Heetch Maroc diversifie son offre. Elle a dernièrement fait appel à des chauffeurs particuliers pour devenir leader dans le créneau Voitures de Transport avec Chauffeur (VTC) dans la capitale économique. Cette application ne sera donc plus associée exclusivement aux taxis mais sera plus ou moins uberisée en faisant appel à des chauffeurs particuliers à l’instar du concurrent Careem.
Au départ, la firme a eu pour ambition de gagner en qualité et réconcilier les passagers et les taxis. Elle a donc choisi de faire son entrée sur le marché marocain en 2017 sur cette base, après avoir obtenu son autorisation d’exercer à la Wilaya de Casablanca.
Contacté par nos soins, Hicham Amadi, Directeur Général de Heetch Maroc nous a affirmé que «nous avons toujours fait le choix de travailler avec des personnes ayant l’autorisation d’exercer en tant que conducteurs, notamment ceux des taxis avec bien évidemment des véhicules particuliers. Aujourd’hui, notre société est à la recherche de chauffeurs particuliers pour au moins deux raisons. D’abord, du fait que cela n’est nullement contradictoire avec la loi et que d’autres applications y recourent sans avoir aucun problème avec les autorités ». Le patron de Heetch Maroc estime par ailleurs que, « ce sera bénéfique pour tout propriétaire de voiture. Nos collaborateurs n’ont plus besoin de louer un taxi. Les prix de ceux-ci n’ont pas changé malgré la répercussion de la crise sanitaire ». Hicham Amadi soutient qu’ainsi, « de nouvelles opportunités de travail se présentent aux Casablancais, après des mois de baisse d’activités dus à la crise sanitaire et des restrictions de circulation qui s’en est suivie. Une baisse qui a atteint 30% de l’activité des taxis ».
Pour y être éligibles, M. Amadi nous a expliqué que «les chauffeurs de Heetch doivent répondre à un certain nombre de critères, notamment la disposition d’un permis de confiance, d’un casier judiciaire vide, et d’un véhicule adéquat».
Pour mémoire, il y a deux ans, Heetch Maroc a saisi le Conseil de la concurrence pour avoir une vision plus claire concernant la réservation des courses sûres, abordables et fiables en faisant appel à des sociétés de transports «VTC». «Le Conseil de la concurrence a fait savoir dans un communiqué relatif à l’opération de concentration économique portant sur l’acquisition par la société Uber Technologies, Inc de l’ensemble des actifs de la société Careem Inc et des engagements proposés par cette société, datant du 8 septembre dernier, que cette pratique n’est pas du tout illégale et ne constitue pas forcément une concurrence déloyale des taxis. C’est dans cette logique que nous nous sommes lancés», a noté le DG de Heetch Maroc.
Au départ, la firme a eu pour ambition de gagner en qualité et réconcilier les passagers et les taxis. Elle a donc choisi de faire son entrée sur le marché marocain en 2017 sur cette base, après avoir obtenu son autorisation d’exercer à la Wilaya de Casablanca.
Contacté par nos soins, Hicham Amadi, Directeur Général de Heetch Maroc nous a affirmé que «nous avons toujours fait le choix de travailler avec des personnes ayant l’autorisation d’exercer en tant que conducteurs, notamment ceux des taxis avec bien évidemment des véhicules particuliers. Aujourd’hui, notre société est à la recherche de chauffeurs particuliers pour au moins deux raisons. D’abord, du fait que cela n’est nullement contradictoire avec la loi et que d’autres applications y recourent sans avoir aucun problème avec les autorités ». Le patron de Heetch Maroc estime par ailleurs que, « ce sera bénéfique pour tout propriétaire de voiture. Nos collaborateurs n’ont plus besoin de louer un taxi. Les prix de ceux-ci n’ont pas changé malgré la répercussion de la crise sanitaire ». Hicham Amadi soutient qu’ainsi, « de nouvelles opportunités de travail se présentent aux Casablancais, après des mois de baisse d’activités dus à la crise sanitaire et des restrictions de circulation qui s’en est suivie. Une baisse qui a atteint 30% de l’activité des taxis ».
Pour y être éligibles, M. Amadi nous a expliqué que «les chauffeurs de Heetch doivent répondre à un certain nombre de critères, notamment la disposition d’un permis de confiance, d’un casier judiciaire vide, et d’un véhicule adéquat».
Pour mémoire, il y a deux ans, Heetch Maroc a saisi le Conseil de la concurrence pour avoir une vision plus claire concernant la réservation des courses sûres, abordables et fiables en faisant appel à des sociétés de transports «VTC». «Le Conseil de la concurrence a fait savoir dans un communiqué relatif à l’opération de concentration économique portant sur l’acquisition par la société Uber Technologies, Inc de l’ensemble des actifs de la société Careem Inc et des engagements proposés par cette société, datant du 8 septembre dernier, que cette pratique n’est pas du tout illégale et ne constitue pas forcément une concurrence déloyale des taxis. C’est dans cette logique que nous nous sommes lancés», a noté le DG de Heetch Maroc.
Carte de visite
Heetch est une compagnie mondiale de transport urbain français, fondée en avril 2013 par deux hommes d’affaires Teddy Pellerin et Mathieu Jacob avec objectif de rendre la nuit plus accessible.
Elle a pensé à s’associer aux chauffeurs de taxis de Casablanca pour faire son entrée au Maroc en toute sécurité et apaiser un peu la rage de ces derniers envers les sociétés de VTC.
D’ailleurs, un an après, en 2018, elle a réussi à obtenir une autorisation officielle d’exercer auprès de la wilaya de Casablanca, proposant ainsi une solution réelle de mobilité légale.
L’application a pu établir dès ses débuts, un large réseau de partenaires avec une flotte composée de 4000 chauffeurs de taxis auxquels s’ajoute un important contingent de drivers, pour un total de 150.000 trajets par mois.
Siham MDIJI