En dépit des moments difficiles que traverse le DHJ en ce début de saison, dus à une déficience embarrassante au niveau des résultats, l’optimisme reste de rigueur, fait-on ressortir à l’issue d’une conférence de presse organisée samedi par le président du club, Abdellatif Moktarid, en visioconférence.
Le départ du noyau de l’ossature de l’équipe
« Notre traversée de désert, s’explique Abdellatif Moktarid, est due principalement au départ d’une poignée de joueurs constituant l’ossature de l’équipe à cause de leurs exigences financières élevées et l’incapacité de certains nouveaux joueurs à s’intégrer encore au sein du groupe... ».
Le président du DHJ, n’a pas manqué d’ailleurs de mettre en exergue à cette occasion, le travail important fourni par le coach mental et son rôle essentiel dans l’adaptation des nouveaux joueurs, en particulier les joueurs subsahariens.
Et d’ajouter : « Le DHJ avait ciblé quelques huit joueurs au cours du Mercato précédent, malheureusement la blessure survenue aux attaquants Samir Widar et d’Iscar qui, n’étant plus qualifiés, auraient capoté tous nos plans... ».
Ce n’est que partie remise, puisqu’au même registre, le président du club a affirmé que le DHJ sera renforcé par de nouvelles recrues pour le Mercato hivernal, précisant qu’il n’y aurait pas de soucis quant à leur qualification par la FRMF, bien que la trésorerie du club, fait état d’un déficit de près de 320 millions de centimes, selon la dernière assemblée générale 2019-2020. Cet acte n’aura pas d’impact majeur sur l’équilibre financier du club, devait-il rassurer.
Redonner de l’élan
Abdellatif Moktarid a conclu ses réactions aux questions des journalistes, par le souhait de pouvoir redonner de l’élan à cette équipe du Diffaa et le propulser vers la position qui lui échoit et à laquelle elle est habituée.
Poussant l’audace plus loin encore, le Dr Abdelkatif s’est voulu plus rassurant quant à son projet d’investir sur le rajeunissement de l’équipe par la pépinière de jeunes talents que lui offre l’école : « Je continuerai à soutenir et croire toujours aux jeunes de l’école du DHJ, tout en s’ouvrant au public, afin de clarifier un certain nombre de problèmes qui semble tarauder encore leurs zones d’ombre », conclut le président du DHJ.
Le départ du noyau de l’ossature de l’équipe
« Notre traversée de désert, s’explique Abdellatif Moktarid, est due principalement au départ d’une poignée de joueurs constituant l’ossature de l’équipe à cause de leurs exigences financières élevées et l’incapacité de certains nouveaux joueurs à s’intégrer encore au sein du groupe... ».
Le président du DHJ, n’a pas manqué d’ailleurs de mettre en exergue à cette occasion, le travail important fourni par le coach mental et son rôle essentiel dans l’adaptation des nouveaux joueurs, en particulier les joueurs subsahariens.
Et d’ajouter : « Le DHJ avait ciblé quelques huit joueurs au cours du Mercato précédent, malheureusement la blessure survenue aux attaquants Samir Widar et d’Iscar qui, n’étant plus qualifiés, auraient capoté tous nos plans... ».
Ce n’est que partie remise, puisqu’au même registre, le président du club a affirmé que le DHJ sera renforcé par de nouvelles recrues pour le Mercato hivernal, précisant qu’il n’y aurait pas de soucis quant à leur qualification par la FRMF, bien que la trésorerie du club, fait état d’un déficit de près de 320 millions de centimes, selon la dernière assemblée générale 2019-2020. Cet acte n’aura pas d’impact majeur sur l’équilibre financier du club, devait-il rassurer.
Redonner de l’élan
Abdellatif Moktarid a conclu ses réactions aux questions des journalistes, par le souhait de pouvoir redonner de l’élan à cette équipe du Diffaa et le propulser vers la position qui lui échoit et à laquelle elle est habituée.
Poussant l’audace plus loin encore, le Dr Abdelkatif s’est voulu plus rassurant quant à son projet d’investir sur le rajeunissement de l’équipe par la pépinière de jeunes talents que lui offre l’école : « Je continuerai à soutenir et croire toujours aux jeunes de l’école du DHJ, tout en s’ouvrant au public, afin de clarifier un certain nombre de problèmes qui semble tarauder encore leurs zones d’ombre », conclut le président du DHJ.