentant ainsi une hausse significative.
Cette augmentation des expulsions fait suite à une visite officielle de membres du gouvernement belge au Maroc, en avril dernier, visant à renouveler les accords de coopération entre les deux pays.
Ces accords incluent des clauses spécifiques concernant les retours forcés, en particulier pour les migrants clandestins coupables de crimes.
Le rythme des expulsions a considérablement accéléré, la moyenne mensuelle étant passée de 14 entre janvier et avril à 37 pour le seul mois de mai.
« La priorité est donnée au retour des personnes qui ont commis des actes criminels et purgé des peines d’emprisonnement, ou des personnes qui ont commis des nuisances et ont été arrêtées lors d’actions de police », a déclaré Nicole de Moor. Cette politique vise, la responsable belge, à réduire la criminalité et les nuisances en Belgique, tout en répondant aux préoccupations croissantes de sécurité publique.
À court terme, la secrétaire d'État à l'Asile et à la Migration entend poursuivre cette stratégie pour augmenter le taux d'expulsions. Elle a récemment obtenu l'approbation parlementaire pour sa « politique de retour proactive », qui offre aux autorités une plus grande flexibilité dans l'exécution des expulsions. Ce cadre législatif élargi permet aux forces de l'ordre et aux services de migration de traiter plus efficacement les cas d'immigration irrégulière et d'accélérer les procédures de retour.
Cette augmentation des expulsions fait suite à une visite officielle de membres du gouvernement belge au Maroc, en avril dernier, visant à renouveler les accords de coopération entre les deux pays.
Ces accords incluent des clauses spécifiques concernant les retours forcés, en particulier pour les migrants clandestins coupables de crimes.
Le rythme des expulsions a considérablement accéléré, la moyenne mensuelle étant passée de 14 entre janvier et avril à 37 pour le seul mois de mai.
« La priorité est donnée au retour des personnes qui ont commis des actes criminels et purgé des peines d’emprisonnement, ou des personnes qui ont commis des nuisances et ont été arrêtées lors d’actions de police », a déclaré Nicole de Moor. Cette politique vise, la responsable belge, à réduire la criminalité et les nuisances en Belgique, tout en répondant aux préoccupations croissantes de sécurité publique.
À court terme, la secrétaire d'État à l'Asile et à la Migration entend poursuivre cette stratégie pour augmenter le taux d'expulsions. Elle a récemment obtenu l'approbation parlementaire pour sa « politique de retour proactive », qui offre aux autorités une plus grande flexibilité dans l'exécution des expulsions. Ce cadre législatif élargi permet aux forces de l'ordre et aux services de migration de traiter plus efficacement les cas d'immigration irrégulière et d'accélérer les procédures de retour.