Côté affaires, COFACE a placé le Maroc parmi la liste des pays ayant un «climat d’affaires favorable».
S’agissant de ses atouts, les données de COFACE ont fait ressortir «une situation géographique favorable en raison de sa proximité avec le marché européen», l’adoption d’une «stratégie de diversification de la production dans de nombreux secteurs industriels », ainsi que «la stabilité politique et l’engagement en faveur des réformes».
Le même indice souligne que le Maroc bénéficie d’une «intégration accrue au marché africain et du renforcement des partenariats» (notamment Sud-Sud), ainsi que du soutien de la communauté internationale, notamment européenne, notant qu’il s’agit «d’un pays avec un marché en croissance et en expansion».
S’agissant de ses points faibles, COFACE pointe « la forte dépendance de l’économie à la performance du secteur agricole (12% du PIB et 30% de l’emploi de la population), «les disparités sociales et territoriales entre les villes et les zones rurales» et «le taux de pauvreté qui reste à des niveaux élevés».
S’ajoute à cela «le taux de chômage élevé, en particulier chez les jeunes, une faible participation des femmes à la vie active» et «le manque d’accès au logement» ainsi qu’une «faible productivité et compétitive économique».
S’agissant de ses atouts, les données de COFACE ont fait ressortir «une situation géographique favorable en raison de sa proximité avec le marché européen», l’adoption d’une «stratégie de diversification de la production dans de nombreux secteurs industriels », ainsi que «la stabilité politique et l’engagement en faveur des réformes».
Le même indice souligne que le Maroc bénéficie d’une «intégration accrue au marché africain et du renforcement des partenariats» (notamment Sud-Sud), ainsi que du soutien de la communauté internationale, notamment européenne, notant qu’il s’agit «d’un pays avec un marché en croissance et en expansion».
S’agissant de ses points faibles, COFACE pointe « la forte dépendance de l’économie à la performance du secteur agricole (12% du PIB et 30% de l’emploi de la population), «les disparités sociales et territoriales entre les villes et les zones rurales» et «le taux de pauvreté qui reste à des niveaux élevés».
S’ajoute à cela «le taux de chômage élevé, en particulier chez les jeunes, une faible participation des femmes à la vie active» et «le manque d’accès au logement» ainsi qu’une «faible productivité et compétitive économique».