3 millions de dollars, voilà la raison qui a poussé Carteron à larguer le club avec lequel il était lié sans préambule ni préavis.
Il a "répudié" une équipe pour rejoindre une autre, parce qu'elle est riche et parce qu'elle lui a promis 3 millions de dollars.
Est-ce de la cupidité ? Est-ce du réalisme ? Est-ce du professionnalisme ? Est-ce du mercenariat ? Les avis et les prises de positions varieront.
Mais la décision est d'abord une affaire personnelle que Carteron a prise en son âme et conscience. Il avait sûrement réfléchi mille et une fois avant de la prendre. Ses propres intérêts d'abord !
Le club à l'origine du départ précipité et brusque de Carteron est le club saoudien "Attaâoune" qui participe actuellement à la phase éliminatoire (formule regroupant les clubs) de la Ligue des Champions asiatiques (zone Ouest) se déroulant à Doha.
3 millions de dollars : voilà pourquoi Carteron a laissé tomber le club avec lequel il s'apprêtait à rivaliser pour le titre suprême de la prestigieuse Ligue des Champions africains.
Pourtant, il était choyé, gâté et respecté au Zamalek.
Au Zamalek, deux mots reviennent : la trahison et la déception. On ne reproche pas à Carteron son départ mais plutôt la manière et le timing du départ. On dit qu'il aurait au moins resté jusqu'à la fin des phases finales de la Ligue des Champions.
Carteron savait que cette compétition est l’objectif avec un grand « O » de tous les Zamalkaouis à commencer par Mourtada Mansour, un président unique dans son genre.
Ce dernier menace déjà de se prendre au club qui a osé lui « voler » son coach !
Il a "répudié" une équipe pour rejoindre une autre, parce qu'elle est riche et parce qu'elle lui a promis 3 millions de dollars.
Est-ce de la cupidité ? Est-ce du réalisme ? Est-ce du professionnalisme ? Est-ce du mercenariat ? Les avis et les prises de positions varieront.
Mais la décision est d'abord une affaire personnelle que Carteron a prise en son âme et conscience. Il avait sûrement réfléchi mille et une fois avant de la prendre. Ses propres intérêts d'abord !
Le club à l'origine du départ précipité et brusque de Carteron est le club saoudien "Attaâoune" qui participe actuellement à la phase éliminatoire (formule regroupant les clubs) de la Ligue des Champions asiatiques (zone Ouest) se déroulant à Doha.
3 millions de dollars : voilà pourquoi Carteron a laissé tomber le club avec lequel il s'apprêtait à rivaliser pour le titre suprême de la prestigieuse Ligue des Champions africains.
Pourtant, il était choyé, gâté et respecté au Zamalek.
Au Zamalek, deux mots reviennent : la trahison et la déception. On ne reproche pas à Carteron son départ mais plutôt la manière et le timing du départ. On dit qu'il aurait au moins resté jusqu'à la fin des phases finales de la Ligue des Champions.
Carteron savait que cette compétition est l’objectif avec un grand « O » de tous les Zamalkaouis à commencer par Mourtada Mansour, un président unique dans son genre.
Ce dernier menace déjà de se prendre au club qui a osé lui « voler » son coach !