Tout commence vers 16h00, lorsque les forces de l’ordre, en patrouille dans le cadre d’une lutte renforcée contre l’abattage clandestin, ordonnent l’arrêt d’une Dacia Docker en provenance de Douar El Foqra, près de Berrechid. À première vue, rien ne laisse présager l’ampleur de la fraude. Mais en ouvrant les portes du véhicule, les gendarmes découvrent l’impensable : 1,1 tonne de viande et d’abats de bovins, entreposés dans des conditions désastreuses, destinés à inonder les marchés et boucheries de la région.
L’alerte est immédiatement donnée, et les services vétérinaires de l’ONSSA sont dépêchés sur place. Le diagnostic est sans appel : la cargaison est impropre à la consommation et représente un grave danger sanitaire. Dans l’ombre, une question surgit : combien de temps cette filière opérait-elle sans éveiller les soupçons ?
Sur ordre du Parquet, la viande est détruite sur-le-champ, tandis que le conducteur, dont l’identité reste soigneusement gardée secrète, est placé en garde à vue. Son véhicule est saisi, et l’enquête s’oriente désormais vers les véritables instigateurs de ce trafic. Qui sont les fournisseurs ? À combien de marchés cette viande douteuse a-t-elle déjà été écoulée ? Et surtout, quelles complicités ont permis à ce commerce clandestin de prospérer.
Alors que les services de la gendarmerie royale promettent de remonter la filière jusqu’à ses derniers maillons, cette saisie met en lumière un phénomène aussi préoccupant qu’insidieux.
Elle soulève néanmoins une question troublante : combien de cargaisons similaires ont déjà échappé aux contrôles et atteint les assiettes des consommateurs ? Une vigilance accrue et des sanctions exemplaires s’imposent donc pour enrayer ce fléau qui menace la santé publique.
L’alerte est immédiatement donnée, et les services vétérinaires de l’ONSSA sont dépêchés sur place. Le diagnostic est sans appel : la cargaison est impropre à la consommation et représente un grave danger sanitaire. Dans l’ombre, une question surgit : combien de temps cette filière opérait-elle sans éveiller les soupçons ?
Sur ordre du Parquet, la viande est détruite sur-le-champ, tandis que le conducteur, dont l’identité reste soigneusement gardée secrète, est placé en garde à vue. Son véhicule est saisi, et l’enquête s’oriente désormais vers les véritables instigateurs de ce trafic. Qui sont les fournisseurs ? À combien de marchés cette viande douteuse a-t-elle déjà été écoulée ? Et surtout, quelles complicités ont permis à ce commerce clandestin de prospérer.
Alors que les services de la gendarmerie royale promettent de remonter la filière jusqu’à ses derniers maillons, cette saisie met en lumière un phénomène aussi préoccupant qu’insidieux.
Elle soulève néanmoins une question troublante : combien de cargaisons similaires ont déjà échappé aux contrôles et atteint les assiettes des consommateurs ? Une vigilance accrue et des sanctions exemplaires s’imposent donc pour enrayer ce fléau qui menace la santé publique.
Mohamed LOKHNATI