Alors qu’il ne croit pas que le virus ait été créé par l’Homme, Léonid Rochal, président d’un institut russe renommé, a estimé auprès de Forbes que la situation autour du Covid-19 dans le monde ressemble à « une répétition de guerre biologique », rapporte le site en ligne « Sputnik France ».
Pour l’éminent chercheur russe, il est impossible de prévoir l’étendue de la pandémie de Covid-19 puisque cela dépend du comportement des populations.
Dans une annonce auprès du magazine Forbes Léonid Rochal, directeur exécutif et président de l’Institut clinique de recherche sur la chirurgie pédiatrique d’urgence et la traumatologie de Moscou «le virus ne connaît pas de frontières. Et les gens se comportent différemment selon les pays, malgré toutes les restrictions», tient-il à souligner dans cette interview exclusive.
Il a évoqué le cas en Russie des médecins, dont l’un était épidémiologiste, qui étaient revenus infectés de l’étranger. D’après M.Rochal, «ils auraient pu probablement s’abstenir de voyager dans une telle situation».
«Quand j’analyse la situation actuelle, je comprends qu’il s’agit d’une répétition de guerre biologique», a-t-il avancé. Il ne s’est en revanche pas avancé à dire si ce virus avait été créé par l’Homme: «Il n’y a pas de preuves suffisantes pour de telles déclarations, et d’ailleurs je ne suis pas un virologue. Mais c’est un test de la résilience du système de santé, y compris de la défense biologique, d’un pays».
Comment se protéger ?
Rochal est également revenu sur les mesures de protection introduites dans les pays afin de freiner la propagation du virus. S’il reconnait leur nécessité, il n’empêche qu’il souligne l’important de ne pas aller trop loin au risque de provoquer un effondrement économique.
Il est donc nécessaire de respecter les mesures de base: ne pas emmener les enfants malades dans les écoles maternelles, ne pas se rendre dans les cliniques et au travail avec les signes d’avoir attrapé froid, respecter la distanciation sociale dans les entreprises.
«Dans de nombreux cas, la température n’est pas un indicateur. Le plus difficile c’est que le tableau clinique du coronavirus est à bien des égards similaire à d’autres maladies respiratoires. Il est difficile de déterminer ça à l’œil nu, vous devez faire des tests. J’ai moimême été testé».
Rappelons que plus de 18 millions de cas du coronavirus ont été officiellement recensés dans le monde, dont plus de la moitié aux Etats-Unis et en Amérique latine et aux Caraïbes, alors que le rythme de la pandémie, qui a fait plus de 685.000 morts, continue de s’accélérer dans le monde, avec un million de cas supplémentaires détectés en moins de 4 jours.
Pour l’éminent chercheur russe, il est impossible de prévoir l’étendue de la pandémie de Covid-19 puisque cela dépend du comportement des populations.
Dans une annonce auprès du magazine Forbes Léonid Rochal, directeur exécutif et président de l’Institut clinique de recherche sur la chirurgie pédiatrique d’urgence et la traumatologie de Moscou «le virus ne connaît pas de frontières. Et les gens se comportent différemment selon les pays, malgré toutes les restrictions», tient-il à souligner dans cette interview exclusive.
Il a évoqué le cas en Russie des médecins, dont l’un était épidémiologiste, qui étaient revenus infectés de l’étranger. D’après M.Rochal, «ils auraient pu probablement s’abstenir de voyager dans une telle situation».
«Quand j’analyse la situation actuelle, je comprends qu’il s’agit d’une répétition de guerre biologique», a-t-il avancé. Il ne s’est en revanche pas avancé à dire si ce virus avait été créé par l’Homme: «Il n’y a pas de preuves suffisantes pour de telles déclarations, et d’ailleurs je ne suis pas un virologue. Mais c’est un test de la résilience du système de santé, y compris de la défense biologique, d’un pays».
Comment se protéger ?
Rochal est également revenu sur les mesures de protection introduites dans les pays afin de freiner la propagation du virus. S’il reconnait leur nécessité, il n’empêche qu’il souligne l’important de ne pas aller trop loin au risque de provoquer un effondrement économique.
Il est donc nécessaire de respecter les mesures de base: ne pas emmener les enfants malades dans les écoles maternelles, ne pas se rendre dans les cliniques et au travail avec les signes d’avoir attrapé froid, respecter la distanciation sociale dans les entreprises.
«Dans de nombreux cas, la température n’est pas un indicateur. Le plus difficile c’est que le tableau clinique du coronavirus est à bien des égards similaire à d’autres maladies respiratoires. Il est difficile de déterminer ça à l’œil nu, vous devez faire des tests. J’ai moimême été testé».
Rappelons que plus de 18 millions de cas du coronavirus ont été officiellement recensés dans le monde, dont plus de la moitié aux Etats-Unis et en Amérique latine et aux Caraïbes, alors que le rythme de la pandémie, qui a fait plus de 685.000 morts, continue de s’accélérer dans le monde, avec un million de cas supplémentaires détectés en moins de 4 jours.