De mémoire du championnat du Maroc de football, jamais une saison sportive n’a connu une humeur aussi belliqueuse. Certes humeur n’est naturelle, mais elle a été la conséquence d’un propagation d’un virus, le Coronavirus né du néant et qui a provoqué une perturbation, non seulement au niveau de notre pays, mais dans la planète entière.
En tous les cas, outre les autres secteurs sujets au bon vouloir de la pandémie, celui du sport a été touché de plein fouet. Ce secteur accapare l’attention d’une large frange de la population via les rencontres sportives, le football en tête. La passion des Marocains pour le ballon rond, à l’intérieur comme en dehors des frontières de notre pays, a été durement altérée. Pour preuve dès que la première partie du déconfinement a été annoncée par le gouvernement que la Botola a repris ses droits, les cafés et espaces publics ont été pris d’assaut. On dirait que tout le public marocain a été sur la ligne de départ et qu’il n’attendait que le coup de feu du révolver du starter.
Mais l’inconscience de la population nationale, son « mépris » pour les directives des mesures de sécurité préconisées, son dédain pour la maladie elle-même ont enfant une situation qui exige désormais des mesures de sécurité plus draconiennes voire des sanctions qui vont au-delà de la mise en garde.
Il va de soi que la Botola qui a débuté de manière tonitruante, certes sans public, a subi les effets de ce je m’enfoutisme de la population. Le Covid-19 a tout chamboulé. Les rencontres en retard s’empilent, les préparations des clubs se perturbent, le moral des troupes est touche de plein fouet. Nul ne peut assurer que la journée va se jouer sans anicroches ; sans annulation je veux dire. A cette situation désastreuse s’ajoute un élément encore plus désolant, celui de n’annoncer le report que dans les toutes dernières minutes. Alors que les clubs s’apprêtent à prendre le bus pour rejoindre le stade.
Il ne se passe une journée sans que l’on annonce, par le virus de tel ou tel joueur ou groupe de joueurs. Le plus drôle dans l’histoire est que les clubs ou groupes de joueurs atteints ne décrètent nullement ces mesures de sécurité, dont l’isolement, qui doit durer pas moins de quatorze jours. Or certains clubs annoncent l’atteinte par le Covid et que l’on retrouve la semaine d’après sur le terrain. Incroyable, mais vrai. Qu’en pensent nos chers lecteurs ?
En tous les cas, outre les autres secteurs sujets au bon vouloir de la pandémie, celui du sport a été touché de plein fouet. Ce secteur accapare l’attention d’une large frange de la population via les rencontres sportives, le football en tête. La passion des Marocains pour le ballon rond, à l’intérieur comme en dehors des frontières de notre pays, a été durement altérée. Pour preuve dès que la première partie du déconfinement a été annoncée par le gouvernement que la Botola a repris ses droits, les cafés et espaces publics ont été pris d’assaut. On dirait que tout le public marocain a été sur la ligne de départ et qu’il n’attendait que le coup de feu du révolver du starter.
Mais l’inconscience de la population nationale, son « mépris » pour les directives des mesures de sécurité préconisées, son dédain pour la maladie elle-même ont enfant une situation qui exige désormais des mesures de sécurité plus draconiennes voire des sanctions qui vont au-delà de la mise en garde.
Il va de soi que la Botola qui a débuté de manière tonitruante, certes sans public, a subi les effets de ce je m’enfoutisme de la population. Le Covid-19 a tout chamboulé. Les rencontres en retard s’empilent, les préparations des clubs se perturbent, le moral des troupes est touche de plein fouet. Nul ne peut assurer que la journée va se jouer sans anicroches ; sans annulation je veux dire. A cette situation désastreuse s’ajoute un élément encore plus désolant, celui de n’annoncer le report que dans les toutes dernières minutes. Alors que les clubs s’apprêtent à prendre le bus pour rejoindre le stade.
Il ne se passe une journée sans que l’on annonce, par le virus de tel ou tel joueur ou groupe de joueurs. Le plus drôle dans l’histoire est que les clubs ou groupes de joueurs atteints ne décrètent nullement ces mesures de sécurité, dont l’isolement, qui doit durer pas moins de quatorze jours. Or certains clubs annoncent l’atteinte par le Covid et que l’on retrouve la semaine d’après sur le terrain. Incroyable, mais vrai. Qu’en pensent nos chers lecteurs ?
Mohamed MELLOUK