Malgré les efforts entrepris pour se transformer en une « Smart City », la Capitale économique ne réussit toujours pas à se débarrasser de certains phénomènes sociaux qui gâchent le paysage de ses belles artères.
Depuis quelques années, les responsables de la métropole ambitionnent de faire de Casablanca une Smart City, toutefois cela nécessite un changement dans la gestion de la ville et le bien-être de ses habitants.
En plus de la pression démographique, à l’origine de nombreux défis, à savoir le calvaire du trafic routier, la gestion des déchets, la pollution, l’insécurité, etc., les marchands ambulants, communément appelés les « ferracha », viennent jeter de l’huile sur le feu.
Ces derniers envahissent de force les boulevards et avenues de la ville, occupant ainsi illégalement l’espace public tout en bloquant la circulation et les différents accès aux trottoirs ou même aux chaussées.
Des voix s’élèvent
Epuisé de voir des vendeurs qui squattent illégalement chaque coin de rue, les habitants du quartier Sidi Maârouf ont pris leur courage à deux mains, en exprimant leur ras-le-bol vis-à-vis du chaos qu’ils provoquent.
Face à l’absence d’action concrète pour mettre fin à ce calvaire, les riverains ont adressé un courriel au Wali de la région de Casablanca-Settat, Said Ahmidouch, pour trouver de véritables solutions à ces marchands ambulants dont le nombre ne cesse d’augmenter, malgré la crise sanitaire et les mesures mises en place par les autorités pour limiter la propagation du Covid-19.
Ils l’ont, ainsi, appelé à donner des instructions aux autorités locales « afin d’intervenir et de mettre fin au chaos et à l’aléatoire dans les différentes ruelles causées par des dizaines de « ferracha », souvent la source de déchets et des ordures.
Les habitants de ce quartier ont, en outre, fait part de leurs inquiétudes concernant l’occupation de leur quartier par plusieurs migrants subsahariens, ce qui, selon eux, menace de transformer l’endroit en un point de leur rassemblement. Chose qui pourra donner lieu à toutes sortes de trafics illégaux, de drogues, de produits agricoles ou cosmétiques, etc.
Depuis quelques années, les responsables de la métropole ambitionnent de faire de Casablanca une Smart City, toutefois cela nécessite un changement dans la gestion de la ville et le bien-être de ses habitants.
En plus de la pression démographique, à l’origine de nombreux défis, à savoir le calvaire du trafic routier, la gestion des déchets, la pollution, l’insécurité, etc., les marchands ambulants, communément appelés les « ferracha », viennent jeter de l’huile sur le feu.
Ces derniers envahissent de force les boulevards et avenues de la ville, occupant ainsi illégalement l’espace public tout en bloquant la circulation et les différents accès aux trottoirs ou même aux chaussées.
Des voix s’élèvent
Epuisé de voir des vendeurs qui squattent illégalement chaque coin de rue, les habitants du quartier Sidi Maârouf ont pris leur courage à deux mains, en exprimant leur ras-le-bol vis-à-vis du chaos qu’ils provoquent.
Face à l’absence d’action concrète pour mettre fin à ce calvaire, les riverains ont adressé un courriel au Wali de la région de Casablanca-Settat, Said Ahmidouch, pour trouver de véritables solutions à ces marchands ambulants dont le nombre ne cesse d’augmenter, malgré la crise sanitaire et les mesures mises en place par les autorités pour limiter la propagation du Covid-19.
Ils l’ont, ainsi, appelé à donner des instructions aux autorités locales « afin d’intervenir et de mettre fin au chaos et à l’aléatoire dans les différentes ruelles causées par des dizaines de « ferracha », souvent la source de déchets et des ordures.
Les habitants de ce quartier ont, en outre, fait part de leurs inquiétudes concernant l’occupation de leur quartier par plusieurs migrants subsahariens, ce qui, selon eux, menace de transformer l’endroit en un point de leur rassemblement. Chose qui pourra donner lieu à toutes sortes de trafics illégaux, de drogues, de produits agricoles ou cosmétiques, etc.
Secteur informel : une entrave à la reprise économique
Le travail au noir représente plus de 70% de l’emploi dans les pays émergents et en développement, ce qui risque de freiner la reprise de ces économies, lit-on dans un rapport de la Banque Mondiale (BM), baptisé « The Long Shadow of Informality : Challenges and Policies ». Selon ce dernier, si les gouvernements n’adoptent pas «un ensemble complet» de mesures politiques pour y faire face, la reprise économique après la récession provoquée par la pandémie sera compromise.
Ainsi, le Maroc, avec un secteur informel qui représente 30% du PIB et un chiffre d’affaires dépassant les 410 milliards de dirhams, n’échappe pas à la règle.
Ainsi, le Maroc, avec un secteur informel qui représente 30% du PIB et un chiffre d’affaires dépassant les 410 milliards de dirhams, n’échappe pas à la règle.