Dans le cadre de ses activités culturelles et surtout dans le cadre de la nouvelle génération de programmes de réinsertion qui donnent la possibilité aux détenus de rencontrer des hommes de lettres, de l’art et de la science, et de s’ouvrir sur le monde extérieur en vue de faciliter leur intégration dans la société, la direction régionale de la Délégation Générale à l’Administration Pénitentiaire et à la Réinsertion (DGAPR) vient d’organiser une rencontre-débat dans la prison civile de Béni Mellal.
L’invité du jour n’était autre que Mustapha Benkhalifa Arbouch, l’un des brillants écrivains dont les oeuvres ont grandement contribué à l’enrichissement du domaine de l’histoire et de la littérature.
Notre historien aborde à travers ses écrits d’une manière profonde l’histoire de la région Béni Mellal-Khénifra et participe à la promotion de ce fragment de l’Histoire du Maroc en appelant à s’intéresser davantage à la mémoire historique en tant qu’affluent du développement économique et humain. C’est ainsi que M. Arbouch a animé cette rencontre-débat avec les pensionnaires de la prison locale de Béni Mellal autour de ses livres « Bribes de l’Histoire de Tadla-Azilal » et « Béni Mellal, capitale de Tadla- Azilal ».
L’historien, durant ce café littéraire organisé dans l’univers carcéral de Béni Mellal, a jeté la lumière sur l’importance du legs civilisationnel de la région ainsi que sur les potentialités naturelles qu’elle recèle, tout en mettant en relief la diversité culturelle qui caractérise la région. Il a relevé à cet égard que la région recèle un riche patrimoine culturel arabe et amazigh et qu’elle a toujours été une terre de cohabitation, de brassage culturel entre arabes et amazighs.
L’écrivain a également souligné que l’espace de Tadla a joué un rôle important dans l’Histoire du Maroc en raison de sa position géostratégique du fait que Tadla se trouve sur la route reliant les capitales traditionnelles du Royaume (Fès et Marrakech) et que ce point de relais a toujours été un point de passage des caravanes commerciales et surtout culturelles et même spirituelles.
Par la suite, M. Benkhalifa cédé la place au débat avec l’assistance qui a insisté sur l’importance de s’intéresser à l’histoire de la région, de l’intégrer dans les programmes de développement et de la mettre au service du développement local et régional.
L’invité du jour n’était autre que Mustapha Benkhalifa Arbouch, l’un des brillants écrivains dont les oeuvres ont grandement contribué à l’enrichissement du domaine de l’histoire et de la littérature.
Notre historien aborde à travers ses écrits d’une manière profonde l’histoire de la région Béni Mellal-Khénifra et participe à la promotion de ce fragment de l’Histoire du Maroc en appelant à s’intéresser davantage à la mémoire historique en tant qu’affluent du développement économique et humain. C’est ainsi que M. Arbouch a animé cette rencontre-débat avec les pensionnaires de la prison locale de Béni Mellal autour de ses livres « Bribes de l’Histoire de Tadla-Azilal » et « Béni Mellal, capitale de Tadla- Azilal ».
L’historien, durant ce café littéraire organisé dans l’univers carcéral de Béni Mellal, a jeté la lumière sur l’importance du legs civilisationnel de la région ainsi que sur les potentialités naturelles qu’elle recèle, tout en mettant en relief la diversité culturelle qui caractérise la région. Il a relevé à cet égard que la région recèle un riche patrimoine culturel arabe et amazigh et qu’elle a toujours été une terre de cohabitation, de brassage culturel entre arabes et amazighs.
L’écrivain a également souligné que l’espace de Tadla a joué un rôle important dans l’Histoire du Maroc en raison de sa position géostratégique du fait que Tadla se trouve sur la route reliant les capitales traditionnelles du Royaume (Fès et Marrakech) et que ce point de relais a toujours été un point de passage des caravanes commerciales et surtout culturelles et même spirituelles.
Par la suite, M. Benkhalifa cédé la place au débat avec l’assistance qui a insisté sur l’importance de s’intéresser à l’histoire de la région, de l’intégrer dans les programmes de développement et de la mettre au service du développement local et régional.