Dans une allocution de circonstance, la directrice du bureau Maroc du NCSC Loubna Bouhdid a indiqué que cette campagne est mise en place dans le cadre du programme "Amélioration des conditions de détention des jeunes marocains", financé par le Bureau de Démocratie, Droits de l'Homme et du Travail du Département d’Etat américain (DRL) et implémenté en partenariat avec la Délégation Générale à l'Administration Pénitentiaire et à la Réinsertion et le ministère de la Justice.
Mme Bouhdid a expliqué que la campagne vise à plaider notamment pour le renforcement de la protection juridique des mineurs, en préconisant un certain nombre de procédures juridiques et de règles de protection de droits de l'Homme dans les différentes phases de procédures judiciaires, allant de la garde à vue du mineur et du déroulement de l'enquête, en passant par la rapidité et la minimisation des délais de la procédure et le respect de la vie privée du mineur et sa protection contre la stigmatisation, jusqu'à la mise en œuvre des alternatives aux peines privatives de liberté.
Elle vise également la création d’une infrastructure appropriée pour soutenir la protection et la réhabilitation des enfants et ce, à travers le développement de la performance institutionnelle des centres de détention en termes de services, de programmes et de droits, la promotion d'un environnement approprié pour répondre aux besoins et exigences de base des mineurs en leurs garantissant une meilleur réhabilitation et réintégration, a-t-elle ajouté.
Le but est de créer une nouvelle génération de centres de détention pour appuyer et réhabiliter les structures des centres de protection des enfants existants et répondre aux besoins des grandes villes faisant face à une manifestation accrue de délinquance juvénile, a expliqué Mme Bouhdid.
Cette campagne contribuera au développement des programmes gouvernementaux en matière de justice juvénile, non seulement en injectant des capacités matérielles et humaines qualifiées afin de protéger les enfants des déviances, mais aussi en promouvant la bonne gouvernance afin d'élever le niveau de performance des politiques publiques convergentes et intégrantes destinées aux enfants, aux niveaux national, régional et local, a souligné la responsable.
Pour sa part, le doyen de la faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de l’Université Sidi Mohamed Ben Abdellah de Fès, Mohammed Bouzlafa a indiqué que le mémorandum présenté dans le cadre de cette campagne comprend plus de 25 recommandations afin mettre le doigt sur les problématiques liées à la justice des mineurs au Maroc.
Le NCSC est une structure non gouvernementale qui offre son expertise pour contribuer à l'amélioration des services juridiques. Dans la région du Maghreb, le centre dispose de deux antennes, sises au Maroc et en Tunisie.
Mme Bouhdid a expliqué que la campagne vise à plaider notamment pour le renforcement de la protection juridique des mineurs, en préconisant un certain nombre de procédures juridiques et de règles de protection de droits de l'Homme dans les différentes phases de procédures judiciaires, allant de la garde à vue du mineur et du déroulement de l'enquête, en passant par la rapidité et la minimisation des délais de la procédure et le respect de la vie privée du mineur et sa protection contre la stigmatisation, jusqu'à la mise en œuvre des alternatives aux peines privatives de liberté.
Elle vise également la création d’une infrastructure appropriée pour soutenir la protection et la réhabilitation des enfants et ce, à travers le développement de la performance institutionnelle des centres de détention en termes de services, de programmes et de droits, la promotion d'un environnement approprié pour répondre aux besoins et exigences de base des mineurs en leurs garantissant une meilleur réhabilitation et réintégration, a-t-elle ajouté.
Le but est de créer une nouvelle génération de centres de détention pour appuyer et réhabiliter les structures des centres de protection des enfants existants et répondre aux besoins des grandes villes faisant face à une manifestation accrue de délinquance juvénile, a expliqué Mme Bouhdid.
Cette campagne contribuera au développement des programmes gouvernementaux en matière de justice juvénile, non seulement en injectant des capacités matérielles et humaines qualifiées afin de protéger les enfants des déviances, mais aussi en promouvant la bonne gouvernance afin d'élever le niveau de performance des politiques publiques convergentes et intégrantes destinées aux enfants, aux niveaux national, régional et local, a souligné la responsable.
Pour sa part, le doyen de la faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de l’Université Sidi Mohamed Ben Abdellah de Fès, Mohammed Bouzlafa a indiqué que le mémorandum présenté dans le cadre de cette campagne comprend plus de 25 recommandations afin mettre le doigt sur les problématiques liées à la justice des mineurs au Maroc.
Le NCSC est une structure non gouvernementale qui offre son expertise pour contribuer à l'amélioration des services juridiques. Dans la région du Maghreb, le centre dispose de deux antennes, sises au Maroc et en Tunisie.