Le fléau de l’abandon scolaire continue de sévir le Maroc. Il est devenu un véritable défi pour le système éducatif marocain. Selon les données dévoilées par le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), pas moins de 300.000 élèves abandonnent l’école chaque année.
Pour discuter de cette problématique, le CNDH a organisé, vendredi, une rencontre sous le thème « le phénomène du décrochage scolaire au Maroc : une violation du droit de l'enfant à l'éducation ».
Cette journée d’étude a permis de jeter la lumière sur le phénomène du décrochage scolaire au Maroc, qui constitue une violation du droit à l’éducation, en s’attachant à l’aborder d'un point de vue juridique et répondre à diverses interrogations, le but étant de formuler des propositions et des recommandations à ce sujet.
Dans les conclusions de son dernier rapport annuel, le CNDH a notamment noté « une croissance du nombre de plaintes reçues par le Conseil, ce qui confirme la prépondérance des questions liées aux droits socio-économiques pour le citoyen », a relevé le secrétaire général du CNDH, Mounir Bensalah, soulignant une redéfinition des priorités qui se manifeste dans le droit à l’éducation, le droit à la santé, et l’accélération du processus de généralisation de la couverture médicale obligatoire.
Plus de 300.000 élèves abandonnent les bancs de l’école chaque année à cause de plusieurs facteurs, dont la pauvreté et le milieu socio-économique défavorable, a-t-il déploré, ajoutant que la pandémie de Covid-19 a grandement contribué à l’amplification du phénomène.
Il est à noter que le droit des enfants à l’éducation constitue un droit fondamental garanti par les conventions internationales ratifiées par le Royaume, notamment la Convention internationale des Droits de l’Enfant.
Pour discuter de cette problématique, le CNDH a organisé, vendredi, une rencontre sous le thème « le phénomène du décrochage scolaire au Maroc : une violation du droit de l'enfant à l'éducation ».
Cette journée d’étude a permis de jeter la lumière sur le phénomène du décrochage scolaire au Maroc, qui constitue une violation du droit à l’éducation, en s’attachant à l’aborder d'un point de vue juridique et répondre à diverses interrogations, le but étant de formuler des propositions et des recommandations à ce sujet.
Dans les conclusions de son dernier rapport annuel, le CNDH a notamment noté « une croissance du nombre de plaintes reçues par le Conseil, ce qui confirme la prépondérance des questions liées aux droits socio-économiques pour le citoyen », a relevé le secrétaire général du CNDH, Mounir Bensalah, soulignant une redéfinition des priorités qui se manifeste dans le droit à l’éducation, le droit à la santé, et l’accélération du processus de généralisation de la couverture médicale obligatoire.
Plus de 300.000 élèves abandonnent les bancs de l’école chaque année à cause de plusieurs facteurs, dont la pauvreté et le milieu socio-économique défavorable, a-t-il déploré, ajoutant que la pandémie de Covid-19 a grandement contribué à l’amplification du phénomène.
Il est à noter que le droit des enfants à l’éducation constitue un droit fondamental garanti par les conventions internationales ratifiées par le Royaume, notamment la Convention internationale des Droits de l’Enfant.