Désormais, les fonctionnaires chargés de l’examen et de l’étude des autorisations d’urbanisme seront amenés à traiter les dossiers qui leur sont présentés et à faire part de leurs observations dans un délai maximal de 48 heures à compter de la date fixée pour chaque dossier, c’est ce qu’a été demandé par la présidente du Conseil de la Commune de Casablanca, Nabila Rmili, à travers un communiqué publié dimanche, et ce en vue d’accélérer la cadence de traitement des autorisations d’urbanisme, afin de respecter les délais réglementaires fixés par la loi.
Les demandes d’autorisations à caractère urbanistique et les permis de construire ou de modification déposées sur le site « Rokhas » seront, selon le même document, traités dans les délais réglementaires et conformément au règlement général de construction qui fixe la manière dont les autorisations et les pièces de construction doivent être délivrées. Cette procédure vise à remédier aux dysfonctionnements et aux retards qui continuent d’entraver le secteur, conclut le communiqué.
Il convient de noter que la décision de la mairie de Casablanca intervient quelques jours après la publication d’un communiqué par l’institution de l’Ordre des Architectes, Conseil Régional du Centre, qui déplore les ‘’silence et mutisme’’ qui lui ont été opposés par la marie de Casablanca, surtout « dans un contexte où l’ensemble des acteurs du secteur de l’immobilier doivent faire face difficultés économiques et concentrer leurs efforts à se mobiliser pour la redynamisation du secteur de l’habitat, et ce dans un esprit de digitalisation et d’allègement des procédures administratives et une logique de démarche d’attractivité de la métropole économique.
Ces architectes, selon le communiqué, font face à une situation, liée aux autorisations de construire, qui empire incessamment et sont dans un extrême désarroi dû à l’environnement délétère dans lequel ils exercent entravant considérablement les investissements.
Constatant et subissant un total irrespect des délais fixés par le Règlement Général de construction tant au traitement des dossiers des autorisations, que des permis d’habiter et calculs des taxes communales, les architectes se trouvent « emprisonnés dans un engrenage administratif, acculés dans des circuits administratifs des autorisations de construire insoutenables, outrepassant les lois et règlements en vigueur », lit-on dans le communiqué du Conseil National de l’Ordre des architectes.
Cela dit, et afin de remédier à ces obstacles et complexités, il faudrait que la mairie de Casablanca veille au renforcement de sa décision, aussi louable soit-elle, avec des mesures coercitives afin d’assurer une issue effective de ce labyrinthe où s’est égaré l’urbanisme casablancais depuis plusieurs années.
Les demandes d’autorisations à caractère urbanistique et les permis de construire ou de modification déposées sur le site « Rokhas » seront, selon le même document, traités dans les délais réglementaires et conformément au règlement général de construction qui fixe la manière dont les autorisations et les pièces de construction doivent être délivrées. Cette procédure vise à remédier aux dysfonctionnements et aux retards qui continuent d’entraver le secteur, conclut le communiqué.
Il convient de noter que la décision de la mairie de Casablanca intervient quelques jours après la publication d’un communiqué par l’institution de l’Ordre des Architectes, Conseil Régional du Centre, qui déplore les ‘’silence et mutisme’’ qui lui ont été opposés par la marie de Casablanca, surtout « dans un contexte où l’ensemble des acteurs du secteur de l’immobilier doivent faire face difficultés économiques et concentrer leurs efforts à se mobiliser pour la redynamisation du secteur de l’habitat, et ce dans un esprit de digitalisation et d’allègement des procédures administratives et une logique de démarche d’attractivité de la métropole économique.
Ces architectes, selon le communiqué, font face à une situation, liée aux autorisations de construire, qui empire incessamment et sont dans un extrême désarroi dû à l’environnement délétère dans lequel ils exercent entravant considérablement les investissements.
Constatant et subissant un total irrespect des délais fixés par le Règlement Général de construction tant au traitement des dossiers des autorisations, que des permis d’habiter et calculs des taxes communales, les architectes se trouvent « emprisonnés dans un engrenage administratif, acculés dans des circuits administratifs des autorisations de construire insoutenables, outrepassant les lois et règlements en vigueur », lit-on dans le communiqué du Conseil National de l’Ordre des architectes.
Cela dit, et afin de remédier à ces obstacles et complexités, il faudrait que la mairie de Casablanca veille au renforcement de sa décision, aussi louable soit-elle, avec des mesures coercitives afin d’assurer une issue effective de ce labyrinthe où s’est égaré l’urbanisme casablancais depuis plusieurs années.
« Rokhas », un retard digitalisé
Rokhas est une plateforme collaborative élaborée principalement pour permettre la gestion de bout en bout du processus de délivrance des autorisations à caractère économique. Toutefois, la fonction principale de ladite plateforme, à savoir l’accélération du processus d’obtention des autorisations relatives à la construction, ne semble pas être assurée. La nouvelle décision de la mairie de Casablanca touche également à cet aspect digital dudit processus et tient à le fluidifier davantage. Espérons !