Ce Onze national a failli nous donner une syncope avant qu’Ayoub El Kaâbi (45’), Soufiane Rahimi (par deux fois, 51’, 71’), Hamza Moussaoui (80’) et enfin Abdelilah El Hafidi (90’) nous donnent cette bouffée d’oxygène nécessaire pour respirer à pleins poumons.
Une qualification arrachée dans la douleur
Alors que les inconditionnels des Lions de l’Atlas donnaient l’équipe du Maroc favorite (un jugement empreint de subjectivité, certes, mais également d’assurance), les jeunes de l’équipe nationale de l’Ouganda avaient tenu à ébranler la confiance que nous avions placée dans El Houcine Ammouta et ses hommes en trouvant, les premiers, le chemin des buts gardés par Anas Zniti.
Ceux qui continuent à croire qu’il y a encore des Cendrillons en Afrique devraient y réfléchir, à deux fois, avant de lancer un jugement.
Les joueurs de l’équipe nationale ont déjà fait les frais de ce jugement apporté à la va-vite lorsqu’ils ont croisé, en match d’ouverture, les Éperviers du Togo. Puis face aux Ecureuils du Rwanda, ils ont fait connaissance avec des jeunes rwandais talentueux. Ces derniers avaient contraint les Marocains au partage des points.
Le dernier match de ce premier tour qui mène tout droit aux quarts, les Lions de l’Atlas devaient le disputer contre l’Ouganda. Certains se voyaient déjà au tour en compagnie de ceux qui ont arraché leur qualification à l’instar du Mali ou la Zambie, entre autres. Avant que l’arbitre de la partie ne siffle la fin du premier half, le «Club Maroc» était à la traîne grâce à un but de Ibrahim Orit (25’). Cependant, Ayoub El Kaâbi avait raté, à lui seul, pas moins de quatre occasions. Non seulement l’attaquant du Wydad a joué de malchance, mais a, également, manqué de lucidité devant les buts adverses. Celui sur lequel reposaient les espoirs de Ammouta, qui lui a octroyé le brassard de capitaine, et du public marocain, avait failli à sa mission: celle de marquer des buts. Pratiquement tous ses coéquipiers travaillaient pour lui. Il a reçu tellement de ballons simples qu’il a fini par désespérer même ses partisans les plus farouches. Puis, il s’entêtait à vouloir marquer par le biais des coups de ciseau.
Le penalty ou bien le déclic !
Heureusement, la détermination des joueurs marocains a fini par trouver la voie du succès lorsque le directeur de jeu Boubou Traore, accorda un penalty flagrant qu’El Kaâbi transforma avec succès.
De retour des vestiaires, les Marocains, plus que jamais, étaient persuadés que la fortune souriait aux audacieux. Le fer de lance marocain El Kaâbi en l’occurrence continuait, malheureusement, de rater. Mais heureusement il était flanqué de l’insaisissable et talentueux Soufiane Rahimi. Le Rajaoui, étincelant, marquera deux buts laissant le reste du score à Moussaoui et Hafidi.
En tous les cas, le Onze national et Houcine Ammouta savent désormais que leur chemin pour conserver leur titre est jonché d’obstacles en tous genres. La preuve leur été donnée par le Togo, le Rwanda et l’Ouganda. Même si ce dernier a été défait par les Lions Marocains sur un score-fleuve.
El Kaâbi perd le sens des buts
Une qualification arrachée dans la douleur
Alors que les inconditionnels des Lions de l’Atlas donnaient l’équipe du Maroc favorite (un jugement empreint de subjectivité, certes, mais également d’assurance), les jeunes de l’équipe nationale de l’Ouganda avaient tenu à ébranler la confiance que nous avions placée dans El Houcine Ammouta et ses hommes en trouvant, les premiers, le chemin des buts gardés par Anas Zniti.
Ceux qui continuent à croire qu’il y a encore des Cendrillons en Afrique devraient y réfléchir, à deux fois, avant de lancer un jugement.
Les joueurs de l’équipe nationale ont déjà fait les frais de ce jugement apporté à la va-vite lorsqu’ils ont croisé, en match d’ouverture, les Éperviers du Togo. Puis face aux Ecureuils du Rwanda, ils ont fait connaissance avec des jeunes rwandais talentueux. Ces derniers avaient contraint les Marocains au partage des points.
Le dernier match de ce premier tour qui mène tout droit aux quarts, les Lions de l’Atlas devaient le disputer contre l’Ouganda. Certains se voyaient déjà au tour en compagnie de ceux qui ont arraché leur qualification à l’instar du Mali ou la Zambie, entre autres. Avant que l’arbitre de la partie ne siffle la fin du premier half, le «Club Maroc» était à la traîne grâce à un but de Ibrahim Orit (25’). Cependant, Ayoub El Kaâbi avait raté, à lui seul, pas moins de quatre occasions. Non seulement l’attaquant du Wydad a joué de malchance, mais a, également, manqué de lucidité devant les buts adverses. Celui sur lequel reposaient les espoirs de Ammouta, qui lui a octroyé le brassard de capitaine, et du public marocain, avait failli à sa mission: celle de marquer des buts. Pratiquement tous ses coéquipiers travaillaient pour lui. Il a reçu tellement de ballons simples qu’il a fini par désespérer même ses partisans les plus farouches. Puis, il s’entêtait à vouloir marquer par le biais des coups de ciseau.
Le penalty ou bien le déclic !
Heureusement, la détermination des joueurs marocains a fini par trouver la voie du succès lorsque le directeur de jeu Boubou Traore, accorda un penalty flagrant qu’El Kaâbi transforma avec succès.
De retour des vestiaires, les Marocains, plus que jamais, étaient persuadés que la fortune souriait aux audacieux. Le fer de lance marocain El Kaâbi en l’occurrence continuait, malheureusement, de rater. Mais heureusement il était flanqué de l’insaisissable et talentueux Soufiane Rahimi. Le Rajaoui, étincelant, marquera deux buts laissant le reste du score à Moussaoui et Hafidi.
En tous les cas, le Onze national et Houcine Ammouta savent désormais que leur chemin pour conserver leur titre est jonché d’obstacles en tous genres. La preuve leur été donnée par le Togo, le Rwanda et l’Ouganda. Même si ce dernier a été défait par les Lions Marocains sur un score-fleuve.
El Kaâbi perd le sens des buts
En trois matches, le premier buteur du dernier CHAN organisé au Maroc en 2018, n’a trouvé le chemin des buts qu’une seule fois et sur penalty. Ce qui reste très mince pour quelqu’un qui porte l’espoir de tous les Marocains. L’ex-buteur du RAC a tout intérêt à retrouver, très vite, ses réflexes de buteur. Il y va de la course du Onze national à une autre consécration continentale. La seconde de suite…