Le MCO des années 70 avec Benbrahim, Smiri, Maghfour, Belhachmi, Belhiouane et Laâmmari.
Le Mouloudia Club Oujda est lanterne rouge après cinq matches avec un ultime point. Il vient également d’être éliminé très tôt de la Coupe du Trône par l’Itihad de Tanger (IRT) sur le score sans appel de trois buts à zéro.
Sans âme, sans fond de jeu !
Une équipe sans âme, sans fond de jeu ! Les joueurs étaient déboussolés, hagards, l’esprit ailleurs ! Ammouta l’entraîneur de l’équipe nationale des locaux l’étaya dans sa dernière communication. Le représentant de l’Oriental a fait, ce jour là, une exhibition, un défilé des joueurs récemment recrutés et dernièrement qualifiés par la Fédération avec un «non gardien» dans les bois, sans donner, à aucun moment, l’impression d’une équipe. Les joueurs, dont beaucoup laissent présager d’un lendemain meilleur, ne sont pas à blâmer. Leur prestation est le produit de la crise aiguë qui secoue le Club.
Le MCO a crevé les stations radios, les afficheurs des GSM et dans les réseaux sociaux chacun y allait de son analyse.
De prime à bord, et de manière positive le MCO a laissé entrevoir une saison exceptionnelle. En effet, des recrutements à la pelle (excusez du peu), un nouvel entraîneur avec «un projet professionnel», épaulé par un staff étoffé.
Malheureusement, tout l’édifice, si bien vanté, s’écroula prématurément comme un château de cartes. La montagne a accouché d’une souris. Ou selon l’autre adage populaire : «vous voilà tant éprouvés alors que n’est morte qu’une souris».
La risée du football national
Et le Mouloudia d’Oujda est devenu la risée du football national. Le sujet de discussion des terrasses de cafés. Aux origines était la crise financière. Les promesses de contributions sur lesquelles a été échafaudé le projet n’ont pas été tenues attisant une crise qui va dégénérer et perdurer.
Un entraîneur qui étale le linge interne sur les réseaux sociaux et qui refuse tout compromis, et un président qui ne prend pas le taureau par les cornes appliquant la gestion selon laquelle «que de problèmes a-t-on résolu en y restant indifférent !». Et le club trinque et se noie dans les défaites sans capitaine à bord.
Un entraîneur hospitalisé, un président absent et une équipe qui chavire au détriment de l’image d’une ville, d’un club au passé prestigieux.
Sans âme, sans fond de jeu !
Une équipe sans âme, sans fond de jeu ! Les joueurs étaient déboussolés, hagards, l’esprit ailleurs ! Ammouta l’entraîneur de l’équipe nationale des locaux l’étaya dans sa dernière communication. Le représentant de l’Oriental a fait, ce jour là, une exhibition, un défilé des joueurs récemment recrutés et dernièrement qualifiés par la Fédération avec un «non gardien» dans les bois, sans donner, à aucun moment, l’impression d’une équipe. Les joueurs, dont beaucoup laissent présager d’un lendemain meilleur, ne sont pas à blâmer. Leur prestation est le produit de la crise aiguë qui secoue le Club.
Le MCO a crevé les stations radios, les afficheurs des GSM et dans les réseaux sociaux chacun y allait de son analyse.
De prime à bord, et de manière positive le MCO a laissé entrevoir une saison exceptionnelle. En effet, des recrutements à la pelle (excusez du peu), un nouvel entraîneur avec «un projet professionnel», épaulé par un staff étoffé.
Malheureusement, tout l’édifice, si bien vanté, s’écroula prématurément comme un château de cartes. La montagne a accouché d’une souris. Ou selon l’autre adage populaire : «vous voilà tant éprouvés alors que n’est morte qu’une souris».
La risée du football national
Et le Mouloudia d’Oujda est devenu la risée du football national. Le sujet de discussion des terrasses de cafés. Aux origines était la crise financière. Les promesses de contributions sur lesquelles a été échafaudé le projet n’ont pas été tenues attisant une crise qui va dégénérer et perdurer.
