Selon l'agent de Carteron, Hazim Fettouh, la valeur de la clause libératoire de l'ex-coach de Zamalek a été amplifiée et exagérée. La clause exigeait le paiement seulement de 170 mille dollars, l'équivalent de deux mois de salaire (85 mille dollars X 2). Mais avant de partir, l'ex-coach du club de Mourtada Mansour n'a, en fait, avancé que 42.5 mille dollars. Le Zamalek lui devait encore le salaire d'un mois et demi.
L'agent de Carteron, sur une chaîne arabe satellitaire, a essayé de défendre son client expliquant que les motivations n'étaient pas pécuniaires, mais plutôt d'ordre psychologique. Carteron n'aurait plus supporté l'ambiance au sein du club cairote.
Mais personne du côté de Zamalek ne validera ces motivations. Les raisons pécuniaires sont l'unique raison pour eux.
Le départ précipité de Carteron pousse à se poser des questions. Il reste énigmatique. La "peur" de perdre face au Raja avec tout ce qui en découle de conséquences pourrait être citée parmi les hypothèses émises.
L'agent de Carteron, sur une chaîne arabe satellitaire, a essayé de défendre son client expliquant que les motivations n'étaient pas pécuniaires, mais plutôt d'ordre psychologique. Carteron n'aurait plus supporté l'ambiance au sein du club cairote.
Mais personne du côté de Zamalek ne validera ces motivations. Les raisons pécuniaires sont l'unique raison pour eux.
Le départ précipité de Carteron pousse à se poser des questions. Il reste énigmatique. La "peur" de perdre face au Raja avec tout ce qui en découle de conséquences pourrait être citée parmi les hypothèses émises.