Le quartier des affaires Casanearshore a été le théâtre d'une scène terrifiante lundi après-midi lorsqu’un jeune ingénieur, pour des raisons encore inconnues, a pris un couteau et a attaqué violemment ses collègues dans les locaux de la filiale marocaine du groupe Atos.
L'incident, survenu aux alentours de 14 heures, a plongé le quartier des affaires de Casablanca dans un état de choc. Les premiers rapports indiquent que trois personnes ont été blessées dans l'attaque, dont deux hommes et une femme. Les blessures, graves pour certains, ont touché le cou et l'abdomen des victimes, nécessitant une intervention médicale d'urgence.
La réaction rapide des autorités locales a permis d'appréhender le suspect sur les lieux même du crime. Cependant, les motivations derrière cet acte brutal restent floues. Des témoins rapportent que l'assaillant, décrit comme calme et réservé, aurait été récemment licencié par ses supérieurs, une situation qu'il aurait apparemment mal vécue. En réaction à cette information, Atos, via son siège en France, nous a contacté pour infirmer tout licenciement dont aurait fait l’objet l’auteur de l’agression en amont de son acte.
Les autorités ont rapidement ouvert, sous la supervision du parquet, une enquête pour comprendre les circonstances exactes de cette attaque.
Selon des sources proches de l’affaire, la piste de motivations d’ordre passionnel est fortement évoquée.
L'incident, survenu aux alentours de 14 heures, a plongé le quartier des affaires de Casablanca dans un état de choc. Les premiers rapports indiquent que trois personnes ont été blessées dans l'attaque, dont deux hommes et une femme. Les blessures, graves pour certains, ont touché le cou et l'abdomen des victimes, nécessitant une intervention médicale d'urgence.
La réaction rapide des autorités locales a permis d'appréhender le suspect sur les lieux même du crime. Cependant, les motivations derrière cet acte brutal restent floues. Des témoins rapportent que l'assaillant, décrit comme calme et réservé, aurait été récemment licencié par ses supérieurs, une situation qu'il aurait apparemment mal vécue. En réaction à cette information, Atos, via son siège en France, nous a contacté pour infirmer tout licenciement dont aurait fait l’objet l’auteur de l’agression en amont de son acte.
Les autorités ont rapidement ouvert, sous la supervision du parquet, une enquête pour comprendre les circonstances exactes de cette attaque.
Selon des sources proches de l’affaire, la piste de motivations d’ordre passionnel est fortement évoquée.