Tagnaouti, le gardien du WAC, lors de l’une de ses interventions.
Un des matchs les plus décisifs de la 21ème journée de la Botola Pro D1 s’est joué lundi soir. Décisif pour le titre et pour la menace de la relégation. Tout est encore jouable. On ne joue pas encore la ligne finish mais on s’y approche. Désormais, les faux pas se payeront cash. Si le Wydad a joué son quatrième match depuis cette reprise exceptionnelle, l’OCK était seulement à son premier.
Un avant-gout angoissant !
Un avant match angoissant pour les deux équipes: Pas de défaite. Le Wydad devait garder le contact avec la première marche du podium. Un autre résultat autre que les trois points risquait de laisser filer le Raja loin de peloton de tête. Pour l’OCK, un résultat négatif signifiait l’enlisement vers la zone rouge. Mais d’avantage de pression était sur le Wydad qui avait raté sa reprise mettant le feu à la maison rouge et compliquant ses chances vers la course au titre. L’OCK, lui, n’était qu’à sa première sortie officielle.
OCK : En mode rodage et ultra défensif pour gagner !
Le schéma tactique adopté par El Aajlani a été payant en première partie. Sa formation a joué en blocs défensifs très compacts. Laisser le Wydad animer le jeu, lui laisser la possession du ballon, fermer les couloirs, être très réactifs une fois le ballon récupéré : telles étaient ses consignes à ses joueurs. Il a failli aboutir. L’action du premier but en était l’illustration.
A la 20ème minute, El Mouatani, récupérant une balle au milieu, a lancé en profondeur Boye lequel est sorti vainqueur de son duel avec Najemeddine et Asrir. Ce dernier a même participé involontairement dans l’ouverture du score en faveur des visiteurs en dégageant le ballon sur le genou de l’attaquant adverse. Ce même ballon a trouvé les filets de Tagnaouti contre le cours du jeu. Menant au score, les Khouribguis n’ont pas modifié leur système du jeu trop défensif. Malheureusement pour eux, profitant d’une balle arrêtée, El Haddad a permis, suite d’un tir bien appuyé, à faire revenir le Wydad au score en égalisant à quelque minutes de la fin de la première mi-temps.
En encaissant le second but dès la reprise, le système ultra défensif de l’OCK n’était plus opérationnel. Il fallait revenir au score. L’OCK n’y est pas parvenu bien que l’adversaire ait été prenable et perméable. Les joueurs avaient du mal à réagir par manque de compétitivité, étant encore en mode rodage. Malgré les changements effectués, l’impact sur le jeu et le résultat final était inconséquent.
Les hommes du match ?
On a bien cherché. On a eu des difficultés à en trouver même un seul qui a été constant, régulier, performant et dont le rendement était de loin le plus notoire. Au cours de la première partie, le défenseur axial de l’OCK, Karof Bekoua, était l’élément le plus en vue. Harcelé, il a maitrisé toutes les balles en profondeurs repoussant les quelques tentatives réelles de scorer du côté wydadi. Il y eu aussi quelques mouvements étincelants du gaucher El Mouatani, habile balle au pied et très clairvoyant lors des relances.
Chez les Wydadis, par intermittences, El Haddad, Hassouni, El Karti et Kazadi nous ont rappelé surtout en seconde partie par quelques mouvements les beaux jours du Wydad.
Mais si quand même on doit choisir: on préfère designer les deux gardiens Erzine et Tagnaouti qui n’avaient rien à se reprocher sur les buts encaissés et qui sont parvenus à stopper quelques actions bien cadrées grâce à leur réactivité, leur anticipation et leur parade.
Un avant-gout angoissant !
Un avant match angoissant pour les deux équipes: Pas de défaite. Le Wydad devait garder le contact avec la première marche du podium. Un autre résultat autre que les trois points risquait de laisser filer le Raja loin de peloton de tête. Pour l’OCK, un résultat négatif signifiait l’enlisement vers la zone rouge. Mais d’avantage de pression était sur le Wydad qui avait raté sa reprise mettant le feu à la maison rouge et compliquant ses chances vers la course au titre. L’OCK, lui, n’était qu’à sa première sortie officielle.
OCK : En mode rodage et ultra défensif pour gagner !
Le schéma tactique adopté par El Aajlani a été payant en première partie. Sa formation a joué en blocs défensifs très compacts. Laisser le Wydad animer le jeu, lui laisser la possession du ballon, fermer les couloirs, être très réactifs une fois le ballon récupéré : telles étaient ses consignes à ses joueurs. Il a failli aboutir. L’action du premier but en était l’illustration.
A la 20ème minute, El Mouatani, récupérant une balle au milieu, a lancé en profondeur Boye lequel est sorti vainqueur de son duel avec Najemeddine et Asrir. Ce dernier a même participé involontairement dans l’ouverture du score en faveur des visiteurs en dégageant le ballon sur le genou de l’attaquant adverse. Ce même ballon a trouvé les filets de Tagnaouti contre le cours du jeu. Menant au score, les Khouribguis n’ont pas modifié leur système du jeu trop défensif. Malheureusement pour eux, profitant d’une balle arrêtée, El Haddad a permis, suite d’un tir bien appuyé, à faire revenir le Wydad au score en égalisant à quelque minutes de la fin de la première mi-temps.
En encaissant le second but dès la reprise, le système ultra défensif de l’OCK n’était plus opérationnel. Il fallait revenir au score. L’OCK n’y est pas parvenu bien que l’adversaire ait été prenable et perméable. Les joueurs avaient du mal à réagir par manque de compétitivité, étant encore en mode rodage. Malgré les changements effectués, l’impact sur le jeu et le résultat final était inconséquent.
Les hommes du match ?
On a bien cherché. On a eu des difficultés à en trouver même un seul qui a été constant, régulier, performant et dont le rendement était de loin le plus notoire. Au cours de la première partie, le défenseur axial de l’OCK, Karof Bekoua, était l’élément le plus en vue. Harcelé, il a maitrisé toutes les balles en profondeurs repoussant les quelques tentatives réelles de scorer du côté wydadi. Il y eu aussi quelques mouvements étincelants du gaucher El Mouatani, habile balle au pied et très clairvoyant lors des relances.
Chez les Wydadis, par intermittences, El Haddad, Hassouni, El Karti et Kazadi nous ont rappelé surtout en seconde partie par quelques mouvements les beaux jours du Wydad.
Mais si quand même on doit choisir: on préfère designer les deux gardiens Erzine et Tagnaouti qui n’avaient rien à se reprocher sur les buts encaissés et qui sont parvenus à stopper quelques actions bien cadrées grâce à leur réactivité, leur anticipation et leur parade.