Selon les informations relayées par El Desmarque, Ilias Akhomach, bien qu’absent de la feuille de match, est entré sur la pelouse après le coup de sifflet final pour exprimer sa colère face aux décisions arbitrales. Il aurait lancé à l’arbitre, à plusieurs reprises : « C’est une honte ! », avant de frapper violemment l’écran de la VAR, provoquant sa chute et sa détérioration.
Le rapport de l’arbitre a conduit la commission disciplinaire à prononcer une suspension de trois matchs : un pour « comportement contraire à l’esprit sportif », et deux autres pour « protestations envers les décisions arbitrales ». Le joueur manquera donc les rencontres contre le Celta Vigo, l’Espanyol et Osasuna.
Ironiquement, cette suspension n’aura aucun impact immédiat sur Villarreal, puisque Akhomach est actuellement en rééducation à la suite d’une rupture du ligament croisé antérieur et d’une entorse du ligament latéral interne du genou droit, survenue en octobre dernier. Une blessure qui l’éloigne des terrains jusqu’à la fin de la saison.
Le rapport de l’arbitre a conduit la commission disciplinaire à prononcer une suspension de trois matchs : un pour « comportement contraire à l’esprit sportif », et deux autres pour « protestations envers les décisions arbitrales ». Le joueur manquera donc les rencontres contre le Celta Vigo, l’Espanyol et Osasuna.
Ironiquement, cette suspension n’aura aucun impact immédiat sur Villarreal, puisque Akhomach est actuellement en rééducation à la suite d’une rupture du ligament croisé antérieur et d’une entorse du ligament latéral interne du genou droit, survenue en octobre dernier. Une blessure qui l’éloigne des terrains jusqu’à la fin de la saison.
L’exemple Bellingham : un précédent sans suite
Ce type de comportement n’est pas inédit cette saison. Le samedi 5 avril 2025, Jude Bellingham, star du Real Madrid, a littéralement craqué au terme de la défaite des siens face à Valence (1-2) au Santiago Bernabéu. Frustré par une série de décisions arbitrales controversées — notamment un penalty non sifflé après un contact avec le gardien Mamardashvili, ainsi qu’un but refusé à Kylian Mbappé —, le milieu anglais a laissé exploser sa colère en assénant un violent coup de pied au moniteur du VAR installé au bord du terrain.
La scène, captée par les caméras du média El Desmarque mais absente de la retransmission officielle, a été largement diffusée sur les réseaux sociaux. Pourtant, aucune sanction n’a été prise à son encontre. Pas de suspension. Pas même un rappel à l’ordre.
La différence de traitement entre les deux cas suscite des interrogations. Comment expliquer qu’un même acte — un coup de colère visant un dispositif du VAR — entraîne une lourde sanction pour l’un et aucune conséquence pour l’autre ? Faut-il y voir l’influence du statut du joueur, du poids de son club, ou un simple oubli administratif ?
Pour beaucoup, cette affaire met en lumière une justice disciplinaire à deux vitesses. Et soulève une question dérangeante : la rigueur des instances est-elle la même pour tous les joueurs, quels que soient leur nom, leur maillot, ou même leur religion ?