Lors de la session extraordinaire du Conseil de la ville de Casablanca, tenue jeudi 23 juillet au siège de la wilaya de la région Casa-Settat, la convention relative au zoo de Aïn Sebaâ représentait un élément phare au menu de la session.
10 millions de DHS pour finaliser le projet
Le projet en soi, vise le réaménagement de l’ancien zoo d›Aïn Sebaâ, patrimoine casablancais depuis plus de 80 ans, en un parc zoologique de dernière génération (Zoo-immersion). L’intérêt est de combler les besoins de la ville en matière d’équipement d’animation. En ce sens, 10 millions de DHS devront servir à finaliser les travaux du zoo. « Un chantier qui devra se terminer d’ici la fin de l’année en cours », promet Abdelaziz El Omari, Président du Conseil de la ville de Casablanca.
En ce qui concerne le budget global du projet, il est estimé à 250 MDHS. Il est financé par le ministère de l’Intérieur, à savoir la Direction générale des collectivités locales, à hauteur de 130 millions DHS, la commune de Casablanca (80 MDHS) et la région de Casablanca-Settat (40 MDHS). S’étalant sur une superficie de 10 hectares, ce projet ne comprend pas uniquement un zoo, étant donné que la moitié du foncier abrite un espace boisé de 5 hectares. Le reste est partagé entre le zoo « à proprement dit » (2,5 hectares) et le parc de jeux (2,5 hectares).
Il est à noter que la réhabilitation du zoo, qui entre dans le cadre des projets financés par le plan de développement de Casablanca, a déjà pris beaucoup de retard.
Ceci dit, le maire atteste que l’aménagement d’un parc zoologique n’est pas de tout repos. « Il faut au moins 6 mois rien que pour amener la collection d’animaux », précise-t-il. A ce jour, près de 230 millions de DHS sont déjà investis dans ce chantier gigantesque. Sans compter les 15 millions de dépassement de budget et les 10 millions de DHS nécessaires pour les frais de fonctionnement pour la 1ère année d’exploitation. « Nous avons envisagé plusieurs scénarios de gestion pour le zoo, avant de retenir l’option d’opérer via la SDL Casa Events & Animation », explique El Omari.
D’après le maître d’ouvrage délégué, Casa Aménagement, le zoo devrait comprendre trois aires géographiques représentant l’Afrique, l’Asie et l’Amérique, une collection animalière de plus de 45 espèces, et une ferme pédagogique. En ce qui concerne l’espace détente et shopping, deux grands espaces sont réservés pour le pique-nique, un restaurant, une boutique ainsi que deux kiosques.
10 millions de DHS pour finaliser le projet
Le projet en soi, vise le réaménagement de l’ancien zoo d›Aïn Sebaâ, patrimoine casablancais depuis plus de 80 ans, en un parc zoologique de dernière génération (Zoo-immersion). L’intérêt est de combler les besoins de la ville en matière d’équipement d’animation. En ce sens, 10 millions de DHS devront servir à finaliser les travaux du zoo. « Un chantier qui devra se terminer d’ici la fin de l’année en cours », promet Abdelaziz El Omari, Président du Conseil de la ville de Casablanca.
En ce qui concerne le budget global du projet, il est estimé à 250 MDHS. Il est financé par le ministère de l’Intérieur, à savoir la Direction générale des collectivités locales, à hauteur de 130 millions DHS, la commune de Casablanca (80 MDHS) et la région de Casablanca-Settat (40 MDHS). S’étalant sur une superficie de 10 hectares, ce projet ne comprend pas uniquement un zoo, étant donné que la moitié du foncier abrite un espace boisé de 5 hectares. Le reste est partagé entre le zoo « à proprement dit » (2,5 hectares) et le parc de jeux (2,5 hectares).
Il est à noter que la réhabilitation du zoo, qui entre dans le cadre des projets financés par le plan de développement de Casablanca, a déjà pris beaucoup de retard.
Ceci dit, le maire atteste que l’aménagement d’un parc zoologique n’est pas de tout repos. « Il faut au moins 6 mois rien que pour amener la collection d’animaux », précise-t-il. A ce jour, près de 230 millions de DHS sont déjà investis dans ce chantier gigantesque. Sans compter les 15 millions de dépassement de budget et les 10 millions de DHS nécessaires pour les frais de fonctionnement pour la 1ère année d’exploitation. « Nous avons envisagé plusieurs scénarios de gestion pour le zoo, avant de retenir l’option d’opérer via la SDL Casa Events & Animation », explique El Omari.
D’après le maître d’ouvrage délégué, Casa Aménagement, le zoo devrait comprendre trois aires géographiques représentant l’Afrique, l’Asie et l’Amérique, une collection animalière de plus de 45 espèces, et une ferme pédagogique. En ce qui concerne l’espace détente et shopping, deux grands espaces sont réservés pour le pique-nique, un restaurant, une boutique ainsi que deux kiosques.
Kenza AZIOUZI