Pour la première fois, depuis deux ans, à cause de la pandémie, le public tangérois a été autorisé à entrer au Grand Stade pour suivre la rencontre.
Tout le monde s’attendait à la vente de 45.000 billets mais il n’y en avait que 8.000 dans les guichets. Une décision des autorités locales de la ville pour veiller à la sécurité des citoyens à l’heure où le complexe connait des travaux de réaménagement. A vrai dire, il y avait un mécontentement général et les ultras Hercules ont boycotté le match notant une grande absence en signe de protestation.
Le choc IRT-Jeunesse Sportive de Soualem était passionnant à suivre. D’un côté comme de l’autre, le jeu était offensif et il n’y avait aucun souci défensif. La jeune équipe de Soualem qui a, à peine, une saison en première division professionnelle, grâce au travail sérieux de son entraineur Redouane Heimer, n’a pas démérité. Si elle n’avait pas été réduite à dix pour expulsion de Yacine Kordani à la 26ème minute, ses joueurs auraient pu faire mieux.
Les Tangérois ont fourni une assez bonne partie et leur courage et leur volonté leur ont donné une victoire méritée aux toutes dernières minutes. Leur avant-centre Axel Meye est un buteur de race. Même quand il ne joue pas bien, il marque des buts.
Avec l’approche des dernières journées du championnat, le tout Tanger souffre : les supporters, les dirigeants, les joueurs, les encadreurs techniques. A l’intérieur du stade, il n’y a plus de distraction mais il n’y a que la pression. On ne cherche plus les points, on ne cherche plus le spectacle, on ne cherche plus à plaire mais on ne cherche que les victoires.
La domination du ballon était partagée entre les deux formations : une première mi-temps pour les visiteurs 57% et 43% pour les locaux et une deuxième mi-temps avec une nette domination des Tangérois.
Avant la pause, quatre occasions de but étaient ratées par précipitation et le score logique aurait été un 3-1 en faveur de l’IRT : un tir d’Axel sur le poteau à la 12ème minute, un mauvais tir de Ijrouten avec un face à face avec le goal, et deux autres tirs mous de chaque équipe.
A la 47ème minute, une passe extraordinaire de Hamoudane à Axel Meye et un joli but du Gabonais. En deuxième mi-temps, le 1-0 ne découragea point les joueurs de Soualem qui multipliaient les attaques à la recherche de l’égalisation. Imad Riahi l’obtenait à la suite d’une erreur de toute la défense.
L’entraineur Miguel Gamoundi semblait fâché car ce n’était pas de cette façon que l’équipe encaissait des buts. A partir de la 60ème minute, l’IRT jouait le tout pour le tout et tous les défenseurs étaient à l’attaque.
A la 72ème minute, coup de théâtre sur le terrain : un coup franc était tiré sur Konaté qui marqua le deuxième but d’un joli coup de tête. Délire dans les tribunes. Tout le monde s’embrassait. Tout le monde était heureux. Accordé par l’arbitre Temsamani, le but était refusé par la VAR. Déception dans tout le stade.
A l’heure où la rencontre était orientée vers le nul, encore Axel Meye trompa la vigilance de la défense et marqua le but de la victoire à la 93ème minute. La joie sur le banc de touche et dans les gradins était indescriptible. Une victoire méritée avec beaucoup de sacrifice mais difficile.
Tout le monde s’attendait à la vente de 45.000 billets mais il n’y en avait que 8.000 dans les guichets. Une décision des autorités locales de la ville pour veiller à la sécurité des citoyens à l’heure où le complexe connait des travaux de réaménagement. A vrai dire, il y avait un mécontentement général et les ultras Hercules ont boycotté le match notant une grande absence en signe de protestation.
Le choc IRT-Jeunesse Sportive de Soualem était passionnant à suivre. D’un côté comme de l’autre, le jeu était offensif et il n’y avait aucun souci défensif. La jeune équipe de Soualem qui a, à peine, une saison en première division professionnelle, grâce au travail sérieux de son entraineur Redouane Heimer, n’a pas démérité. Si elle n’avait pas été réduite à dix pour expulsion de Yacine Kordani à la 26ème minute, ses joueurs auraient pu faire mieux.
Les Tangérois ont fourni une assez bonne partie et leur courage et leur volonté leur ont donné une victoire méritée aux toutes dernières minutes. Leur avant-centre Axel Meye est un buteur de race. Même quand il ne joue pas bien, il marque des buts.
Avec l’approche des dernières journées du championnat, le tout Tanger souffre : les supporters, les dirigeants, les joueurs, les encadreurs techniques. A l’intérieur du stade, il n’y a plus de distraction mais il n’y a que la pression. On ne cherche plus les points, on ne cherche plus le spectacle, on ne cherche plus à plaire mais on ne cherche que les victoires.
La domination du ballon était partagée entre les deux formations : une première mi-temps pour les visiteurs 57% et 43% pour les locaux et une deuxième mi-temps avec une nette domination des Tangérois.
Avant la pause, quatre occasions de but étaient ratées par précipitation et le score logique aurait été un 3-1 en faveur de l’IRT : un tir d’Axel sur le poteau à la 12ème minute, un mauvais tir de Ijrouten avec un face à face avec le goal, et deux autres tirs mous de chaque équipe.
A la 47ème minute, une passe extraordinaire de Hamoudane à Axel Meye et un joli but du Gabonais. En deuxième mi-temps, le 1-0 ne découragea point les joueurs de Soualem qui multipliaient les attaques à la recherche de l’égalisation. Imad Riahi l’obtenait à la suite d’une erreur de toute la défense.
L’entraineur Miguel Gamoundi semblait fâché car ce n’était pas de cette façon que l’équipe encaissait des buts. A partir de la 60ème minute, l’IRT jouait le tout pour le tout et tous les défenseurs étaient à l’attaque.
A la 72ème minute, coup de théâtre sur le terrain : un coup franc était tiré sur Konaté qui marqua le deuxième but d’un joli coup de tête. Délire dans les tribunes. Tout le monde s’embrassait. Tout le monde était heureux. Accordé par l’arbitre Temsamani, le but était refusé par la VAR. Déception dans tout le stade.
A l’heure où la rencontre était orientée vers le nul, encore Axel Meye trompa la vigilance de la défense et marqua le but de la victoire à la 93ème minute. La joie sur le banc de touche et dans les gradins était indescriptible. Une victoire méritée avec beaucoup de sacrifice mais difficile.
