Le Wydad s’est fait surprendre au Complexe Sportif Mohammed V de Casablanca par son hôte Al Ahly lors de cette demi-finale de la Ligue des champions version 2019-2020 sur le score de 2-0 ; buts signés Mohamed Magdi Afsha et Nabil Maaloul, respectivement, aux 4ème et 62ème minute sur penalty.
Une formation bizarroïde
Les observateurs sportifs marocains, en général, et les inconditionnels conditionnels du WAC en partie unie avaient sursauté, à l’unisson, en voyant cette formation bizarroïde concoctée par Gabriel Gamondi.
D’entrée de jeu, les joueurs d’Al Ahly avaient des signaux forts qui laissent présager une mauvaise soirée pour les joueurs casablancais. Un sentiment d’aise des Egyptiens conforté par une belle tête de Yasser Ibrahim suivie par un pressing infernal qui ne tarda pas à donner ses fruits. Yahya Jabrane, transformé, à l’occasion, en une sentinelle commit une erreur impardonnable en se laissant subtiliser le ballon par Mohamed Magdi Afsha qui partit comme une flèche prendre en défaut Ahmed Réda Tagnaouti, sorti à son rencontre. Sorti de sa torpeur Wydad Al Oumma tenta de se racheter via des attaques orchestrées tantôt par El Haddad tantôt par Hassouni dont le tir frôlait le montant (16’), ou de temps à autre, par le biais de Badiî Aouk. Mais tout était trop brouillon. Désarçonnés, les coéquipiers d’Ismaïl El Haddad tentaient des actions pour déstabiliser leurs adversaires du jour. Al Ahly laissa passer ce petit orage et se rappela aux bons souvenirs des Marocains en déclenchant cette attaque à la 23ème minute en tentant de profiter d’une énième erreur de la défense des Rouges. Et sans la vivacité de Taganouti, le WAC aurait encaissé de nouveau.
Juste après cette tentative de la 23’, d’autres ne tarderont pas à suivre par le biais de Chehat et Mohamed Marouane. Cependant, le prestigieux club casablancais continua à tergiverser et cumuler les bénéfices les bévues ce qui facilita la tâche des Pharaons. On s’attendait au fil des minutes à voir des réactions des hommes Gamondi dont nul n’approuva ses choix. Car sur le banc de touche, il y avait des hommes qui pouvaient apporter un plus des défenseurs confirmés tels Cheikh Comara et Achraf Dari qui revient d’une très longue blessure et qui ne demandait qu’à taper dans un ballon ou sur quelqu’un.
39’ réveil du WAC lorsque Mgabi s’échappa à son gardien qui laissa sa mission à Mohamed Chennaoui qui tenta d’arrêter le virevoltant ivoirien. La sortie du gardien de but, Chennaoui qui fit obstacle de son corps. Sikazwe désigna le point de penalty avec autorité et offrit, par la même, l’opportunité de rester collé aux basques des Egyptiens.
Les héros malheureux
De retour des vestiaires, Gamondi s’est, enfin, rendu compte de l’énormité de son erreur, jeta Cheikh Comara dans la bataille avança Jabrane là où il est plus à l’aise. La makina wydadie ébranla son effectif pour combler son erreur. Ses tentatives donneront leurs fruits. 39’ le WAC obtint un penalty que Aouk rata lamentablement. 62’ un beau raid du côté gauche, une remise et un tir tendu, le cuire dans sa folle course toucha la main du pauvre Yahya qui, avec son coéquipier Badiî Aouk, restent les héros malheureux d’une soirée inoubliable. C’est l’arrière latéral le Tunisien Nabil Maâloul qui le transforma. Croyez-nous ce n’est pas le coach Pitos Mosimane qui a vaincu le WAC. Car ce dernier l’a sorti de la compétition trois ou quatre reprises avec son club Mamelodi Sundowns. Donc, c’est le groupe d’Al Ahly qui a carburé.
Une formation bizarroïde
Les observateurs sportifs marocains, en général, et les inconditionnels conditionnels du WAC en partie unie avaient sursauté, à l’unisson, en voyant cette formation bizarroïde concoctée par Gabriel Gamondi.
D’entrée de jeu, les joueurs d’Al Ahly avaient des signaux forts qui laissent présager une mauvaise soirée pour les joueurs casablancais. Un sentiment d’aise des Egyptiens conforté par une belle tête de Yasser Ibrahim suivie par un pressing infernal qui ne tarda pas à donner ses fruits. Yahya Jabrane, transformé, à l’occasion, en une sentinelle commit une erreur impardonnable en se laissant subtiliser le ballon par Mohamed Magdi Afsha qui partit comme une flèche prendre en défaut Ahmed Réda Tagnaouti, sorti à son rencontre. Sorti de sa torpeur Wydad Al Oumma tenta de se racheter via des attaques orchestrées tantôt par El Haddad tantôt par Hassouni dont le tir frôlait le montant (16’), ou de temps à autre, par le biais de Badiî Aouk. Mais tout était trop brouillon. Désarçonnés, les coéquipiers d’Ismaïl El Haddad tentaient des actions pour déstabiliser leurs adversaires du jour. Al Ahly laissa passer ce petit orage et se rappela aux bons souvenirs des Marocains en déclenchant cette attaque à la 23ème minute en tentant de profiter d’une énième erreur de la défense des Rouges. Et sans la vivacité de Taganouti, le WAC aurait encaissé de nouveau.
Juste après cette tentative de la 23’, d’autres ne tarderont pas à suivre par le biais de Chehat et Mohamed Marouane. Cependant, le prestigieux club casablancais continua à tergiverser et cumuler les bénéfices les bévues ce qui facilita la tâche des Pharaons. On s’attendait au fil des minutes à voir des réactions des hommes Gamondi dont nul n’approuva ses choix. Car sur le banc de touche, il y avait des hommes qui pouvaient apporter un plus des défenseurs confirmés tels Cheikh Comara et Achraf Dari qui revient d’une très longue blessure et qui ne demandait qu’à taper dans un ballon ou sur quelqu’un.
39’ réveil du WAC lorsque Mgabi s’échappa à son gardien qui laissa sa mission à Mohamed Chennaoui qui tenta d’arrêter le virevoltant ivoirien. La sortie du gardien de but, Chennaoui qui fit obstacle de son corps. Sikazwe désigna le point de penalty avec autorité et offrit, par la même, l’opportunité de rester collé aux basques des Egyptiens.
Les héros malheureux
De retour des vestiaires, Gamondi s’est, enfin, rendu compte de l’énormité de son erreur, jeta Cheikh Comara dans la bataille avança Jabrane là où il est plus à l’aise. La makina wydadie ébranla son effectif pour combler son erreur. Ses tentatives donneront leurs fruits. 39’ le WAC obtint un penalty que Aouk rata lamentablement. 62’ un beau raid du côté gauche, une remise et un tir tendu, le cuire dans sa folle course toucha la main du pauvre Yahya qui, avec son coéquipier Badiî Aouk, restent les héros malheureux d’une soirée inoubliable. C’est l’arrière latéral le Tunisien Nabil Maâloul qui le transforma. Croyez-nous ce n’est pas le coach Pitos Mosimane qui a vaincu le WAC. Car ce dernier l’a sorti de la compétition trois ou quatre reprises avec son club Mamelodi Sundowns. Donc, c’est le groupe d’Al Ahly qui a carburé.