Avant le début du CHAN, l'équipe nationale était donnée parmi les grands favoris. Après les deux premières sorties, sa cote a graduellement baissé.
Ce mardi à 20h00, les Marocains espèrent voir une autre version de leur sélection nationale, une version positive et apaisante pour le reste de la compétition. Il ne suffit pas de se qualifier. Il le faut avec de la manière.
Deux premiers matches décevants
Le premier match face au Togo a été remporté de façon discutable. D'abord, le penalty à l'origine de la victoire n'était pas évident pour ne pas dire injuste. Ensuite, la prestation n'était pas convaincante. Le deuxième était encore plus décevant que le premier. Les justifications du coach national n'ont pas convaincu.
Un pré-tournoi optimal
Pourtant la préparation s'était effectuée dans de bonnes conditions avec tous les moyens possibles mis à la disposition du staff technique. L'effectif est très riche en individualités et très large en nombre (33 joueurs). Le rendement et le résultat devront être conséquents par rapport à cette situation optimale. Or, ce n'est pas encore le cas. Amouta et ses joueurs n'ont plus droit ni à l'excuse ni à l'échec.
Lenteur, lourdeur et inefficacité !
Lors des deux premiers matches, les mêmes remarques : une progression très lente, un jeu décousu, stérile et trop prudent, une utilisation inapproprié et inattendue de quelques joueurs, une organisation statique et invariable sans adaptation aux variations des situations du jeu et des adversaires...bref une équipe nationale décevante et loin des attentes.
Ils devront agir et réagir !
Avant Maroc-Ouganda, le souhait de voir l'équipe nationale rectifier l'image dégagée depuis le début est général. Il dépend du coach et des joueurs. Cette fois-ci, ils devront être plus performants et plus convaincants face à une équipe qui devra faire le jeu et en conséquence qui sera obligée de se découvrir. Les Ougandais gardent leurs chances avant le coup d'envoi. Ils joueront jusqu'au bout. Les Marocains devront en profiter…
Ce mardi à 20h00, les Marocains espèrent voir une autre version de leur sélection nationale, une version positive et apaisante pour le reste de la compétition. Il ne suffit pas de se qualifier. Il le faut avec de la manière.
Deux premiers matches décevants
Le premier match face au Togo a été remporté de façon discutable. D'abord, le penalty à l'origine de la victoire n'était pas évident pour ne pas dire injuste. Ensuite, la prestation n'était pas convaincante. Le deuxième était encore plus décevant que le premier. Les justifications du coach national n'ont pas convaincu.
Un pré-tournoi optimal
Pourtant la préparation s'était effectuée dans de bonnes conditions avec tous les moyens possibles mis à la disposition du staff technique. L'effectif est très riche en individualités et très large en nombre (33 joueurs). Le rendement et le résultat devront être conséquents par rapport à cette situation optimale. Or, ce n'est pas encore le cas. Amouta et ses joueurs n'ont plus droit ni à l'excuse ni à l'échec.
Lenteur, lourdeur et inefficacité !
Lors des deux premiers matches, les mêmes remarques : une progression très lente, un jeu décousu, stérile et trop prudent, une utilisation inapproprié et inattendue de quelques joueurs, une organisation statique et invariable sans adaptation aux variations des situations du jeu et des adversaires...bref une équipe nationale décevante et loin des attentes.
Ils devront agir et réagir !
Avant Maroc-Ouganda, le souhait de voir l'équipe nationale rectifier l'image dégagée depuis le début est général. Il dépend du coach et des joueurs. Cette fois-ci, ils devront être plus performants et plus convaincants face à une équipe qui devra faire le jeu et en conséquence qui sera obligée de se découvrir. Les Ougandais gardent leurs chances avant le coup d'envoi. Ils joueront jusqu'au bout. Les Marocains devront en profiter…