Les ultras Rajaouis ont multiplié les communiqués, à l'attention du Comité présidé par Rachid Al Andaloussi, pour réclamer le changement d'entraîneur au Raja.
Le Comité a pris note de la revendication des ultras et tenu une première réunion d'urgence pour étudier le communiqué. Et aussi la colère de la rue !
Une commission restreinte a ensuite été constituée pour rencontrer Jamal Sellami et étudier, avec lui, la situation actuelle du Raja, après la défaite lors du 129ème derby face au WAC.
LES RAISONS DE LA COLÈRE
Et aussi d'autres sous-prestations où les choix du coach ont été remis en cause.
Avec des pertes de points, dus à la non titularisation des cadres lors de matches décisifs et à la reconduite de quelques joueurs en méforme.
Et aussi du maintien sur le banc des remplaçants, cas de Ben Halib, titularisé lors du temps mort tout autant que d'autres jeunes.
Ces choix sont jugés comme n'ayant aucun impact, ni sportif, ni pédagogique et encore moins mental.
Et c'est un Sellami, lui-même sous pression, qui a été appelé, en solitaire, à manager les matches.
BILAN GLOBALEMENT POSITIF
Pourtant son bilan reste globalement positif, avec la qualification en finale de la Coupe Mohammed VI des clubs arabes champions, la Coupe de la CAF, la Coupe du Trône et un championnat dont le Raja est le dauphin.
Le Comité du Raja en a débattu avec l'entraîneur et estimé qu'il serait suicidaire et inopportun de changer de coach, au moment où la continuité s'impose en tant que seule et unique alternative.
Aucun entraîneur, même le plus avisé du monde n'accepterait pareille mission, à moins qu'il ne soit opportuniste et sans aucun respect pour un confrère en difficulté!
Comme l'ont prouvé certains qui se sont précipités à balancer leur CV, dans un club pourtant longtemps fermé aux médiocres.
Sur cette base-là, le Comité a préféré courir le risque de perdre avec Sellami, plutôt que contre le Raja.
DES ENTRAÎNEURS ET DES AGENTS SANS SCRUPULES
Au risque de décevoir les ultras, qui se sont fondus d'un second communiqué, qui réclame outre le départ de Sellami, la démission du Comité et l'installation d'un Comité Provisoire. En comptant sur les adhérents!
Le Comité du Raja va tenir face à la contestation et prendre de gros risques en rêvant d'exploits, même si la mission sera des plus difficiles.
Avec l'espoir de voir le Raja retrouver la voie des filets, dès son prochain match contre les Pharaons du Pyramids FC. Rendez-vous est pris pour le 4 avril !
Le résultat comptera énormément, n'en déplaise aux agents qui rêvent de voir le Raja se plier à leurs voeux selon les règles du "Moroccoto".
Le Raja est habitué à la contestation et on constatera le réalisme observé des deux côtés, pour ne pas interrompre le dialogue. Surtout que toutes les composantes rajaouies oeuvrent dans l'intérêt du Raja.
Le Comité a pris note de la revendication des ultras et tenu une première réunion d'urgence pour étudier le communiqué. Et aussi la colère de la rue !
Une commission restreinte a ensuite été constituée pour rencontrer Jamal Sellami et étudier, avec lui, la situation actuelle du Raja, après la défaite lors du 129ème derby face au WAC.
LES RAISONS DE LA COLÈRE
Et aussi d'autres sous-prestations où les choix du coach ont été remis en cause.
Avec des pertes de points, dus à la non titularisation des cadres lors de matches décisifs et à la reconduite de quelques joueurs en méforme.
Et aussi du maintien sur le banc des remplaçants, cas de Ben Halib, titularisé lors du temps mort tout autant que d'autres jeunes.
Ces choix sont jugés comme n'ayant aucun impact, ni sportif, ni pédagogique et encore moins mental.
Et c'est un Sellami, lui-même sous pression, qui a été appelé, en solitaire, à manager les matches.
BILAN GLOBALEMENT POSITIF
Pourtant son bilan reste globalement positif, avec la qualification en finale de la Coupe Mohammed VI des clubs arabes champions, la Coupe de la CAF, la Coupe du Trône et un championnat dont le Raja est le dauphin.
Le Comité du Raja en a débattu avec l'entraîneur et estimé qu'il serait suicidaire et inopportun de changer de coach, au moment où la continuité s'impose en tant que seule et unique alternative.
Aucun entraîneur, même le plus avisé du monde n'accepterait pareille mission, à moins qu'il ne soit opportuniste et sans aucun respect pour un confrère en difficulté!
Comme l'ont prouvé certains qui se sont précipités à balancer leur CV, dans un club pourtant longtemps fermé aux médiocres.
Sur cette base-là, le Comité a préféré courir le risque de perdre avec Sellami, plutôt que contre le Raja.
DES ENTRAÎNEURS ET DES AGENTS SANS SCRUPULES
Au risque de décevoir les ultras, qui se sont fondus d'un second communiqué, qui réclame outre le départ de Sellami, la démission du Comité et l'installation d'un Comité Provisoire. En comptant sur les adhérents!
Le Comité du Raja va tenir face à la contestation et prendre de gros risques en rêvant d'exploits, même si la mission sera des plus difficiles.
Avec l'espoir de voir le Raja retrouver la voie des filets, dès son prochain match contre les Pharaons du Pyramids FC. Rendez-vous est pris pour le 4 avril !
Le résultat comptera énormément, n'en déplaise aux agents qui rêvent de voir le Raja se plier à leurs voeux selon les règles du "Moroccoto".
Le Raja est habitué à la contestation et on constatera le réalisme observé des deux côtés, pour ne pas interrompre le dialogue. Surtout que toutes les composantes rajaouies oeuvrent dans l'intérêt du Raja.