Une première victoire de la saison. Le Youssoufia est sorti vainqueur dès la première mi-temps (42e minute).
La première mi-temps était équilibrée dans sa globalité. Le Youssoufia a produit un football économe qui se réduisait à surveiller l'adversaire, le bloquer et l'empêcher d'atteindre la zone du danger. Hadraf et Iajour ont bénéficié d'un traitement particulier du fait qu'ils constituaient l'épicentre de la menace de la RSB. La Renaissance était fidèle à son système, basé sur les infiltrations latérales et les transversales vers la surface de réparation.
A la 42e minute, China a centré vers Ennakhli qui a dévié le ballon vers les filets (1-0).
En deuxième mi-temps, les Berkanais ont monopolisé le ballon mais avaient des difficultés à concrétiser leur domination. Ils ont été bloqués dans leurs mouvements par toute une équipe transformée en un bloc défensif compact dont le seul objectif était de défendre.
Les Berkanais, dépités et incapables d'en venir à bout, ont perdu leur concentration et leur lucidité. Ils ont joué n'importe comment et ont fait n'importe quoi, facilitant la tâche à leurs adversaires qui ont résisté et tenu jusqu'au sifflet final.
La première mi-temps était équilibrée dans sa globalité. Le Youssoufia a produit un football économe qui se réduisait à surveiller l'adversaire, le bloquer et l'empêcher d'atteindre la zone du danger. Hadraf et Iajour ont bénéficié d'un traitement particulier du fait qu'ils constituaient l'épicentre de la menace de la RSB. La Renaissance était fidèle à son système, basé sur les infiltrations latérales et les transversales vers la surface de réparation.
A la 42e minute, China a centré vers Ennakhli qui a dévié le ballon vers les filets (1-0).
En deuxième mi-temps, les Berkanais ont monopolisé le ballon mais avaient des difficultés à concrétiser leur domination. Ils ont été bloqués dans leurs mouvements par toute une équipe transformée en un bloc défensif compact dont le seul objectif était de défendre.
Les Berkanais, dépités et incapables d'en venir à bout, ont perdu leur concentration et leur lucidité. Ils ont joué n'importe comment et ont fait n'importe quoi, facilitant la tâche à leurs adversaires qui ont résisté et tenu jusqu'au sifflet final.