La FIFA semble ne plus faire confiance à la Confédération Africaine de Football. Cette dernière avait tout récemment annoncé la liste des candidats à la présidence de la CAF en spécifiant que sa Commission de Gouvernance avait validé les candidatures du Sénégalais Augustin Senghor et de l'Ivoirien Jacques Anouma et accepté provisoirement celles du Mauritanien Mohamed Yahya et du Sud-africain Patrice Motsepe en attendant un complément de vérification.
Mais voilà, la FIFA qui se mêle de cette élection et se présente comme partie décisionnaire associée dans l'évaluation des candidatures. Son argument pour avoir ce droit de contrôle : le futur président de la CAF sera automatiquement l'un des vice-présidents de la FIFA.
En conséquence, la validité des candidatures devra également passer par la Commission du Contrôle de la FIFA. De ce fait, la Commission de Gouvernance de la CAF n'est plus seule à décider. Les dossiers des candidats devront être bien ficelés.
Mais voilà, la FIFA qui se mêle de cette élection et se présente comme partie décisionnaire associée dans l'évaluation des candidatures. Son argument pour avoir ce droit de contrôle : le futur président de la CAF sera automatiquement l'un des vice-présidents de la FIFA.
En conséquence, la validité des candidatures devra également passer par la Commission du Contrôle de la FIFA. De ce fait, la Commission de Gouvernance de la CAF n'est plus seule à décider. Les dossiers des candidats devront être bien ficelés.