Un entraîneur qui étale le linge interne sur les réseaux sociaux et qui refuse tout compromis, et un président qui ne prend pas le taureau par les cornes appliquant la gestion selon laquelle «que de problèmes a-t-on résolu en y restant indifférent !». Et le club trinque et se noie dans les défaites sans capitaine à bord.
Un entraîneur hospitalisé, un président absent et une équipe qui chavire au détriment de l’image d’une ville, d’un club au passé prestigieux.
Où va le MCO ? Jusqu’à quand la situation va perdurer ?
Hormis l’entraîneur et le président, la responsabilité incombe, également, aux mécènes, aux bienfaiteurs oujdis, a des dirigeants qui ont été éjectés par la porte et qui sont revenus par la fenêtre, et surtout et spécialement aux prédateurs électoraux qui voient en le MCO un outil de campagne électorale précoce. Le Mouloudia est victime de la lutte de trois partis politiques (suivez mon regard) celui du président compris, ignorant que le football et le sport en général est un facteur de développement économique et social, objectif pour lequel ils ont été élus.
Il est du devoir de ces trois partis de contribuer ensemble à l’essor du football dans l’Oriental et que les campagnes électorales se fassent sur des programmes non sur le sort d’un club de football !
Exemple est à prendre sur feu Mustapha Belhachmi qui a présidé les destinées du MCO pendant des décennies et qui a sacrifié sa vie et ses biens pour le club et qui, malheureusement, n’a rien eu en retour ! N’est-il pas temps de reconnaître, un temps soit peu, les mérites de ce président mémorable ? Les kilomètres qu’il a parcourus lors des déplacements avec le MCO lui permettent de trôner en bonne place dans le « Guinness Book ». N’est-il pas temps de prévoir un tournoi annuel Mustapha Belhahmi ? Ne serait il pas rendre justice que de donner son nom au complexe sportif d’Oujda ?
Digression : Nos condoléances les plus attristées à la famille Belhachmi pour le décès de sa femme et de sa fille victimes du Covid-19 et prompt rétablissement pour son fils Abdallah !
Et à la famille Jbara pour le décès de Azzeddine l’ancien gardien du MCO !
Hormis l’entraîneur et le président, la responsabilité incombe, également, aux mécènes, aux bienfaiteurs oujdis, a des dirigeants qui ont été éjectés par la porte et qui sont revenus par la fenêtre, et surtout et spécialement aux prédateurs électoraux qui voient en le MCO un outil de campagne électorale précoce. Le Mouloudia est victime de la lutte de trois partis politiques (suivez mon regard) celui du président compris, ignorant que le football et le sport en général est un facteur de développement économique et social, objectif pour lequel ils ont été élus.
Il est du devoir de ces trois partis de contribuer ensemble à l’essor du football dans l’Oriental et que les campagnes électorales se fassent sur des programmes non sur le sort d’un club de football !
Exemple est à prendre sur feu Mustapha Belhachmi qui a présidé les destinées du MCO pendant des décennies et qui a sacrifié sa vie et ses biens pour le club et qui, malheureusement, n’a rien eu en retour ! N’est-il pas temps de reconnaître, un temps soit peu, les mérites de ce président mémorable ? Les kilomètres qu’il a parcourus lors des déplacements avec le MCO lui permettent de trôner en bonne place dans le « Guinness Book ». N’est-il pas temps de prévoir un tournoi annuel Mustapha Belhahmi ? Ne serait il pas rendre justice que de donner son nom au complexe sportif d’Oujda ?
Digression : Nos condoléances les plus attristées à la famille Belhachmi pour le décès de sa femme et de sa fille victimes du Covid-19 et prompt rétablissement pour son fils Abdallah !
Et à la famille Jbara pour le décès de Azzeddine l’ancien gardien du MCO !
Abou Anas